jawzia
Tu chipote,toujours le verre à moitie vide.
Tu chipote,toujours le verre à moitie vide.
Mais Jouahri ne parle pas de l'usine automobile (c'est juste un exemple) et son faible impact sur l'économie marocaine mais parle de quelque chose de plus important : Les incitations accordées aux investisseurs semblent démesurées par rapport à leur retour sur l'économie marocaine. Il appelle à un meilleur "tuning" basé sur cout (octroyés)/bénefices (en retour).
Même les investissements directs étrangers sont concernés par cette problématique du niveau de rendement. «Certes, le Maroc a pu bénéficier ces dernières années d’importantes entrées, mais la question se pose quant au niveau de leur contribution à la croissance et à l’emploi», s’interroge-t-il, en indiquant que les sorties au titre des dividendes commencent à impacter sensiblement la balance des paiements. Ainsi, au titre de 2014, elles ont atteint près de 15 milliards de DH pour un afflux d’IDE de 36,5 milliards.
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