iridium
Oui mais la question n'a rien à voir avec le tourisme ! Niveau de compréhension !!!!
Pour toi c'est les touristes qui vivent dans les bidonvilles de Marrakeh,et les Marrakchas eux vivent dans les Riads et dans les palaces 5*!!!
Oui mais la question n'a rien à voir avec le tourisme ! Niveau de compréhension !!!!
Pour toi c'est les touristes qui vivent dans les bidonvilles de Marrakeh,et les Marrakchas eux vivent dans les Riads et dans les palaces 5*!!!
Les parias. Ici, il n’y a pas d’école, pas d’hôpital et un seul poste de police qui ne peut couvrir à lui seul toute la p1000308sécurité. Les enfants sont désœuvrés et livrés à eux-mêmes. «Pas étonnant que des mômes disparaissent de temps en temps, ils sont sans doute attirés par la richesse des étrangers», pense un habitant, en faisant référence à la pédophilie qui sévit à Marrakech. Ce dernier travaille comme porteur dans un grand hôtel juste derrière Diour El Boune. Le plus grave, c’est que ce patelin dans la ville est loin d’être le plus mal loti. Encore plus proche du centre, on trouve Douar Al Fakhara dans le quartier de Aïn Etti. Plus de 30 000 personnes y vivent dans des conditions exécrables. «Nous sommes entassés à dix dans un cinquante mètres carrés», témoigne un jeune chômeur. Les revenus d’un foyer vont de 500 à 3 000 dirhams. Ceux qui en ont les moyens installent l’électricité, les autres vivent, le soir, à la bougie. Bâties en terre ou en pisé, les demeures ne garantissent aucun confort ni sécurité. Il y a un peu plus d’un mois, un homme de 75 p1000367ans et sa petite fille de 12 ans ont trouvé la mort à Douar Al Fakhara suite à l’effondrement du toit de leur maison après les fortes pluies de cet hiver. «Comme les ruelles sont mal conçues et non goudronnées, l’ambulance ne peut approcher certains endroits», constate un officier de police. Dans un terrain vague parsemé d’ordures, un homme en guenilles puise l’eau d’un puits. «Venez voir où nous vivons, personne ne se soucie de nous. Jugez par vous-même, c’est la Somalie !».
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