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maintenance aéronautique à Alger: la poule aux oeufs d'or
réponse à bledard for ever
le sujet est interessant, très interessant même ! si cette structure de maintenance pouvait, sur décision politique, passer à une forme d’autogestion, elle pourrait, avec l’expertise d’un partenaire d’envergure internationale, devenir une source de richesse inestimable. le savoir-faire et l’expérience des ingénieurs-techniciens d’air algérie, l’avantage économique des coûts d’exploitation (prix du kérosene, de l’électricité, niveau des salaire etc), la position géographique de l’infrastructure, sont autant d’atouts indiscutables. le fait que cette structure reste "rattachée" à air algérie constitue un véritable boulet en matière de rendement car les bénéfices réalisés partent inéxorablement colmater le déficit chronique de notre pavillon national en outre, ce type d’infrastructure (valable pour la cnan, l’enesa etc) peut devenir une authentique filière technique dans nos instituts et universités de par sa technicité et servir de centre de formation appliquée de dimension régionale voire internationale à très forte valeur ajoutée (cours + brevets payants, en devises). avec les ouvertures des espaces aériens, et l’évolution du transport aérien, ce type d’ingénieurs/techniens vont être très demandés.
il faut oser et foncer car nos voisins ne dorment pas... à suivre
réponse à bledard for ever
le sujet est interessant, très interessant même ! si cette structure de maintenance pouvait, sur décision politique, passer à une forme d’autogestion, elle pourrait, avec l’expertise d’un partenaire d’envergure internationale, devenir une source de richesse inestimable. le savoir-faire et l’expérience des ingénieurs-techniciens d’air algérie, l’avantage économique des coûts d’exploitation (prix du kérosene, de l’électricité, niveau des salaire etc), la position géographique de l’infrastructure, sont autant d’atouts indiscutables. le fait que cette structure reste "rattachée" à air algérie constitue un véritable boulet en matière de rendement car les bénéfices réalisés partent inéxorablement colmater le déficit chronique de notre pavillon national en outre, ce type d’infrastructure (valable pour la cnan, l’enesa etc) peut devenir une authentique filière technique dans nos instituts et universités de par sa technicité et servir de centre de formation appliquée de dimension régionale voire internationale à très forte valeur ajoutée (cours + brevets payants, en devises). avec les ouvertures des espaces aériens, et l’évolution du transport aérien, ce type d’ingénieurs/techniens vont être très demandés.
il faut oser et foncer car nos voisins ne dorment pas... à suivre
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