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Des caids de la période coloniale

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  • #16


    Remise de la Légion d'Honneur
    Bachaga BOUALEM par le général de BREBISSON
    Mai 1957
    Dernière modification par zwina, 16 juillet 2016, 14h22.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #17
      Que des médaillés, certains caïds n'ont eu d'autre choix que de négocier avec les autorités coloniales mais ils n'ont donné aucun renseignement mettant la vie en danger de leurs compatriotes.

      A suivre
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #18
        Que des médaillés, certains caïds n'ont eu d'autre choix que de négocier avec les autorités coloniales mais ils n'ont donné aucun renseignement mettant la vie en danger de leurs compatriotes.
        ils sont aussi des résidu de l'ancienne administration ottomane ...
        dz(0000/1111)dz

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        • #19
          Bonjour Zwina il.me semble que les Marabouts aussi se sont confondus avec les administrations coloniales non ???

          Pour le bachagha Boualem...c etait un sale harki, une fripouille de la pire éspece....plus gentiment c etait une petite frappe de l'administration coloniale...

          Cordialement...
          Dernière modification par tayeb el Ouatani, 28 juillet 2016, 14h55.
          "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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          • #20
            Nuances

            ils sont aussi des résidu de l'ancienne administration ottomane ...
            Pas vraiment non, ou pas de la sorte en tout cas.

            A l'époque ottomane, ces familles de caïds étaient avant tout l'émanation de leurs propres tribus et souvent leur position était plus ancienne que l'établissement des Turcs à Alger. Ils constituaient une sorte de "noblesse" locale et s'imposaient comme tel en tant qu'interlocuteur entre leurs tribus avec les agents locaux du gouvernement de la Régence. La relation était plus équilibrée dirions-nous car ces derniers avaient besoin de ces caïds pour maintenir un lien minimum avec les populations à une époque où l'Etat n'avais ni les moyens ni la philosophie d'une administration centrale et présente partout.

            A l'époque coloniale les choses vont changer car l'Etat serait d'une toute autre nature. Ces familles de qiyâd jouèrent donc leur rôle classique au cours des premières années parce que les français n'avaient pas les moyens de contrôler le pays autrement, mais cette position commença doucement à changer vers un simple lien de sujétion à l'administration coloniale à partir des années 1850 pour disparaitre presque totalement après 1871. A compter de cette date, ces gens n'avaient plus aucun pouvoir réel si ce n'est celui de transmettre les ordre des français à la population et veiller à ce qu'ils s'y soumettent.
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #21
              Je ne disconviens pas si el harrachi...mais il avaient bien exercés un pouvoir de nuissance sur les autochtones principalement en kabylie...pas mal de temoignages sur leurs méfaits circulent a ce jour...
              "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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              • #22
                @Si Tayeb

                De quelle époque parlons-nous exactement ?
                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                • #23
                  Le caid de Biskra sud a fini une balle dans la tête le 10 juillet 62.
                  Celui qui l'a exécuté est un de mes proches...
                  Un sale type, ce caid comme la plupart des autres ! Un vrai salaud !
                  ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                  • #24
                    @Bachi

                    C'est qu'à partir du début du 20e siècle, un caïd c'était devenu un titre honorifique donné par l'administration française à ceux qui se montraient serviables (et serviles) parmi les notables locaux.

                    Arrivés dans les années 50, c'est-à-dire plus d'un siècle après l'invasion, le fait d'être qâïd était en soit synonyme de qwâda (aux nssâra). Il n'existait plus de nuance à cette époque ... lol
                    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                    • #25
                      La periode dite pre-revolutionaire...45/54...et jusqu'en 62 pratiquement...
                      "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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                      • #26
                        en 62 ceux qui etaient en vie se sont partagés les meilleurs terrains des villages ,on se retrouves mnt dans bcp de villages ou presque tous les terrains bons sont la proprietè de deux a trois familles et qui ont eu des caids

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                        • #27
                          @Si Tayeb

                          La periode dite pre-revolutionaire...45/54...et jusqu'en 62 pratiquement...
                          Oh ! A cette époque là les choses étaient tranchées. Cette catégorie d'algériens étaient clairement devenus l'outil d'oppression officiel de l'administration coloniale. Y'a pas de doute là-dessus.
                          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                          • #28
                            Et voila c est le mėme cas dans ma region Digital...certains ont même eu des attestations d'anciens moudjahids suite à des temoignages renumerés...
                            "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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                            • #29
                              Et l'omerta s 'est installé avec le silence des armes...
                              "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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                              • #30
                                tayeb el ouatani

                                ..mais il avaient bien exercés un pouvoir de nuissance sur les autochtones principalement en kabylie...pas mal de temoignages sur leurs méfaits circulent a ce jour...
                                exacte , mon grand pere entre autres que j'avais deja cité ici en a fait les frais de l'un deux , d'autres ( harkis ) on fini par connaitre l'effet de la lame tellement ils etaient a fond avec le colon , lame qui malheureusement n'est pas venu a bout de toute cette ***** contrairement a ce que les medias francais disent , des villages entiers vendu au colon existe encore jusqu'au jour d'aujourd'hui , et suis sur que si l'histoire devait se refaire , ils prendraient le meme chemin , notre zwina qui nous refait l'histoire a la sauce autonomiste devrait pouvoir nous en dire des choses , en fin si elle ose

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