• La Fondation Hassan II. Instituée par un dahir de juillet 1990, elle est entièrement dédiée aux MRE. Depuis 1996, elle est présidée par Lalla Meriem et Omar Azziman en est actuellement le président délégué. Ses champs d’action sont la culture, le social et l’économie. Mais elle échappe au contrôle du gouvernement (notamment en termes budgétaires) et n’a aucune valeur représentative.
• Le ministère des MRE. Créé en 1990, le ministère des MRE a tour à tour dépendu de la primature ou des Affaires étrangères. Mais il est toujours resté une coquille vide. Sous Youssoufi, il a même disparu pour devenir un sous-secrétariat d’Etat. Prudente, l’ancienne ministre déléguée, Nezha Chekrouni, nous a confié “qu’il faut trouver un meilleur moyen de coordination entre les différents acteurs de la question des MRE”.
• Le CSCME. Le nouveau Conseil est né des recommandations de l’Instance équité et réconciliation (IER), formulées en 2005. Trois discours royaux se sont succédé depuis. En novembre 2005, le roi explique la nécessaire représentation des MRE au Parlement. Le 6 novembre 2006, il confie au CCDH la mission de formuler des propositions pour la création d’un conseil représentatif. Et en novembre 2007, le CSCME voit le jour. Il doit remplacer le système préexistant des «amicales», qui réunissent des associations souvent noyautées par les sécuritaires.
• Le ministère des MRE. Créé en 1990, le ministère des MRE a tour à tour dépendu de la primature ou des Affaires étrangères. Mais il est toujours resté une coquille vide. Sous Youssoufi, il a même disparu pour devenir un sous-secrétariat d’Etat. Prudente, l’ancienne ministre déléguée, Nezha Chekrouni, nous a confié “qu’il faut trouver un meilleur moyen de coordination entre les différents acteurs de la question des MRE”.
• Le CSCME. Le nouveau Conseil est né des recommandations de l’Instance équité et réconciliation (IER), formulées en 2005. Trois discours royaux se sont succédé depuis. En novembre 2005, le roi explique la nécessaire représentation des MRE au Parlement. Le 6 novembre 2006, il confie au CCDH la mission de formuler des propositions pour la création d’un conseil représentatif. Et en novembre 2007, le CSCME voit le jour. Il doit remplacer le système préexistant des «amicales», qui réunissent des associations souvent noyautées par les sécuritaires.
y a til kkchose de similaire en algeie qui organise chaque annee l'accueil et le support des algeriens a l'etranger au fait?
Tres rigolo, les marocains a l'etranger restent marocains, defendent les interets de leur pays et investissent au Maroc parce qu'il y a la fondation Hassan II, mwahaha.
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