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L’Algérie peut prétendre au statut de dragon du Maghreb

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  • #16
    C'est maintenant ou jamais nous naurons pa dautre occasions aussi favorable dette reduite a zero caisse de letat permetant des mesures fiscales en directions des entreprises creatrice d'emplois politique de BTP audacieuse infrastructure portuaire et aeroportuaire en plein devellopement et surtout un peuple qui a envie de sen sortir de tourner la plage et enfin une cote et un arriere pays sublime

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    • #17
      massi2006,

      voila qui est bien parlé... rien a rajouter.

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      • #18
        Ce que nos amis marocains ne veulent pas comprendre,c'est que exportation, ne veut pas dire economie,on exporte majoritairement des hydrocarbures cela est vrai,mais cela est du essentiellement, au fait que:notre economie est basee aussi sur l'industrie lourde, qui est,comme un tout chacun sait,un secteur coupe gorge a l'exportation, regit par des monopoles internationaux surpuissants,(on n'est pas entrain de parler de tomates et d'oranges ici)l'Algerie produit toutes sortes de produits finis et semis finis(des camions, des autocars,des produits electromenagers de bonne facture,de l'electronique tout a fait peformante....ect...)mais c'est tres difficile de les ecoules sur les marchers internationaux vu les chasses gardes et les monopoles qui s'y exercent.
        Dernière modification par dundalk, 06 avril 2007, 20h12.

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        • #19
          massi2006

          oui je suis d'accord avec toi, c'est le moment ou jamais seulement je ne sais tjrs pas si c'est une réelle porise de concsience ou que nous sommes déja dans les campagnes éléctorales

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          • #20
            Ayoub,
            Il interressant de constater tout de meme,que la MONO-ECONOMIE,Algerienne,purgee du secteur des hydrocarbures dont tu fait refference, bien evidemmment,peut quand meme generee un PIB,superieur a celui du maroc.
            C'est a croire que le maroc n'a pas d'economie du tout.

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            • #21
              dundalk,

              mon ami, le PIB ne constitue pas la seule unite de mesure de performance economique, mais la croissance. la croissance qui est etroitement liee a la creation d'emplois. tu peux generer des milliards de dollars par habitant. Si au bout de la chaine, le citoyen n'en voit pas les effets, cela ne sert a rien.

              Il y a des pays qui font bcp plus que le PIB algerien, pourtant...

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              • #22
                Calamars

                c'est vrais tu a raison 2009 c'est pas très loin, mais vu ses probleme de santé je ne pense pas que le president va se représenter pour un troisieme mandat et qu'il aura pour objectif de laisser sa trace dans l'histoire en concrétisant le maximum de projets avant la fin de sa magistrature.

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                • #23
                  comment peut-on etre un dragon avec une mono-economie?
                  Interessant. Ayoub, peux tu nous eclairer sur ce nouveau concept de Mono-economie ? C'est important de savoir de quoi on parle avant de poursuivre.

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                  • #24
                    vous ne croiyez pas qu'il ya une difirence entre une economie de rendement et une autre forte ?

                    personnellement j n'avais jamais vu un produit algerein dans notre marche , l'algerie est un "Dragon" en taille si , mais pas en economie

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                    • #25
                      jawzia,

                      bien entendu que je peux, mais commencons par le concept de dragon:

                      L'expression Dragons asiatiques sert à désigner quatre pays récemment industrialisés d'Asie : la Corée du Sud, Hong Kong, Singapour et Taiwan. Depuis peu, la République populaire de Chine est parfois ajoutée au groupe. On les appelle également nouveaux pays industrialisés (NPI) ou nouveaux pays industrialisés d'Asie (NPIA). Ces pays ont suivi le modèle économique développé par le Japon auquel ils font concurrence dans les activités indistrielles les plus sophistiquées (automobile, électronique grand public) depuis 1980.

                      Maintenant on sait tous quel est le modele de developpement japonais et sur quels criteres il se base...

                      Pour une mono-economie, c'est tout simplement une economie qui soutire la majorite de ses rentrees d'un seul domaine. En Algerie ce sont les hydrocarbures. L'algerie peut penser a devenir un dragon si elle fait les bons choix des maintenant en investissant en masse et en s'inspirant du modele japonais, c'est a dire, l'education, la high tech, l'exportation, l'innovation, l'electronique, les secteurs de pointe afin de devenir une plateforme expotatrice majeure de produits vers le monde. On est tres loin de ce scenario, l'algerie malheureusement et c'est mon avis personnel qui a ete renforce par ce que j'ai lu dans les autres themes de ce forum, se dirige plus vers le modele saoudien que le modele emiratie ou japonais.

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                      • #26
                        Donc à la question
                        peux tu nous eclairer sur ce nouveau concept de Mono-economie ?
                        La réponse est :
                        Pour une mono-economie, c'est tout simplement une economie qui soutire la majorite de ses rentrees d'un seul domaine. En Algerie ce sont les hydrocarbures
                        Je ne suis certainement pas d'accord (je penses que tu t'en doutes). Pour faire preuve de riguer, la finalité d'une économie est de créer de la richesse. Cette même richesse est evaluée par un indice qui s'appelle PIB.

                        Pour ce PIB, les hydrocarbures (incriminées - alors que tout le monde creuse à longueur d'année et priant dieu de découvrir quelques gisements) représente 35% de ce même PIB.

                        Donc, 65% des richesses que l'Algerie produit sont hors hydrocarbures. Ces mêmes hydrocarbures représentent 98% des recettes d'exportation. On dira donc que l'economie algerienne est Mono-exportatrice, ce qui n'a rien à voir avec ce concept de "Mono-economie" (qui ne veut rien dire .... economiquement).

                        Deuxième remarque :
                        Imaginez l'algerie engrangeant 54 milliards de dollars grçace aux hydrocarbures et que ces hydrocarbures ne représentent que la moitié des exportations...... Il y a de quoi meriter le qualificatif de " Dragon du Maghreb". C'est ce quoi on aspire (Augmenter la quote-part des "hors-hydrocarbures" dans les exportations). C'est pas pour demain. apès demain peut etre.

                        Troisième remarque : J'ai comme l'impression (j'espère que c'est le cas - juste une impression) qu'il existe un principe des vases communiquants entre l'Algerie et le Maroc. Si l'un va bien c'est que l'autre va mal. C'est faux. L'economie mondiale genère tellement de richesse qu'il y en a pour tout le monde. Donc si l'un avance, c'est pas forcement une mauvaise nouvelle pour l'autre.

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                        • #27
                          Bien entendu, je suis d'accord avec toi sur le principe mais ce n'est pas le chiffre d'affaires qui fait qu'une entreprise est performante, mais ce qu'elle fait de cet argent, comment elle l'investit et surtout comment elle repartit les benefices, il y a une difference entre chiffres d'affaires (PIB), benefice (ce qui reste) et comment il est partage a la fin (le peuple en beneficie-t-il vraiment?).

                          tu peux avoir 100 millairs de dollars en caisse, si tu gaspilles 9 dans une mosquee et 7 dans des navires de guerre, ca s'appelle de grosses bourdes strategiques qui couteront des millions de dollars rien que pour l'entretien pendant toute leur duree de vie.

                          Ce que je ne comprends pas c'est quele gouvernement algerien a deja ete la. On dirait qu'il n'a pas compris la lecon. D'abord ne surtout pas gaspiller dans des achats non productifs d'emplois et surtout ne surtout pas industrialiser avant de s'occuper de l'education de la population. Tu peux construrie un centre aeronautique dernier cri en Algerie, si a la fin il faut ramener des americains ou des russes pour y travailler, la plus value est zero... Le peuple n'en profitera pas. Il aurait mieux fallu d'aller le construire en russie dans ce cas la.

                          Il n'y pas de vases communicants entre le Maroc et l'Algerie, ce sont 2 politiques economiques differents depuis bien longtemps, de par leur ressource, leur ideologie et l'histoire des pays. Par contre, il y a des courants d'air d'echange entre moi et toi

                          de plus, je t'ai copie la definition d'un dragon, un dragon est un pays a forte plus value exportatrice, le japon n'a pas 98% en ressources naturelles mais une immense variete de secteurs de pointe qui exportent vers le reste du monde et il y est arrive en investissant dans les hommes, comme tous les autrs dragons et tigres d'asie. sinon on peut facilement dire sans rire que l'arabie saoudite est un dragon arabe.

                          Encore une fois, je vais faire appel a une source tierce comme ca on evite les "tu es marocain c'est pour ca que tu dis ca"
                          Dernière modification par ayoub7, 06 avril 2007, 22h27.

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                          • #28
                            Où va l’argent des hydrocarbures

                            Des ressources pétrolières qui débordent, un pays de plus en plus riche, une population de plus en plus pauvre, peu de grands travaux. Comment expliquer ces paradoxes ?

                            Par Jean-Pierre Séréni - Le Monde Diplomatique

                            Huit milliards de dollars en 1998, 13 milliards l’année suivante, 32 milliards en 2004, près de 45 milliards l’an dernier, autant et sans doute plus cette année : l’Algérie n’en finit pas, comme ses grands partenaires de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), d’engranger des montagnes de dollars. Le quatrième choc pétrolier, survenu peu après la fin de la guerre éclair américaine en Irak, à l’été 2003, dépasse par son ampleur et sa durée les trois précédents. Et efface du même coup les difficultés financières rencontrées par M. Abdelaziz Bouteflika à son arrivée à la présidence de la République algérienne démocratique et populaire au printemps 1999. « Les caisses sont vides, l’étranger n’a pas confiance en nous, la dette extérieure nous écrase, et les entreprises publiques gaspillent nos maigres ressources », s’alarmait alors l’un de ses proches. De passage à Alger en novembre 1999, M. Kemal Dervis, alors le « M. Monde arabe » de la Banque mondiale, conseille austérité et modestie : « Réduisez les grands projets en cours de 20 à 9, privilégiez l’agriculture, l’hydraulique et le filet social... »

                            On redoutait le trop peu et c’est le trop-plein ! Le problème n’est plus de trouver de l’argent pour relancer une économie en panne et pacifier une société déchirée par une sanglante guerre civile, mais d’utiliser au mieux ce pactole inattendu, en un mot de ne pas le gaspiller comme ce fut trop souvent le cas lors des précédents chocs pétroliers.

                            Lors du premier de ceux-ci, en 1973-1974, Alger ambitionne de devenir le Japon de l’Afrique et consacre son surplus à l’achat d’usines clés en main. Ses émissaires parcourent le monde industrialisé pour acquérir ce qui se fait de mieux – et souvent de plus cher. Acier, aluminium, engrais, papier, chimie, camions ont la priorité, les unités sont souvent implantées dans des régions déshéritées aux salariés peu qualifiés, guère familiers des technologies ultramodernes. Résultat, les retards s’accumulent, et le cycle pétrolier se retourne avant que l’industrie lourde soit en état de marche. L’héritage se révèle encombrant. Des sociétés nationales qui perdent de l’argent, des usines qui tournent au ralenti, et une dette extérieure qui explose parce qu’il a bien fallu emprunter pour financer les fins du programme d’industrialisation...

                            Au cours du deuxième choc, en 1979-1982, les dirigeants ont changé : le pâle Chadli Bendjedid, remplaçant du fier Houari Boumediène, court après une légitimité qui le fuit. L’argent du pétrole ira à un programme antipénuries (PAP) qui se traduit par un flot d’importations de produits de consommation. L’Algérien qui en a les moyens est à la fête : réfrigérateurs, télévisions, automobiles font leur apparition dans les vitrines des magasins d’Etat.

                            Le troisième choc, en 1991-1992, passe largement inaperçu de la majorité des habitants. Les 3 à 4 milliards de dollars supplémentaires récoltés servent à régler une partie des arriérés de paiement accumulés depuis le retournement du cycle pétrolier en 1984-1985. L’obsession d’Alger, au plan financier, est d’éviter de devoir rééchelonner sa dette extérieure, ce qui placerait son économie sous la houlette du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale. On préfère le « reprofilage », un arrangement discret avec le Crédit lyonnais qui implique de régler les impayés dus aux entreprises françaises. Il n’évitera rien du tout et, en avril 1994, en pleine vague terroriste, alors qu’il ne reste plus en caisse de quoi payer la cargaison de semoule d’un cargo qui tourne en rade d’Alger, un premier ministre de transition accepte le rééchelonnement de la dette extérieure et les conditions qui vont avec...

                            Onze ans après, l’Algérie affiche une insolente santé financière : les réserves officielles de devises dépassent 55 milliards de dollars et représentent plus de vingt-quatre mois d’importations ; le compte courant du Trésor public à la Banque centrale accumule l’équivalent d’une année de recettes fiscales non pétrolières ; la dette extérieure (16,4 milliards de dollars à la fin 2005, contre 24 milliards en 1990) n’est plus un souci.

                            Symbole de cette richesse inattendue, la compagnie nationale Sonatrach, détenue à 100 % par l’Etat, se place au douzième rang dans l’industrie pétrolière mondiale, truste les places de champion pour le gaz (second fournisseur de gaz naturel de l’Europe, derrière la Russie ; second fournisseur en gaz liquéfié GNL aux Etats-Unis...) et dispose d’une large palette de produits exportables en dehors du brut (condensat, GPL, produits raffinés, pétrochimie). Au fil des ans, elle a fait de plus en plus appel aux sociétés étrangères pour la seconder.

                            En 1986, quinze ans après les nationalisations et le départ des techniciens français, Alger entrouvre pour la première fois les portes du Sahara aux prospecteurs étrangers. Les premiers, et les plus nombreux, à se présenter sont de petites compagnies américaines dont la plus chanceuse, Anadarko, fait plusieurs découvertes majeures dans l’est du pays. Un nouveau pas est franchi en 1991, malgré de fortes oppositions. En 2000, quand le nouveau ministre de l’énergie propose une loi pétrolière qui « normalise » la Sonatrach et lui enlève ses pouvoirs quasi régaliens (la société percevait les impôts payés par les compagnies étrangères et délivrait à son gré les permis de recherche), l’exposant ainsi à la concurrence, c’est la bronca ! Son PDG démissionne, le syndicat manifeste, et le pouvoir recule. Ce n’est qu’en 2005 que la loi est adoptée.

                            Le grand écart entre la pluie de pétrodollars et un quotidien plus que difficile fait enrager une partie de la population : barrages routiers, occupations ou incendies d’édifices publics, séquestrations d’élus et de fonctionnaires, manifestations violentes tournant souvent à l’émeute se sont banalisés. Pas d’eau, pas de courant, pas de logement, pas de travail, pas d’égouts, pas de routes, les griefs sont les mêmes d’un bout à l’autre du pays. Les millions de ruraux chassés de chez eux par l’insécurité dans les années 1990 et qui s’entassent dans les bidonvilles ne comprennent pas. Pourquoi l’Algérie est-elle riche et les Algériens pauvres ? Pourquoi, alors que le revenu par tête aurait augmenté de 31,3 % en deux ans, selon l’Office national des statistiques, le pouvoir ne fait-il rien d’efficace pour ces millions de jeunes en quête d’un toit et d’un emploi, sinon leur envoyer la police, dont les effectifs connaissent, eux, une spectaculaire progression (au moins 120 000 aujourd’hui, et 45 000 à recruter d’ici à 2009, contre une trentaine de milliers dans les année 1980).
                            Absence de cadres qualifiés et compétents

                            Pourquoi le pouvoir en est-il réduit à répondre par la répression à des besoins qu’il a, par ailleurs, les moyens de satisfaire ? Jusqu’ici, l’expansion budgétaire a été outrageusement privilégiée. Au printemps 2005, le gouvernement lance un programme complémentaire de soutien à la croissance économique (2005-2009) de 55 milliards de dollars, censé compléter un précédent plan de soutien à la relance économique adopté en 2001. La loi de finances 2006, votée en décembre 2005, témoigne de l’ampleur des moyens ; le budget d’équipement de l’Etat augmente de 28 % par rapport à celui de 2005 et fait plus que doubler par rapport à ce qui a été fait en 2004. Pour la première fois dans l’histoire financière de l’Algérie, il dépasse le budget de fonctionnement...

                            Et ce n’est pas fini. Le premier conseil des ministres tenu en janvier 2006 par le président Bouteflika, à peine rentré de convalescence à Paris, arrête un programme spécial de 5 milliards de dollars en faveur du Sud, qui sera suivi par d’autres en faveur des hauts plateaux, une zone traditionnellement déshéritée, et de la Kabylie, ruinée par plusieurs années de troubles.

                            Mais il y a loin des décisions budgétaires au démarrage des travaux, et plus encore à leur achèvement. Partout, le manque d’expertise ralentit l’investissement ; la difficulté n’est plus l’argent, mais la capacité à le dépenser. De nombreuses wilayas (départements) et d’encore plus nombreuses assemblées populaires communales (communes) ne consomment pas leurs crédits d’équipements, faute de cadres qualifiés et compétents. C’est pis dans certains ministères techniques (transport, équipement, hydraulique...), désorganisés par l’instabilité ministérielle et encombrés d’anciens programmes inachevés parfois plus de dix ans après leur lancement – voire vingt ans, comme le métro d’Alger ou la nouvelle aérogare de Dar-el-Beida. Trop souvent incapables de se hisser au niveau requis par des projets d’envergure, les entreprises du BTP incriminent la bureaucratie, les délais de paiement, la mauvaise volonté des fonctionnaires...

                            Face à une demande qui explose, l’offre reste encore très timide. Des voix isolées, à l’intérieur comme à l’extérieur, plaident pour une exécution plus mesurée du budget 2006, et proposent de consacrer une partie des crédits ainsi libérés au renforcement des autres intervenants de la vie économique et à la création d’activités nouvelles en dehors du secteur des hydrocarbures. Ce ne serait pas inutile tant les bureaucrates éclipsent les autres agents sociaux. Mais ces voix seront-elles entendues ?

                            Jean-Pierre Séréni.

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                            • #29
                              Bon, je note avec plaisir que le vocable "mono-economie" à été évacué et que le débat se situe maintenant sur ce qu'on fait avec la richesse d'un pays et sur le comment cette richesse est distribuée. On peut en discuter.

                              2. Si tu veux que les discussions soient enrichissantes, evites de me balancer des articles de presse (surtout aussi long, je n'ai plus la patience de les lire)... c'est ton avis qui m'interesse. Toi qui a lu cet article, fais en une synthèse et enonce la comme ta propre idée.

                              Le fait que tu sois Marocain n'a rien à voir au contraire, l'avis d'un Marocain (honnete et de bonne foi) est imminement interessant.

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                              • #30
                                Si tu veux que j'arrete de te balancer des sources neutres, laisses ton chapeau ideolgoqie et viens discuter en toute franchise...

                                si tout ce qui t'interesse c'est noter sij'utilise ou je n'utilise pas le mot mono-economie pour decrire une economie basee en majorite sur un seul domaine, ce genre de debat ne m'interesse pas trop. Si tu veux relever un peu le niveau, tabarak allah.

                                mis vu que tu fais une fixation sur ce mot. Expliques moi ce qui arriverait demain si le mot hydrocarbures etait enlevee de l'equation economique algerienne??

                                Moi ce qui me fait plaisir c'est que le mot dragon a ete retire de ton intervention et ignoré habilement. Ce qui je te rappelle est le coeur du sujet vu que tu es tres soucieux du respect du sujet, je me sens presque dans l'obligation de le signaler
                                Dernière modification par ayoub7, 06 avril 2007, 22h58.

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                                Chargement...
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