Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Quel Avenir ?? Le pétrole à moins de 40 dollars!

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #31
    ah oui ?!!! bennis l'algerie prevoit pres de 80 milliards cette année, t'oublie qu'il ya juste qqueqs années 20 dollars le baril etait un reve , les legumes le medico,le lait , le blé on l'a importé , soutenu , et les marocains s'en sont nouri meme qd le petrole tournait autour de 10 dollars .. donc pas de bile ,les stations de dessalement , les trams, rail, routes , armes tt celà sera livré sans petrole pendant 3 ans .. pour 2009 on prevoit un" petit" budjet de 40 miilliars de dollars
    en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

    Commentaire


    • #32
      l'algerie prevoit pres de 80 milliards cette année, t'oublie qu'il ya juste qqueqs années 20 dollars le baril etait un reve , les legumes le medico,le lait , le blé on l'a importé
      Mdr .. je vais me contenter de te poser cette question
      crois tu que les prix dans le marché international etaient les memes que ceux d'aujourd'hui, pour ces matieres alimentaires et premieres ?
      et je t'assure, je m'attend pas à une reponse

      Commentaire


      • #33
        Citation:
        Quel Avenir ?? Le pétrole à moins de 40 dollars!

        on ira mendier.... vous nous donnerez la recette
        hahahaha
        La meilleure de la journée...

        Recette donc:
        - La brosse à reluire à Israel, à la France et aux USA.
        - Attirer les Européens et les Arabes fortunés et pratique de la génufléxion...
        A suivre

        Commentaire


        • #34
          il m'est difficile de rire , je suis simplement perplexe ..
          les prix changent du simple au double ds le mois, la semaine meme pour des produits comme le blé , parceque celà depend aussi du petrole !! pigé ? qd le petrole baisse le blé baisse .. qd des pays comme l'algerie ou l'egypte n'ont pas de capacité d'importer de grosses qunatité de blé les cours s'effondrent par anticipation , si un pays comme l'algerie annonce le lancement d'un projet d'un million d'ha de blé ds le sahara ,le blé reagit a la baisse , si la production de riz baisse a cause d'innondations en thailande par exemple , le blé monte .. ainsi de suite .. d'où la nullité de ta question a savoir les cours du blé il ya des années de celà .
          en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

          Commentaire


          • #35
            nien
            anarez oula nekhnou

            on ira mendier.... vous nous donnerez la recette
            top 2008
            LA MEILLEURE DE L ANNEE
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

            Commentaire


            • #36
              Pour ceux qui s'inquiétent des grands chantiers de l'Algerie.
              L'Algérie a les moyens de poursuivre sa politique de grands travaux

              ALGER - L'Algérie poursuivra avec "intensité" la politique de grands travaux qu'elle a engagée en 2004 car "elle en a les moyens", a déclaré dimanche le président Abdelaziz Bouteflika qui présidait un conseil des ministres.
              "La mise en oeuvre du programme quinquennal de développement en cours sera poursuivie avec la même intensité, le pays en possédant les moyens", a indiqué M. Bouteflika en demandant cependant un contrôle strict des coûts, selon un communiqué officiel.
              L'Algérie a lancé en 2004 un plan quinquennal d'un coût de plus de 140 milliards de dollars avec la construction d'infrastructures routières, de plus d'un million de logements, de barrages et centrales électriques ou d'usines de dessalement d'eau de mer.
              "La crise économique mondiale, quelle qu'en soit la durée, sera par nature conjoncturelle, alors que les problèmes de développement de notre pays sont quant à eux des enjeux structurels qui doivent être pris en charge sans trêve", a ajouté le chef de l'Etat.
              "L'Algérie possède les moyens d'une telle politique. Il s'agit de rationaliser davantage encore les efforts, en veillant notamment à finaliser les études préparatoires des projets avant leur lancement pour éviter les révisions récurrentes des coûts", a-t-il dit.
              Il a insisté également sur "le développement de l'économie productive de biens et de services dans le but de diversifier l'économie et de créer des emplois en nombre toujours plus importants".
              "Tout attentisme doit être banni du processus de développement national", a encore déclaré M. Bouteflika.
              Le conseil des ministres a d'abord "examiné et approuvé le projet de Plan d'action élaboré par le Premier Ministre (Ahmed Ouyahia) pour "la mise en oeuvre du Programme du Président de la République", précise le communiqué.
              Ce plan d'action doit être examiné prochainement par l'assemblée nationale et l'élection présidentielle prévue en avril 2009 "ne doit nullement influer" sur l'exécution du programme de travail, a aussi déclaré M. Bouteflika.
              Des réformes toucheront "les secteurs de la justice, des collectivités locales, de l'administration économique, de l'aménagement du territoire et de l'environnement", ainsi que la communication ou "la poursuite du développement économique", selon le communiqué
              "Agir pour que chaque homme, chaque société, chaque nation puisse vivre, s’affirmer et s’accomplir dans l’échange et le partage, ainsi que dans une égale dignité "

              Commentaire


              • #37
                es prix changent du simple au double ds le mois, la semaine meme pour des produits comme le blé , parceque celà depend aussi du petrole !! pigé ? qd le petrole baisse le blé baisse .. qd des pays comme l'algerie ou l'egypte n'ont pas de capacité d'importer de grosses qunatité de blé les cours s'effondrent par anticipation , si un pays comme l'algerie annonce le lancement d'un projet d'un million d'ha de blé ds le sahara ,le blé reagit a la baisse , si la production de riz baisse a cause d'innondations en thailande par exemple , le blé monte .. ainsi de suite .. d'où la nullité de ta question a savoir les cours du blé il ya des années de celà .
                dsl amigo, on est presque sûr, avec toutes les avancées auxquelles on est arrivé ( l'utilisation des aliments en biocarburants et l'emergence des pays comme l'inde et la chine qui pesent plus du tiers de la population de la planete) que la demande des aliments ne cessera de croitre, et meme en periode de crise (d'ailleurs les princiapaux demandeurs mentionnés sont encore avec des resultats de croissance positifs)

                d'où ..le manque de coherence dans tes propos, autrement dit, je ne nie pas la correlation entre les prix petrole et autres, aliments, mais si la demande du petrole peut baisser à l'instar de ce qu'on voit actuellement, la demande des aliments ne baissera guerre, d'où le faible impact de la crise sur leurs prix à l'international

                Commentaire


                • #38
                  BENNIS, va faire un tour sur les places boursieres des matieres premieres, et tu trouveras ta reponse. Les prix des cereales ont atteint leurs plus haut niveau en 2007, 2008, en bonne correlation avec les prix du petrole. Ils degringolent aussi en correlation avec ce denier. Outre les prix du petrole, les previsions de production sont bonnes, donc je te laisse imaginer la suite. L'algerie dans tt ca ne va pas trops souffrir. Ceux qui souffrent c'est ceux qui n'ont pas d'argent, et ce n'est pas le cas de l'Algerie. Désolé BENNIS, tu vas encore souffrir, tu ne peux te rejouir de la baisse des prix du petrole, ce n'est pas encore la fin de l'Algerie.

                  Commentaire


                  • #39
                    tu ne peux te rejouir de la baisse des prix du petrole, ce n'est pas encore la fin de l'Algerie.
                    dsl, mon amie là tu dis n'importe quoi

                    pour le retse, tu n'as pas tort en partie, sauf que tu n'as pas bien lu mon intervention, la correlation existe, mais la forte demande sur les aliments en constante croissance (ce qui n'est pas le cas du petrole), fera que l'impact serait minime sur leurs prix, et donc les aliments sont condamnés à rester toujours dans cette fourchete, jugée actuellemnt par "chere"
                    mais il faudra s'y faire, car dans peu de temps ca deviendera le prix normal !!!!

                    Commentaire


                    • #40
                      Sans commentaire

                      Le marché des céréales accusait hier une nouvelle séance de baisse toujours sous l'emprise du contexte financier mais aussi du baril de pétrole qui accélérait son mouvement de repli. Les prix agricoles demeurent donc sous pression et dans ce contexte, les acheteurs reportent leurs achats de plusieurs semaines. Ainsi les volumes échangés demeurent actuellement limités et pourraient l'être ainsi jusque la fin de l'année.

                      Sur la scène internationale, le manque de compétitivité du blé face aux origines Mer Noire pousse également les prix à la correction. Toutefois, les certificats à l'export demeurent néanmoins élevés toutes céréales confondues avec 15,62 Millions de Tonnes délivrés par Bruxelles depuis le début de la Campagne contre 8 millions de Tonnes l'an dernier à la même époque. En colza, les cours cédaient de nouveau du terrain. Le pétrole reste l'élément dominant de l'évolution des cours des graines oléagineuses. La révision en nette hausse de la récolte de Canola canadienne s'ajoutait à la pression ambiante actuelle.

                      http://www.terre-net.fr/cours_marches_agricoles/

                      Commentaire


                      • #41
                        ok
                        importation du voisin ble riz lait

                        pour 2009
                        ON PEUT EMPRUNTER
                        le marche s y prete
                        JUSTE 1%
                        DEtte remboursable en un clin d oeil

                        et vous
                        a esperer une ouverture

                        je le dit depuis
                        l algerie ne joue pas dans la meme cour que vous

                        mais aussi ce n est pas une raison pour s egosiller le gosier
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                        Commentaire


                        • #42
                          il m'est difficile de rire , je suis simplement perplexe ..
                          les prix changent du simple au double ds le mois, la semaine meme pour des produits comme le blé , parceque celà depend aussi du petrole !! pigé ? qd le petrole baisse le blé baisse .. qd des pays comme l'algerie ou l'egypte n'ont pas de capacité d'importer de grosses qunatité de blé les cours s'effondrent par anticipation , si un pays comme l'algerie annonce le lancement d'un projet d'un million d'ha de blé ds le sahara ,le blé reagit a la baisse , si la production de riz baisse a cause d'innondations en thailande par exemple , le blé monte .. ainsi de suite .. d'où la nullité de ta question a savoir les cours du blé il ya des années de celà .
                          c'est pas toujour le cas, si tu fais un tour au marche algerien la tomate marocaine par exemple coute 2$ le kg.

                          La tomate jusqu'à 170 dinars: Flambée générale des prix
                          par Sofiane M. Et A. C.

                          A l'approche de la fête de l'Aïd El-Adha, la mercuriale s'affole dans les marchés de fruits et légumes.

                          Les intermédiaires, qui pullulent nos marchés de gros, ont encore une fois profité de la conjoncture pour imposer leur diktat. En l'espace d'une semaine, les prix des légumes ont été tirés vers le haut, dépassant souvent le seuil symbolique des 100 dinars pour certains légumes comme la tomate et les poivrons.

                          Une petite tournée dans les marchés de quartier d'Oran donne le tournis aux petits revenus dont le budget est déjà mis à l'épreuve pour l'achat de l'agneau de l'Aïd. Chez les petites bourses et même une grande partie de la classe moyenne, on parle plus du mouton de l'Aïd tellement les prix pratiqués par les maquignons sont hors de portée d'une grande frange de la société. Pour revenir à nos légumes, les prix de gros ont pris l'ascenseur pour atteindre des seuils jamais égalés même durant le mois sacré de Ramadan. Aux marchés de gros de fruits et légumes, les mandataires proposaient la tomate à 100 dinars, voire à 110 dinars. Sa rivale, la tomate marocaine prenait de haut les pauvres consommateurs en affichant un prix de gros de... 140 dinars le kilo. Ajouter la marge bénéficiaire des marchands et vous aurez un kilo de tomate à 160, voire à 170 dinars. Les fruits ont de quoi rougir de honte. Les poivrons narguaient, de leur côté, les petites bourses en sautant au-dessus de la barre des 110 dinars. Certes, ce légume est hors saison, mais le prétexte ne pourrait justifier un prix de gros de... 140 dinars le kilo.

                          Même le concombre a osé rejoindre cette tendance en s'aventurant au-dessus de la barre des 75 dinars le kilo... prix de gros. Il ne faut surtout pas oublier la salade qui se négociait hier à 80 dinars le kilo au prix de gros, la courgette à 90 dinars et les haricots verts entre 90 et 110 dinars. Les oignons étaient proposés à 30 dinars le kilo au prix de gros, alors qu'au détail leurs prix variaient selon la qualité et selon le marchand entre 40 et 50 dinars. La pomme de terre a aussi pris le train en branle de la spéculation en passant de 30 dinars le kilo au détail, il y a quelques jours, à 50 dinars le kilo hier. Les assurances des pouvoirs publics sur la disponibilité de la reine des légumes n'avaient enfin de compte servi à rien. Cette tendance à la hausse intrigue par son intensité les consommateurs les plus avertis. Tous les mandataires et les connaisseurs du marché s'accordent à dire que l'offre en légumes est actuellement largement supérieure à la demande. Les spéculateurs qui bénéficient d'une complicité de certains mandataires et du laisser-aller des pouvoirs publics sont pointés du doigt. Et pourtant, aucune mesure concrète n'a été prise à ce jour par les services concernés pour endiguer un tant soit peu le phénomène.

                          A Constantine, même durant les difficiles périodes des mois de Ramadan, la tomate n'a jamais atteint les prix actuellement imposés par les commerçants de la ville de Constantine. C'est 150 dinars qu'il faut débourser si l'on veut acheter un kilo de ce fruit très consommé, d'ailleurs, car il accompagne la plupart des plats et des salades. Plusieurs clients qui faisaient leurs emplettes dans les marchés de la ville ou chez le marchand de légumes du quartier ne s'expliquent pas cette montée en flèche de la tomate « où même durant les périodes difficiles ou de rupture de stock, n'a jamais dépassé les 50 dinars. Mais, depuis un mois environ, disent-ils, le prix a commencé à augmenter pour, en quelques jours, passer de 80, puis à 100 et enfin à 150 dinars le kilo. Et encore, faut-il souligner, que plusieurs de ces fruits sont de mauvaise qualité, non encore mûrs ». Les commerçants qui soulignent d'ailleurs « sa rareté dans les marchés de gros du polygone, de Chelghoum Laid, voire celui de Jijel région maraîchère par excellence », expriment leur impuissance face au diktat des grossistes. « On nous déclare que la tomate provient des cultures sous serre au sud du pays et son transport est cher... ». Même phénomène à Mostaganem, pourtant région productrice de tomate, notamment à Achâacha. A Soug Ellil, la tomate est cédée à 110 DA au prix de gros. Selon un mandataire, la hausse des prix est due principalement aux intempéries des derniers jours, empêchant les agriculteurs à pénétrer dans les champs pour la cueillette. Mais l'avènement de l'Aïd El-Kebir n'est pas étranger à cette hausse, les spéculateurs comme d'habitude profitent à fond de cette conjoncture.

                          Commentaire


                          • #43
                            Quel Avenir ?? Le pétrole à moins de 40 dollars!

                            on ira mendier.... vous nous donnerez la recette

                            Bledard
                            ............................................
                            ..


                            On vous apprendra surtout à faire une chose que la rente pétrolière vous à fait oublier.

                            Abandonner le hittisme et vous retrousser les manches .

                            La mendicité n'a jamais permis à un pays de faire 6% de croissance malgré l'handicape des hydrocarbures qui nous coutent chers contrairement à qui tu sais.

                            Commentaire


                            • #44
                              chicha
                              vos 6% represente 1 % de la croissance algerienne

                              ou pour etre terre a terre
                              le quart de nos exportations

                              ne saute pas trop vite
                              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                              Commentaire


                              • #45
                                Nous sommes aujourd'hui à des aides annuelles de plus de 190 M d'euros, soit plus de 2 MMDH»
                                Interview • Bruno Dethomas, Chef de la délégation de la Commission européenne
                                En titre et ... fièrement !

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X