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Les détails de l’investissement émirati à l’Oukaïmeden

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  • #16
    En plus :
    Faire du tourisme finalement c'est quoi?

    C'est ''importer'' des consommateurs pour consommer sur place les produits des autres secteur :
    L'agriculture
    Le transport
    Le bâtiment
    Les services
    etc...
    Cela permet d'échapper aux contraintes des droits de douanes .!!!
    .
    .
    ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
    Napoléon III

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    • #17
      @ Pihman

      Là je ne suis pas d'accord, Il n'y a qu'a aller voir les anciennes fermes de colons. C'est désolant surtout celles ayant été prise dans des sociétés publiques SOGETA, SODEA, et COMAGRI d'ailleurs elles ont toutes fait faillite.
      Oui effectivement les terres gérer par l'état n'ont pratiquement rien donné c'est pour cela que le pays a lancé la privatisation de la sogeta et la sodea etc.... Mais il était hors de question de les laisser au Français car même a cette époque ces ferme étaient gérés comme des latifundias qui ne rapporté rien au pays !!!!!!!!!!!!!!!!!

      Mais moi je te parle du secteur agricole privé au Maroc c'est lui qui génére toute ses richesses agricoles agroindustriels et marétimes, ce n'est pas le secteur public.

      Non, je pense qu'il aurait mieux fait de leurs imposer une taxation spéciale au lieu de les exproprier.
      Non les expropriations ont permis de réparer des injustices commisent lors du protectorat la grande majorité des terres a étaient restitué aux propriaitaires laisé ou à ses ayants droits et le reste quand il n'y-avait pas de propriétaire étaient soit distribuées ou il rejoigné l'assiette fonciére de l'état, aprés quoi l'état revendait ou louait les terres qui n'avait pas ou plus de propriaitaire.

      Le Zimbabwé à fait il y a deux ou trois années le même bétise pour des raison purement politicienne de MOGABI le sénile. Resultats: il s'est transformé son pays en quelques mois d'une puissance agricole régionale (tabac, viandes, ...) vers un pays au bord de la famine.
      Le Maroc est le premier exportateur africain de produit agricole les chiffres sont la pour le prouver donc comme je te le l'ai dit nous ne sommes jamais aussi bien servique par soit même et donc le pays n'a commis aucune bétisse la seul bétisse concerne les organises publique de gestion agricole qui n'ont rien donné mais déjà depuis plus de deux ans l'état céde l'asiette fonciére de la sogea et la sodea.

      Les zimbabwéen sont dépendant des étrangers qui gérent leurs agricultures la preuve rappel toi de la crise qu'a connue le pays lors des troubles avec les agriculteurs blancs.

      L'agriculture marocaines est forte et indépendante elle fait même peur à des pays comme l'Espagne qui cherche a bloquer par tous les moyens les exportations marocaines vers l'europe.

      Le seul secteur qui a echappé à la marocanisation a été le secteur de la pharmacie. Le résultat est là, c'est un secteur fort et potentiellement exportateur même vers l'Europe.
      Il n-a aucune marocanisation l'agriculture, la péches sont les plus gros exportateurs du pays ce sont pres de 2 millions de tonnes que le pays exporte par an a elle seul la pêche fait vivre directement pres d'un 1,5 millions de personnes. Le secteur industrielle est totalement libre, les banques sont libre, le textile, le pétrole, etc.....

      Même les entreprises publique comme la RAM, l'ONE, la CDG, l'OCP sont des poid lourd régionaux qui investissents même à l'étranger.

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      • #18
        Il ya bien d'autre secteurs qui peuvent étre encore plus bénéfiques pour l'économie marocaine (construction navale, chimie, hautes tecnologies pharmacie etc...).Car si tout les investissement sont basés seulement sur le tourisme que se passera t'il pour l'économie quand il y aura une mauvaise fréquentation touristique (attentats...)???

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        • #19
          @ Gamal

          Il ya bien d'autre secteurs qui peuvent étre encore plus bénéfiques pour l'économie marocaine (construction navale, chimie, hautes tecnologies pharmacie etc...).Car si tout les investissement sont basés seulement sur le tourisme que se passera t'il pour l'économie quand il y aura une mauvaise fréquentation touristique (attentats...)???
          Les investisseurs le savent bien que rien n'es garantit mais même des secteurs comme l'électronique, l'informatique, le HT ont des hauts et des bas !!!!!!

          Mais le secteur du tourisme emploi une grosse main d'oeuvre vaut mieux ca que rien même si c'est pas assez !!!!!!!!!!!!!!

          Mais le gouvernement a lancer plusieurs projets depuis un moment il s'agit de

          la Technopole de Rabat,
          la technopole de Bouskoura,
          Parc technologique de Skhirate,
          La parc industriel de catalogne (dédié spécialement au investisseurs espagnoles)
          La Tanger free zone (zone industriel dédié à la production automobile),
          Pole industriel de nouasser pour l'aéronautique,
          Port de Tanger Med, avec ses zones industriel,
          Le parc de Casa shore, pour les délocalisation à forte valeur ajouté
          Parc industriel agronomique de settat,
          Ou encore plus recemment les zone industriel agro marétime d'Agadir, Layoune, Dakhla, et Lagwira .....

          Au niveau du tourisme envion 6 stations balnéaire dont 4 sont en construction

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          • #20
            je me rappele il quelque anne, moin de 10 ans ont disait la meme chose pour l'agriculture, et maintenant qu'il y a une politique pour le tourisme et d'autre pour d'autre secteur ont critique.

            attendant d'abord que ce secteur marche fort et apres ont accelere d'autre secteur qui sont pas mal.

            les exportations dans le doamine d'automobile ont etait de 500 million $ l'anne derniere, c'est un debut pour cette industie, qui va doubler dans quelque anne, la meme chose pour l'electonic.... alors c'est une question de temps mais pour le tourisme ce n'est qu'un debut une politique de quelque anne qui commence a aporte ces fruit alors il faut pas la combattre.

            le ministre de l'industie parle d'un chiffre de 10 milliard $ d'ici 2015 et la creation de 500 000 nouveau employe c'est pas mal comme objectif casa shore et en constuction c'est la zone franche de casa la meme chose avec la zone de tanger dakhla...... mais ces projet vont finir entre 2007 et 2009 alors il y a pas encore de resultat exept pour l'aeronotique et l'automobile ou ont voie des nouveaux invistisseur.
            Dernière modification par auscasa, 04 avril 2006, 17h33.

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            • #21
              Mais non ausaca ce n'est pas une critique.C'est vrai qu'il vaut mieu ça que rien.Mais ce que je veux dire c'est que ces 1.4 milliards aurait pu profité à d'autres secteurs.En effet ces pays du Golf mettent tout leurs investissement dans le tourisme (chez eux ou a l'extérieur) et si ce secteur venait à connaitre une crise ou une baisse de fréquentation (attentats épidémies.....) il s'ensuivrait une catastrophe économique d'ou l'importance de la diversification.Et je pense que le secteur du tourisme au Maroc est déja assez dévellopé cet investissement sera juste un supplément qui ne modifiera pas tellement le nombre de touristes.Donc mieu vaut mettre des investissements dans des secteurs encore sous exploité et qui peuvent apporter gros.

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              • #22
                oui je comprend tres bien ce que tu dis mais c'est des investissement etranger alors tu peus pas leur dire quecequ'il ferons de cette argent.

                mais je suis pas d'accord avec toi que c'est deja devolopper parceque avec ces invistissement c'est surtous les infrastructure qui vont ce developper, les routes les tramway station de ski avec tous ce qui va avec et beacoup d'autre chose....

                de l'autre cote il y a d'autre projet je te donne un exemple.

                CasaShore pour un Maroc High Tech

                Le projet de la zone offshoring "CasaShore", lancé jeudi à Casablanca par SM le Roi Mohammed VI, est un exemple de partenariat public/privé, qui permettra la création de 30.000 emplois directs et la génération de 5 milliards de dirhams de contribution au PIB à l'horizon 2014.

                CasaShore sera réalisé dans le cadre du programme "Emergence" en partenariat entre le ministère de l'Industrie, du Commerce et de la Mise à niveau de l'économie, la Wilaya et la ville de Casablanca et la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG) à travers sa filiale MHV.

                Première d'une série de zones inscrites dans le cadre du programme "Emergence", la zone Casashore représente à ce titre la pièce maîtresse de la stratégie nationale en matière d'offshoring. Son succès rapide et visible est une condition sine qua none pour positionner le Maroc sur la carte des destinations offshoring crédibles sur le plan mondial.

                Le lancement du projet "Casashore", qui devrait s'assurer une visibilité internationale et devenir la destination privilégiée pour toute entreprise opérant dans le domaine de l'Offshoring, s'inscrit dans le cadre de la territorialisation de la nouvelle stratégie industrielle nationale (Emergence), présentée mercredi à SM le Roi et qui vise à asseoir un meilleur positionnement du Maroc sur l'échiquier international en tant que terre d'accueil des investisseurs.

                "CasaShore" est un Business Park dédié aux activités BPO (Business Process Offshoring). Ce marché représente déjà un volume d'affaire très important et continue à croître de manière substantielle, bien au-delà des applications de type call centre.

                Cette zone Offshoring, dont la réalisation nécessitera 1,7 milliard de dirhams, sera érigée sur une superficie de 53 ha située sur la route reliant Casablanca à l'Aéroport Mohammed V. Elle comporte une banque, une poste, des installations de sport, un centre commercial, un centre d'affaires, des infrastructures technologiques et un conseil de recrutement.

                Elle offre également les meilleures normes internationales pour l'infrastructure (l'Immobilier, les Télécommunications..), une grande gamme de services pour les compagnies installées, afin de faciliter leurs opérations et la productivité de leurs employés, ainsi que des partenaires de niveau International impliqués dans le développement et la gestion de la zone et des services.

                Doté de niveaux de Salaires et d'encouragements très compétitifs notamment au niveau de la taxation et des subventions de montage, ainsi que des coûts de fonctionnement avantageux pour les compagnies étrangères, ce site dispose d'une bonne connectivité du fait qu'il est localisé à proximité de Casablanca et de l'aéroport international Mohammed V.


                15,2 milliards DH du PIB

                La zone CasaShore aura un impact très significatif sur la Ville de Casablanca. Elle permettra à la capitale économique du Royaume de renouer avec la spirale positive de la création d'entreprises et de l'investissement. Elle permettra l'accès à un nouveau savoir-faire et au développement de nouveaux métiers dont les standards se situent à une échelle mondiale.

                Sur le plan urbanistique, CasaShore est considérée aujourd'hui comme un projet structurant très important. En effet, son aménagement fera l'objet d'un concours d'idées et verra la naissance d'un concept d'urbanisme novateur qui enrichira et renforcera l'identité de Casablanca. En outre, l'aménagement de cette zone verra émerger des infrastructures d'accompagnement nouvelles et minutieusement mises en oeuvre. Cette opération fera certainement cas d'école pour d'autres projets.

                Sur le plan sociologique, CasaShore verra émerger et se développer de nouvelles générations "high tech", symbole de modernité et d'ancrage de la Ville dans le village planétaire. Enfin, sur le plan du marketing international, ce projet confère à Casablanca un positionnement clair et assumé en matière de développements informatiques et de business process outsourcing.

                Ainsi, la capitale économique pourra démontrer ses capacités à innover et à se hisser aux meilleurs standards mondiaux en matière de technologies. Le potentiel de développement du secteur de l'offshoring est massif et structurant pour l'économie marocaine de demain. Parmi les 44 filières analysées, 12 ressortent comme offrant une perspective de développement importante, dont 6 filières fonctionnelles, 3 filières sectorielles et 3 filières IT.

                Ces potentiels reposent essentiellement sur les perspectives de croissance exponentielle de la demande offshoring des pays d'Europe Continentale sur les 10 prochaines années (30 milliards d'euros) et d'une combinaison favorable pour le Maroc de maîtrise des langues (français, espagnol) et facteurs de coûts avantageux.

                L'impact estimé de ces potentiels se chiffre à 15,2 milliards DH du PIB, autant pour la balance commerciale et se traduirait par la création d'environ 91.000 nouveaux emplois directs (hors effets multiplicateurs) à l'horizon 2013.

                La nouvelle stratégie industrielle nationale repose sur quatre piliers fondamentaux relatifs au développement volontariste de nouveaux métiers de délocalisation de services, la création de zones de sous-traitance industrielle orientées export vers l'Europe, la modernisation et relance des piliers existants et l'accélération de la modernisation compétitive.

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                • #23
                  Alors menara toi qui veut des arguments je vais t'en donner: alors pihman a dit je cite : le Maroc n'aurait jamais dus exproprier les européens(certains algériens aussi d'ailleurs((clin d'oeil)) et toi tu réponds: sans pétrole et sans gaz notre pays tourne quand méme (là si c'est pas une pique pour l'algérie je veux bien me pendre) et puis tu dis: oui les algériens auraient dus laisser les français exploiter leur gaz car la france travaille dans l'intéret de l'algérie c'est bien connu(aprés c'est moi qui suis hs) et enfin tu dérive sur les soi-disnt 60000 marocains viraient par boumédienne sans aucune compensation alors que le maroc avit lui donné des compensations aux algériens et aux français bla bla bla... Alalala ce que tu peux étre de mauvaise foi. Oh derniérement, je sais parfaitement comment foctionne un forum et c'est pas une femme qui se croit encore sous Hassan2 qui va me l'apprendre Voilà c'est tout pour ce soir, si t'en a pas marre de te ridiculiser j'attends ta réponse(et stp arrétes avec tes phrases du genre, des arguments stp ou tu n'est pas objectif )

                  Commentaire


                  • #24
                    Une stratégie industrielle visant la création de 300 mille emploi



                    Le projet préparé par le gouvernement sera exécuté durant les dix prochaines annéess


                    Le ministre de l'Industrie, du Commerce et de la Mise à niveau de l'économie, Salaheddine Mezouar, a indiqué que son département penche actuellement sur la mise en place de mécanismes destinés à l'application d'une “nouvelle stratégie industrielle volontariste” pour réaliser le décollage économique et la création de 300 mille emplois durant les 10 prochaines années.

                    Cette stratégie est de nature à mettre en relief les potentialités du Maroc afin d'en faire un pôle régional et international spécialisé dans certains secteurs industriels et ce, à travers une approche commune de développement dans le domaine industriel, durant les 10 prochaines années, a affirmé le ministre, qui répondait mardi à une question orale à la Chambre des conseillers relative à la situation de l'industrie nationale et les résultats du rapport Mc Kinsey.

                    Il a fait savoir que la politique industrielle proposée vise à mettre à niveau le tissu industriel à travers l'accélération de la modernisation, le développement de nouveaux secteurs dont le Royaume dispose d'importants avantages concurrentiels, notamment l'électronique, l'industrie agroalimentaire, la transformation des produits de la pêche, l'artisanat et le secteur automobile.

                    Cette politique ambitionne de mettre en place les conditions nécessaires pour l'amélioration de la croissance économique, l'augmentation de la contribution du secteur industriel dans le PIB, a-t-il dit, rappelant que son département avait chargé le cabinet Mc Kinsey d'élaborer une étude définissant les orientations de cette stratégie industrielle.

                    Selon M. Mezouar, cette étude a permis d'identifier les secteurs et métiers émergents et de mettre en place une stratégie volontariste capable de renforcer le tissu industriel. Elle a permis également de fixer des objectifs chiffrés à court, à moyen et à long termes et de cerner les grandes problématiques et entraves structurelles relatives au développement des secteurs émergents, a-t-il ajouté.

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                    • #25
                      Extention du pôle industriel aéronautique de L'aéroport Mohammed V
                      (4/4/2006)


                      SM le Roi Mohammed VI a procédé, mardi, au lancement des travaux de la deuxième tranche du projet d'extension du pôle industriel aéronautique de l'aéroport international Mohammed V de Casablanca (aéropôle).


                      Le Souverain a également procédé à la pose de la première pierre pour la construction de l'unité industrielle "Creuzet aéronautique Maroc" spécialisée dans le développement des technologies aéronautiques.

                      A cette occasion, des explications ont été fournies au Souverain sur le pôle industriel aéronautique de l'aéroport international Mohammed V, qui constitue la première zone industrielle spécialisée dans ce domaine au Maroc. Etalé sur une superficie d'environ 70 hectares, ce pôle regroupe 41 unités industrielles et emploie 3206 cadres et employés dans diverses spécialités.

                      Ce pôle industriel permettra de promouvoir le secteur de l'industrie aéronautique, qui constitue un des créneaux stratégiques que le Maroc compte développer pour permettre un meilleur positionnement international du Royaume dans le domaine de la sous-traitance en matière d'industrie aéronautique.

                      Ce nouvel aéropôle devra répondre aux besoins qualitatifs du secteur aéronautique en lui permettant de drainer davantage d'entreprises internationales pionnières dans ce segment.

                      Plusieurs lots de terrains, équipés à cet effet sur la superficie destinée à abriter cet important pôle industriel, ont été mis à la disposition des investisseurs à des tarifs préférentiels et incitatifs.

                      Une enveloppe budgétaire de près de 30 millions de dh a été consacrée à l'aménagement de la deuxième tranche de ce pôle appelé à drainer des entreprises opérant dans les différents segments de l'industrie aéronautique, des sociétés prestataires de service ou d'autres entreprises oeuvrant dans le domaine des nouvelles technologies de l'information et de la communication.

                      Premier en son genre en Afrique, ce nouvel aéropôle facilite, de par sa position au c ur de l'aéroport international Mohammed V, la fluidité du fret et permet une célérité record dans le transport en temps requis des marchandises et des produits vers les pays de la rive nord de la Méditerranée, ainsi que vers les autres capitales internationales. Les atouts incitatifs de cette structure expliquent l'afflux des investisseurs.

                      Des explications ont été ensuite fournies à SM le Roi sur la nouvelle ville de Nouaceur qui, étalée sur une superficie de 1300 hectares, devra accueillir quelque 150 mille habitants.

                      Cette nouvelle ville connaîtra le lancement de plusieurs projets, dont une cité intégrée relevant de la Royal Air Maroc et un pôle abritant des activités industrielles et commerciales. Elle devra également contribuer à la promotion du secteur de l'habitat et alléger la pression qui pèse sur le patrimoine foncier de la région.
                      Dernière modification par auscasa, 04 avril 2006, 20h46.

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                      • #26
                        4/4/2006

                        Sodea: 45.000 hectares à se partager pour la seconde phase

                        · Coup d’envoi en mai

                        · La priorité aux investisseurs étrangers

                        ET de deux pour la cession des terres Sodea-Sogeta. La seconde phase de la cession au secteur privé des terres agricoles appartenant à l’Etat, débutera en mai prochain. Quelque 45.000 hectares sont concernés, y compris les terres non attribuées lors de la première opération. Celles-ci seront reversées au niveau de la deuxième tranche. Les périodes de location peuvent aller jusqu’à 40 ans. Les secteurs agricoles concernés sont principalement les agrumes, l’oléiculture, la céréaliculture et les cultures maraichères, en plus de l’élevage. La réception des dossiers de candidature démarrera en juin. Entre-temps, la société entend régler tous les aspects relatifs à la première tranche (voir encadré).
                        «La même procédure, à savoir l’appel d’offres ouvert international, sera lancée», déclare Ahmed Hajjaji, président du directoire de la Sodea.
                        Deux nouveautés seront cependant de mise. La première concerne le renforcement de l’effort de promotion de cette opération à l’étranger. Cinq pays figurent sur la liste prioritaire de la Sodea. Il s’agit de l’Espagne, la France, l’Italie, le Portugal et des Emirats arabes unis. L’Allemagne et les Pays-Bas comptent également parmi les pays cibles. Les campagnes programmées seront menées conjointement avec les patronats et représentants des secteurs agricoles dans les pays visés. Pour renseigner sur les différents aspects liés à cette opération, le site Internet www.agripartenariat.ma sera relancé. Les résultats de la première cession et les données relatives à la seconde (procédures, dates, caractéristiques…) y figureront.
                        «Quand nous parlons d’investisseurs étrangers, ce n’est nullement au détriment des Marocains. Les étrangers apporteront leurs technologies et savoir-faire, mais surtout leurs marchés et réseaux de distribution. Ces débouchés profiteront également aux Marocains. D’autant que des partenariats se tisseront forcément entre les opérateurs locaux et leurs futurs partenaires», souligne Hajjaji.
                        Autre nouveauté: la simplification des procédures administratives. «Celles-ci ont représenté une surcharge aussi lourde qu’inutile pour les investisseurs au cours de la première opération. En les allégeant, nous allons désormais nous focaliser sur la nature des projets, les garanties financières et le degré de professionnalisme dont témoigneront les intéressés», explique le responsable. En attendant, des investisseurs étrangers commencent d’ores et déjà à se frotter les mains. C’est le cas de l’Institut espagnol des questions agraires (ICAM), basé à Séville. Cet organisme prévoit d’installer un bureau régional au Maroc. Objectif: servir de trait d’union entre le gouvernement marocain et les opérateurs du Sud de l’Espagne désireux de louer des terres.
                        Ceux-ci devront néanmoins faire preuve de patience, le temps pour la Sodea de boucler la première tranche. L’installation des attributaires en est actuellement à son sixième mois, au lieu des deux mois prévus initialement. Ce retard s’était même traduit par des rumeurs parlant du report de la deuxième opération. «Il s’agit moins d’un report que d’un temps additionnel qui s’est avéré nécessaire pour régler la première opération», explique Hajjaji. Et pour cause, les conditions exigées par la Sodea. Celles-ci sont allées de la caution bancaire à la constitution de sociétés en passant par l’impératif d’effectuer des levées topographiques des terrains concernés. L’objectif de ce dernier aspect est d’éviter tout litige entre le cédant et le gérant une fois le projet installé.

                        --------------------------------------------------------------------------------


                        Bilan de la première phase



                        LE nombre de projets objet de l’appel d’offres est de 205 pour la première phase de cette opération. Le total des attributaires s’élève actuellement à 173. La superficie des projets cédés est de 44.902 ha, soit 82% du total concerné par l’appel d’offres (54.791 ha). Les conventions de partenariat déjà signées entre l’Etat et les nouveaux gérants sont au nombre de 119, soit 69% du total des attributaires. Les candidats auxquels les terres ont été cédées sont estimés à 98. Quelque 8 désistements officiels ont été enregistrés. 7 autres sont probables. Dans ces cas, le cahier des charges de la Sodea prévoit l’étude de la deuxième offre. Si elle s’avère valable, le projet est attribué. «Dans tous les cas de figure, nous allons dépasser les 90% des objectifs que nous avions tracés», assure Hajjaji.

                        Tarik QATTAB

                        leconomiste.

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                        • #27
                          Dis moi auscasa ce pole aéronautique sera fait avec la coopération de l'ue des usa ou ce sera un projet marocano-marocain, prace que si c'est la troisiéme possibilité je dis vraiment chapeau à M6

                          Commentaire


                          • #28
                            Je ne dit pas que cet investissement est mauvais au contraire mieux vaut qu'il soit là plutot que dans certains pays occidentaux
                            Mais je préférerai que ces pays du Golf investissent plus dans l'industrie et sa je suis d'accord ce n'est pas le Maroc qui en décide
                            Et pour ces projet que tu cite imagine toi qu'ont leur attribuent un budget de 1.4 milliard de dollars ça ferai tellement de bien a l'economie avec des emplois de la croissance, des exportations et donc des devises qui rentrent....

                            Commentaire


                            • #29
                              tous ce que fais le maroc c'est les infrastructures et la formation des ingenieur pour ces grand groupe qui s'installe, il travaille dans tous les domaines du moteur au cablage et tous ce qui va avec dans le domaine mais c'est biensure les grands groupes internationaux qui s'instales .

                              voila des exemple

                              Groupe safran
                              http://www.marocville.com/aeronautik...SAFRAN_r7.html

                              Groupe souriau (airbus)
                              http://www.marocville.com/aeronautik...URIAU_r11.html

                              Groupe creuzet
                              http://www.marocville.com/aeronautik...EUZET_r14.html

                              Groupe SEFCA (cette structure est spécialisée dans la tôlerie fine et le traitement de surface d'alliages légers)
                              http://www.marocville.com/aeronautik...SEFCA_r16.html

                              Groupe aeronautik gimas (groupe fronco marocain)
                              http://www.marocville.com/aeronautik/GIMAS_r17.html

                              bon c'est pas mal ces groupes sont les plus grands au monde dans la sous traitance de airbus et Boieng

                              cette strategy viens de commencer 2005 2015
                              Dernière modification par auscasa, 04 avril 2006, 21h16.

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                              • #30
                                Salam Gamal

                                Mais non ausaca ce n'est pas une critique.C'est vrai qu'il vaut mieu ça que rien.Mais ce que je veux dire c'est que ces 1.4 milliards aurait pu profité à d'autres secteurs.En effet ces pays du Golf mettent tout leurs investissement dans le tourisme (chez eux ou a l'extérieur) et si ce secteur venait à connaitre une crise ou une baisse de fréquentation (attentats épidémies.....) il s'ensuivrait une catastrophe économique d'ou l'importance de la diversification.Et je pense que le secteur du tourisme au Maroc est déja assez dévellopé cet investissement sera juste un supplément qui ne modifiera pas tellement le nombre de touristes.Donc mieu vaut mettre des investissements dans des secteurs encore sous exploité et qui peuvent apporter gros.
                                Quand un investisseurs étrangers arrive chez toi et qu'il te dit je veux investir dans telle ou telle secteur qui correspond à son corps de métier tu ne peux pas lui dire non il faut que tu investies plutot dans ce secteur ou celui-la.

                                Pour les pays du Golfe comme les émirats et le Koweit des sociétes comme Eemar, Dubai international properties, Dubai Holding, Dubai Towers, sont spécialisé dans la construction et la promotion immobiliére et actuellement elles ménement leurs expansion à travers le Maroc, la Tunisie, la Turquie, la Jordanie, l'Arabie Saoudite, Qatar et l'Europe, l'Asie et L'amérique du Nord. Ces entreprises savent que leurs secteurs est soumis à la conjoncture international, comme tous autres secteurs. Sinon les nouveuax investisements en hotelerie est en infrastruxture sont indispensable pour le renouvellement et la compétitivité du produit Maroc.

                                Mais au Maroc les émiratis investissent pas que dans le tourisme ou l'immobilier ils investissent aussi dans l'industrie, l'infrastructure autoroutiére et dans la gestion portuaire comme il le font a Tanger Med, ils ont aussi participé à plusieurs financements de projets de zones industrielles spécialisés dans l'offshoring (délocalisation), et les industrie de pointe, électro,ique aviation high tech

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