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Méditerranée : le Maroc destination favorite des IDE en 2009

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  • #46
    et alors le gaz ou le pétrole, tu te fait payer en monnaie de singe?

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    • #47
      et alors le gaz ou le pétrole, tu te fait payer en monnaie de singe?

      El Nino



      Pour le peuple algérien oui car il ne voit pratiquement rien venir mais pas pour la caste qui dirige le pays et qui fait enfler ses comptes dans les banques suisses.

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      • #48
        Envoyé par FRIMIJA
        Pour le peuple algérien oui car il ne voit pratiquement rien venir mais pas pour la caste qui dirige le pays et qui fait enfler ses comptes dans les banques suisses.
        L’autoroute Est-Ouest, les tramways dans plusieurs villes, le métro, la construction de barrages, centrales électriques, le projet de construction d’un million de logements. Sans parler du nouveau plan quinquennal 2010-2014 qui accorde 100 milliards de dinars au développement humain (écoles, hôpitaux, …).
        "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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        • #49
          L’autoroute Est-Ouest, les tramways dans plusieurs villes, le métro, la construction de barrages, centrales électriques, le projet de construction d’un million de logements. Sans parler du nouveau plan quinquennal 2010-2014 qui accorde 100 milliards de dinars au développement humain (écoles, hôpitaux, …).

          Icosium


          Autant de projets "pharaoniques" et "faramineux" qui ne sont projetés que pour détourner le max d'argent au citoyen algérien qui a besoin de projets simples mais concrets pour améliorer sa vie aujourd'hui.

          A croire que tu vis dans la planète Mars alors que tous ces projets sont sujets à des scandales financiers.

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          • #50
            Autant de projets "pharaoniques" et "faramineux" qui ne sont projetés que pour détourner le max d'argent au citoyen algérien qui a besoin de projets simples mais concrets pour améliorer sa vie aujourd'hui.
            Frifounet, notre fierté nationale, cette belle autoroute est-ouest qu'on attend depuis si longtemps serait donc virtuelle??

            On nous a caché cela ??? Mon Dieu...
            « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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            • #51
              Frifounet, notre fierté nationale, cette belle autoroute est-ouest qu'on attend depuis si longtemps serait donc virtuelle??
              Zakia


              Non , elle est simplement ruineuse car bourrée de scandales(Plus de 530 millions de dollars de commissions) et ....de retard ...

              http://www.**********.com/algerie/sc...-mis-en-cause/

              Algérie : Ombres corruptrices chinoises sur l’autorouteest-ouest


              L’autoroute est-ouest – 927 kms pour un coût de 11,4 milliards de dollars était, dans le cadre d’un plan de relance quinquennal de 150 milliards de dollars, le projet phare du second mandat du président Abdelaziz Bouteflika (20004-2009). Depuis quelques semaines, la presse algérienne parle de l’autoroute, non plus sous l’angle d’un probable retard de livraison, mais sous celui de la corruption.

              Une succession de fuites organisées, relayées notamment par le journal El Watan et le site « Tout sur l’Algérie » (TSA) », tend à faire de l’autoroute est-ouest un cas symptomatique de la corruption qui entoure l’octroi des marchés publics en Algérie. Avec en prime, l’implication du groupement chinois, Citic-Crcc, symbole d’une présence chinoise de plus en plus forte qui vient bousculer la prééminence européenne et notamment française. Les fuites organisées et anonymes sont venues donner du sens à des mesures judiciaires de détention préventive prises à partir d’octobre 2009 contre sept personnes, dont le secrétaire général du ministère des travaux publics, le directeur de cabinet du ministre, un colonel du DRS (département du renseignement et de la sécurité de l’armée) et plusieurs hauts fonctionnaires. Le ministre des travaux publics, Amar Ghoul, toujours en poste, est demeuré totalement silencieux alors que pratiquement tout son staff est prison.
              Dans un article (1) intitulé « De hauts responsables, un colonel et… Falcone », El Watan souligne que les résultats préliminaires de l’enquête menée par les « officiers de la police judiciaire du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) » montrent à quel point « la corruption ronge les institutions de l’Etat et comment des lobbys étrangers, notamment français, aidés par de hauts responsables de l’Etat, sont devenus les dépositaires du marché algérien ».
              Chani Medjdoub et Pierre Falcone
              Un homme d’affaires algérien établi au Luxembourg, Mr.Chani Medjdoub, serait au cœur de l’affaire. Il aurait réussi, grâce à son entregent, à s’imposer auprès du ministère des travaux publics comme le « représentant » du consortium chinois qui avait la charge de la réalisation de deux des trois tronçons de l’autoroute : le tronçon centre de 169 kms pour 2,6 milliards de dollars, le tronçon ouest de 359 kms pour 3,6 milliards de dollars. Ce sont des comptes algériens ouverts en Espagne et signalés par des services de renseignements étrangers – vraisemblablement espagnols - qui ont déclenché l’enquête qui a abouti à l’arrestation de Chani Medjdoub. On évoque également un rôle présumé du Français Pierre Falcone, condamné en France dans l’affaire de vente d’armes illégale à l’Angola, qui aurait agi à Alger en faveur des Chinois avant même le dépôt des offres. L’hebdomadaire « Les Afriques » (N°102 du 17 décembre 2009) estime, sur la base de sources proches du Ministère des travaux publics, que les Chinois ont été avantagés afin d’obtenir le marché. « Le cahier des charges, entre autres, a été dépouillé par le ministère de tutelle de certaines dispositions – avoir déjà réalisé une autoroute dans un grand pays industrialisé à l’étranger – afin de ne pas sortir les soumissionnaires chinois du jeu ».
              Plus de 530 millions de dollars de commissions
              « Dans le consortium chinois, CITIC est le corrupteur désigné, par qui vient le scandale. Il s’agit d’une holding financière qui s’est associée à un bâtisseur de métier (CRCC) pour obtenir les contrats algériens. La commission qui a attribué les marchés n’a jamais publié – comme la loi l’y oblige – les montants des autres offres. Les principaux rivaux étaient américain (Bechtel), franco-allemands (Vinci, Razel et Bilfinger), italiens (Groupement Italia) et portugais (Luso groupe). Les Japonais du consortium Coojal, bénéficiaires du lot Est (399 km pour 5,2 milliards de dollars), sont restés en dehors de la bourrasque. Leur chantier accuse du retard sur l’échéance de juillet 2010.
              Le site « TSA », le premier à avoir évoqué l’affaire, affirme qu’au cœur du « système des rétro-commissions, on retrouve une société - Pearson Asia Capital- basée en Chine et deux hommes : le Français Pierre Falcone et l’Algérien Chani Medjoub ». Pearson Asia Capital, « propriété de Pierre Falcone » aurait été chargée, selon TSA, de distribuer 80% des commissions, soit 536 millions, et 20% restants sont distribuées par Citic à des consultants qui ont travaillé directement avec elle » (3). Dans cette affaire, encore embrouillée, c’est dans le supplément économique d’El Watan daté du 28 décembre 2009, qu’on retrouve le meilleur décryptage. Intitulé « les sept soupçons capitaux », l’article relève les anomalies dans l’octroi du contrat. Ainsi, il note qu’une partie des études du projet auraient pu être financées sans frais financiers – taux zéro ou en dons – par la Banque mondiale, mais qu’ils ont été refusés. Il cite un ancien cadre africain de la Banque Mondiale qui avance que la raison probable de ce refus est que l’on ne voulait pas appliquer « les règles de transparence exigées par la Banque mondiale dans tout projet où elle engage des fonds. Des statistiques montrent qu’il est plus difficile de surenchérir dans des contrats où l’expertise financière de la Banque mondiale est mobilisée ».
              L’Ambassadeur de Chine met en cause une « pensée colonialiste »
              Le décryptage fouillé d’El Watan aboutit à la possibilité d’un scénario de « pilotage en amont qui, dès le départ, a permis au consortium chinois de s’emparer de deux lots sur trois. Les indices laissent même entrevoir la présence d’une partie algérienne cachée dans le consortium chinois ». L’Ambassadeur de Chine à Alger, M.Liu Yuhe, a critiqué « une certaine presse qui veut créer l’événement, mais sans preuves (…). Ceux qui sont derrière cette campagne contre la Chine et ses entreprises et qui veulent ternir leur image sont des nostalgiques des guerres froides et de la pensée colonialiste » a-t-il déclaré. Phrase décodé comme une mise en cause implicite des Français. Les Algériens, eux, attendent la suite du feuilleton qui pourrait s’intituler « Ombres chinoises sur l’autoroute est-ouest » et notent que la lutte contre la corruption est fortement de retour dans le discours officiel. Une circulaire du premier ministre Ahmed Ouyahia donne un rôle important à la « Caisse nationale d’équipement et de développement (CNED) » pour lutter contre la corruption et le gaspillage dans les marchés publics. La CNED est dirigée par Farouk Chiali, qui, précise « TSA », « est un ancien haut responsable au ministère des Travaux publics chargé du département "Autoroutes".

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              • #52
                Ya Ayoub, tu cherchais une argumentation chiffrée sur les IDE 2009 pour la région du Maghreb, là voici :






                Tout ce "contorsionnisme"
                C'est vraiment rigolo de voir nos amis se tordre le cou, se lancer dans des HS, s'autocongratuler et sortir toujours les memes reactions urticaires des qu'un organisme parle d'un fait concernant le Maroc.
                Est inutile lorsqu'il ne verse pas dans le HS.
                Dernière modification par jawzia, 27 août 2010, 00h40.

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                • #53
                  FRIMIJA,

                  La corruption existe partout dans le monde et même dans ton royaume enchanté. L’essentiel est que les projets avancent pour le bien être des algériens.
                  "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

                  Commentaire


                  • #54
                    Plus du simple au double donc mais le Maroc est toujours premier héhéhé
                    Maaza wa law taret !

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                    • #55
                      Bachi, cette histoire me fait penser à cet athlète qui mena la course en tête durant 300 bons mètres pour s'effondrer dans les 100 derniers mètres et franchir la ligne en dernière position. Ou l'histoire (postée en sujet) est louche ou bien c'est l'athlète est un tocard !
                      Dernière modification par jawzia, 27 août 2010, 01h41.

                      Commentaire


                      • #56
                        Un tocard tu dit !!!
                        Mais au réveil il faut se nourrir, à peine debout c'est déjà la course pour ....
                        Puisque la haine ne cessera jamais avec la haine, la haine cessera avec l'amour.

                        Commentaire


                        • #57
                          Les investissements étrangers directs (IED) au Maroc ont chuté de 46% en 2009 à 1,33 milliards de dollars contre environ 2,79 milliards en 2008, soit plus que la moyenne du repli des entrées mondiales d’IED (-37%), et de celle enregistrée au niveau du continent africain vers lequel les flux d’IED ont diminué de 19% en 2009, à 59 milliards de dollars.

                          Les résultats de l’étude annuelle de la CNUCED (Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement) sur les tendances de l’investissement dans le monde ont été rendus publics, à Rabat, ce jeudi 22 juillet sous le titre : The World Investment Report 2010 (Rapport sur l’investissement dans le monde 2010).

                          Selon ce rapport, les IED vers le Maroc ont reculé de 46% et le pays ne figure même pas dans la liste des 10 premiers pays africains bénéficiaires d’IED. Il est précisément au 12ème rang derrière l’Angola (13 milliards de dollars), l’Egypte (6,7 milliards), le Nigeria, l’Afrique du Sud, le Soudan, l’Algérie (2,85 milliards), la Libye (2,67 milliards), le Congo, la Tunisie (1,69 milliard), le Ghana et la Guinée Equatoriale. Le Maroc, en revanche figure parmi les cinq premiers gros investisseurs africains en Afrique. Il est tout juste 4ème avec 470 millions de dollars d’investissement en 2009, devancé par l’Afrique du Sud, la Libye et l’Egypte. Nicole Moussa, économiste au bureau de la CNUCED à Genève, a justifié cette contre-performance marocaine en termes de réception d’IED par le fait que les investissements dans les pays africains ont été majoritairement des projets d’exploitation de ressources naturelles, comme les mines. Si cette analyse est juste pour ce qui est notamment de l’Angola, du Nigeria et de l’Algérie, elle ne l’est pas pour la Tunisie et l’Egypte. Ces deux pays arabes trouvent leurs avantages comparatifs dans leur environnement des affaires qui est beaucoup plus attrayant que celui du Maroc, selon le témoignage même de la Banque mondiale (Rapport Doing Business 2010).

                          Par ailleurs, l’étude souligne que le repli des flux d’IDE vers l’Afrique est moindre que dans d’autres régions en développement grâce à de nouveaux investisseurs.
                          Le rapport, sous-titré également Investing in a Low-Carbon Economy (Investir dans une économie à faible intensité de carbone), a expliqué en outre que le repli de l’IED en 2009 a été dû essentiellement à une contraction de la demande mondiale en produits de base exportés par l’Afrique et à celle de leurs prix. La même source estime que même si « le repli est modéré, il a quand même d’importantes répercussions pour une région où les flux d’IED représentent plus du tiers de la formation brute de capital et sont une source essentielle de création d’emplois et de diffusion de technologie ».

                          En 2009, les flux vers l’Afrique du Nord ont eux aussi diminué, bien que les secteurs, plus diversifiés de cette sous-région, aient reçu des investissements étrangers et que les programmes de privatisation aient été poursuivis.

                          Le document souligne également que dans le secteur primaire (comme les activités d’exploration et d’exploitation minières) les investissements étrangers ont beaucoup souffert de l’effondrement des prix des produits de base et de l’assèchement des financements internationaux. Par contre, ajoute l’étude, le secteur des services, tiré par l’industrie des télécommunications, est devenu le principal bénéficiaire de l’IED et attire désormais la plupart des fusions-acquisitions internationales en Afrique. « Si la répartition de l’IED par secteur industriel fait apparaître une concentration dans l’industrie minière en valeur, le secteur manufacturier a représenté en 2009 39% de l’ensemble des projets d’investissement pour la création de capacités » révèle l’étude.
                          Celle-ci précise, par ailleurs, que les investissements en Afrique des sociétés transnationales de pays en développement et de pays en transition ont rapidement augmenté ces dernières années, et représentent pour la région des opportunités de développement nouvelles. « Ces nouvelles sources d’investissement devraient mieux résister à la crise que les sources traditionnelles, et permettre d’en amortir les effets négatifs », est-il expliqué.

                          Selon le rapport toujours, certains pays ont introduit de nouvelles mesures réglementaires afin de promouvoir l'investissement étranger, notamment en abaissant l'impôt sur les sociétés (Ghana, Maroc) ou en améliorant leur environnement global des affaires (Rwanda, Libye). Par contre, on a également pu observer une évolution vers un cadre réglementaire plus strict, par exemple à travers l'apparition de nouvelles exigences en contenu local (Nigeria) ou par l'introduction de nouvelles limitations concernant le droit des firmes étrangères à la propriété d'actifs locaux (Algérie).

                          Côté perspectives, le rapport prévoit que les flux d’IED vers l’Afrique se redresseront progressivement dans l’avenir au fur et à mesure que la conjoncture économique et financière s’améliorera et que les prix des matières premières rebondiront, comme attendu. Le redressement devrait s’accélérer au niveau planétaire avec des entrées mondiales d’IED qui devraient dépasser 1.200 milliards de dollars en 2010 pour atteindre entre 1.300 et 1.500 milliards de dollars en 2011, puis 1.600 à 2.000 milliards en 2012.

                          Moncef Ben Hayoun
                          http://www.maroceco.ma/web/%C3%89con...6-en-2009.html
                          http://www.libe.ma/Investissements-d...pas_a1744.html
                          Dernière modification par ahmed67, 27 août 2010, 04h41.
                          Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
                          alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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                          • #58
                            Plutôt que d'écouter les fables de la Fontaine genre le lievre et la tortue voyons ce que disent les experts.

                            .........................

                            Algérie et IDE, un couple impossible ?



                            L’Algérie, en dépit de son grand potentiel économique, peine à attirer les capitaux étrangers. Le constat est fait par une récente étude menée par le FDI Intelligence, une division spécialisée du groupe britannique de presse «Financial Times LTD». Le FDI Intelligence est chargée de fournir des rapports personnalisés et des données de recherche offrant des renseignements commerciaux vitaux pour les sociétés, agences de promotion des investissements, les organisations de développement économique, sociétés de consulting et de recherche. Devant les progrès de nos voisins tunisiens et marocains de ces deux dernières années, l’Algérie a reculé douloureusement en matière d’attractivité des investissements directs étrangers (IDE). Dans le hit parade des meilleures destinations d’IDE en Afrique pour 2009-2010, on trouve l’Afrique du Sud, l’Egypte, le Maroc et la Tunisie. Ces quatre pays ne cessent de faire des progrès dans de nombreux domaines, particulièrement en matière de la promotion de l’investissement privé national et étranger. Contrairement à ces champions africains, notre pays n’arrive pas à profiter des avantages offerts ni par sa proximité géographique avec l’Europe ni par ses réserves énergétiques pour attirer davantage de capitaux étrangers.
                            A part le secteur des hydrocarbures et celui des télécommunications, l’Algérie ne semble guère intéresser les investisseurs étrangers. Notre pays ne cesse d’accumuler les maladresses en matière de stratégie économique, la dernière Loi de finances complémentaire 2009 étant une autre preuve de cette perplexité du gouvernement. Face à la concurrence rude des autres pays de la région MEDA pour s’accaparer les investissements étrangers, devenus une ressource rare sous l’effet de la crise économique et financière, l’Algérie continue de lancer de mauvais signaux aux IDE. Après avoir longtemps claironné que les IDE étaient la clé pour relancer l’économie appelant le privé algérien à s’adapter à cette réalité, le gouvernement s’est distingué, ces derniers mois, en faisant feu de tout bois sur ces mêmes investissements.
                            Protectionnisme et patriotisme économique revenaient tels des leitmotivs dans les propos de nos responsables dont l’approche est confortée par une conjoncture internationale favorable où la tendance est aux nationalisations et aux interventions tous azimuts de l’Etat, même dans les pays les plus libéraux. Conséquence : les IDE préfèrent s’installer dans les autres pays de la région MEDA qui offrent une meilleure visibilité économique et de nombreuses garanties. L’Algérie n’a même pas profité pleinement de l’afflux des pétrodollars du Golfe, contrairement au Maroc, Egypte, Turquie et Syrie. Le Golfe est, en effet, devenu le deuxième émetteur d’IDE après l’Europe et devant les Etats-Unis. Les pays du Golfe sont des acteurs majeurs et incontournables dans le développement des pays de la région MEDA, notamment les secteurs du tourisme, des télécoms et des services. Les Emiratis sont très actifs dans le tourisme, l’immobilier, comme la construction. Les tergiversations et le flou qui continuent de couvrir notre stratégie économique a finalement réussi à dissuader les IDE les plus téméraires. A noter que l’étude de la FDI Intelligence a été réalisée par un panel d’experts indépendants sur la base des données couvrant 59 pays africains. Les critères pris en compte pour faire le classement sont nombreux et comprennent les infrastructures, les stratégies visant à encourager les IDE, le potentiel économique, le niveau et la qualité de la vie, les ressources humaines et l’ouverture des marchés.
                            B. Mahmoud
                            Avec Le Financier

                            Commentaire


                            • #59
                              Le sujet est les IDE au Maroc et ca nous pond un article sur les IDE en Algérie. Ya comme un soucis ?!!!
                              Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                              "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
                              Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

                              Commentaire


                              • #60
                                salam aleykoum mehdoche
                                tous simplement parce que certains n'ont pas encore compris pourquoi l'Algérie ne suit pas les autres pays
                                tout simplement parce que certains ne comprennent pas que l'Algérie suit une politique autre que
                                celle du mouton
                                en matière d'ide l'Algérie ne donne rien ,sans que l'algérien n'y soit associer et c'est tans mieux et je suis plutôt d'accord
                                maintenant que les autres pays décident de faire autrement sa les regardent je comprend pas que l'on viennent nous dire a nous comment gérer notre pays
                                qu'ils s'occupe de balayer devant leurs porte et surtout qu'ils ne s'occupe pas des affaires algérienne on est des grand garçons capable de nous gérer nous même
                                http://www.webmanagercenter.com/mana...-regles-du-jeu
                                Dernière modification par ahmed67, 27 août 2010, 16h34.
                                Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
                                alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

                                Commentaire

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