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Un sportif de haut niveau en grève de la faim solidaire

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  • #16
    c le debut de la fin. ils ne savent plus quoi faire........on dirait un boxeur dans le coin d'un ring qui subit les coups............
    ils ont épuisé tout leur stock de mensonges............35 ans, c long........

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    • #17
      Intervention de Salah Eddine Amaidan, parlement britannique,
      20/10/2009

      Bonjour

      Je voudrais d’abord vous remercier d’être venu m’écouter et de bien vouloir par ce biais entendre les traitements inhumains que subit mon peuple.
      Ce que je vais vous dire est mon histoire mais ce n’est qu’un exemple de ce que souffre le peuple sahraoui au Sahara Occidental occupé. Et certains ont souffert et souffrent bien d’avantage et tous les jours encore, de tortures physique et psychologique.

      J’aurai pu prononcer un discours académique devant vous. Pour préparer cela j’ai relu la déclaration universelle des droits de l’homme et la convention internationale des droits de l’enfant. Et j’ai constaté qu’au Sahara Occidental occupé tous les articles de ces déclarations étaient violés par l’occupant et sans aller dans le détail par le fait même d’être un colonisateur impuni depuis 1975
      C’est à titre d’illustration que je vous parle de mon histoire.


      Je suis né en 1982 à El Aaiun au Sahara Occidental. J’ai 26 ans.
      Je suis né alors que mon pays était occupé militairement depuis 7 ans par le royaume du Maroc.
      Je me souviens comment très petit j’étais en colère contre les marocains qui nous discriminaient, nous volaient ce que nous avions ou essayer de nous frapper mes frères et sœurs et moi.
      J’ai commencé ma carrière de sportif avec la police… en fait, elle me poursuivait.
      Tous les sahraouis des territoires occupés peuvent être de bons coureurs…
      J’ai grandi en pensant que ce que nous vivions tous les jours, la famille, les voisins et les copains, était normal.
      J’ai été repéré par un sélectionneur de l’équipe du Maroc à 12 ans alors que j’avais gagné une course de détection pour les enfants à El Aaiun.
      Suite à cela mon père a reçu une invitation pour que je parte à Rabat dans une école sportive de l’équipe nationale marocaine, pour des entraînements et compétitions.
      J’étais plutôt un rebelle et j’étais connu de la police, par peur réelle des conséquences d’un refus, pour moi ou pour la famille, mon père a accepté.
      Il était déjà handicapé, il avait perdu une jambe sur une mine qui avait explosé alors qu’il menait ses troupeaux dans le désert en 1979 vers Smara.
      Il craignait que les allocations d’aide qu’il recevait lui soient supprimées.


      A 13 ans, j’ai donc été envoyé à Rabat, à 1500 kilomètres de ma famille.
      J’étais en internat et le seul sahraoui de cette équipe. J’ai toujours ressenti la discrimination de la part des entraîneurs et des jeunes avec qui j’étais.
      Je n’avais pas la même langue ni la même culture, ni les mêmes habitudes ou traditions.

      Les adultes qui nous encadraient ne me permettaient pas de parler hassanya. J’avais souvent des programmes d’entraînements trop durs pour mon âge et mes vacances scolaires ont souvent été réduite aux derniers 15 jours d’août sans considération pour mes demandes de rentrer chez moi.

      Je faisais néanmoins des bonnes performances.
      Pendant ma carrière avec l’équipe du Maroc, j’ai été triple champion du Maroc en cross country (1996, 1997, 1999), 2e champion du Maroc du 3000 stiple (2000), 15 fois champion du Sahara occidental (1993-2002, toutes disciplines), 2e champion d’Afrique (cross cadet, 5000m), deux fois champion cadet des pays arabes en cross country (1998 et 1999).
      Quelqu’un m’a dit que parmi vous il y avait de bons sportifs alors je vous dit aussi mes meilleurs chronos : 3’’39 sur 1500m, 28’’ 53 au 10 Km, 44’’ 56 au 15 Km et 1h 03’’43 au semi marathon.



      En juin 1999 j’ai été blessé. Une blessure de sportif au tendon.
      Les responsables de l’équipe nationale m’ont mis dehors et m’ont renvoyé chez mes parents à El Aaiun.
      En septembre, j’ai pris part à la première intifada contre l‘occupation marocaine, cela a duré 15 jours. Pendant 6 jours et nuits nous avons manifesté et résisté contre les forces de polices et militaires qui étaient très bien équipées.

      Le 6ème jour j’ai été arrêté avec 80 autres jeunes.
      J’ai été détenu dans un centre de police pendant 18 jours.
      J’avais les yeux bandés, et les jambes attachées.
      Nous étions tous serrés les uns contre les autres et l’espace était trop petit pour le nombre que nous étions.
      J’ai été battu et torturé tous les jours, interrogé sur mes activités, celle des gens que je connaissais ou pas, sur les relations avec le POLISARIO.
      J’ai reçu des coups sur l’ensemble de mon corps.
      J’ai été relâché au bout de 18 jours sous la pression de ma famille et de responsables sportifs qui attestaient de mon niveau.
      En fait on m’a donné le choix suivant. Sortir pour retourner faire du sport à Rabat, ne plus avoir d’activité politique et ne plus jamais revenir à El Aaiun ou aller en prison.
      J’ai choisi de retourner à Rabat et de continuer à faire du sport.
      J’avais l’idée que courir pouvait être pour moi un moyen de continuer à lutter pour mon peuple et pour l’indépendance de mon pays.
      Je suis retourné à rabat et après deux années de très bonnes performances j’ai été repris dans l’équipe nationale du Maroc.
      Pendant ces années à Rabat je n’ai pas cessé de ressentir la discrimination du fait de mon identité sahraouie. À chacun des contrôles de police pour lesquels je devais présenter mes papiers d’identité j’étais conduit au poste de police et interrogé longuement sur mes activités, alors qu’il été bien visible que j’étais un sportif de haut niveau et que je m’entraînais.
      Sur la carte d’identité de tous les Sahraouis, une carte marocaine, il y a deux lettres : SH qui nous identifient comme Sahraouis. C’est pour ce signe que je faisais au moins une fois par semaine un séjour toujours inconfortable au poste de police.


      Dans cette équipe nationale, j’ai réussi des performances me permettant de participer à des compétitions sur route en France.
      J’ai couru les 10 kilomètres d’Agde et j’ai gagné. J’ai fait les 200 derniers kilomètres en faisant flotter le drapeau de ma république. La république Arabe Sahraouie Démocratique. Un ami marocain m’a donné le drapeau à la fin de la course.
      Je me suis mis sous la protection de la police, et j’ai demandé l’asile politique à la France. Pour moi la France était un pays démocratique où l’on pouvait parler sans risquer sa vie.
      Je sais que les autorités marocaines ont essayé d’empêcher que j’obtienne l’asile politique.
      Je suis maintenant en France, un frère et une sœur sont aussi en France.


      C’est pour mon pays et son indépendance que je cours.
      Je sais que de nombreuses personnes de ma famille résistent et sont harcelés par la police.
      Mon père bien qu’handicapé et dialysé maintenant est convoqué chaque semaine par l’agent secret marocain pour un interrogatoire.
      5 de mes cousins sont en prison. Un de mes frères a été emprisonné alors qu’il avait 15 ans et demi. Il est resté 1an et demi dans une prison pour majeurs et il porte de nombreuses marques des blessures et tortures qu’il a subies et qu’il s’est infligées tellement les conditions étaient dures pour lui.
      Les femmes de ma famille sont régulièrement enlevées par les forces de sécurités, interrogées, torturées, humiliées et abandonnées dans le désert.
      En tout ce sont 17 membres de ma famille qui ont subi des brutalités, des arrestations et des emprisonnements arbitraires.
      Pour moi cela fait 14 ans que je n’ai pas passé un mois entier avec ma famille.
      J’attends de pouvoir bénéficier des échanges familiaux mis en place dans le cadre de l’ONU par la MINURSO pour pouvoir rendre visite à ma famille en sécurité ou au moins en étant protégé. Cela fait deux ans que j’en ai fait la demande.

      Je vous parle de ma famille, mais c’est le sort de tout le peuple sahraoui vivant aux territoires occupés dont je vous parle.


      Pour finir, je vous invite à venir dans les campements de réfugiés, ou malgré les très dures conditions de survie nous sommes libres.
      Libres de nous exprimer, libre de pratiquer nos traditions et de vivre selon notre culture, libres de vous accueillir… et pourquoi pas lors de la semaine du Sahara Marathon…

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      • #18
        Intervention de Salah Eddine Amaidan, parlement britannique,
        Merci mon ami, c'est touchant, wellah!

        Il s'agit bien de lui:

        Commentaire


        • #19
          après avoir fui le Maroc où il subissait tous le jours discriminations et mépris de son identité, interdiction de parler sa langue et d’exprimer sa culture, marqué jusque sur sa carte d’identité, des deux lettres SH.
          A Tielt, il parait qu'il ont des cartes d'identité avec la lettre X.

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          • #20
            Edité ......
            Dernière modification par jawzia, 22 avril 2010, 21h28.

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            • #21
              L’histoire d’un champion venu de la dernière colonie d’Afrique : le Sahara Occidental…

              L’histoire d’un champion du Monde de demi-fond venu du Sahara Occidental - la dernière colonie d’Afrique – qui a laissé derrière lui sa famille, sa carrière sportive et sa citoyenneté pour courir pour une nation qui n’existe pas. La présentation du film en cours de tournage est enfin sous-titrée en français.



              Salah Amaidan a 26 ans, il est Sahraoui. Il a grandi dans la zone du Sahara Occidental sous contrôle marocain – officiellement la dernière colonie d’Afrique – et a été forcé de rejoindre l’équipe nationale junior du Maroc à l’âge de 12 ans. En 1999 il était triple champion du Maroc en cross country, second du championnat d’Afrique, et deux fois champion du monde arabe. En 2003, pendant une course en France, il a pris un risque politique et professionnel dont lui et sa famille ne se sont jamais remis.

              Alors qu’il approchait les derniers 200 mètres d’un 8 Km, en tête, il a sorti le drapeau Sahraoui, illégal au Maroc et symbole de l’« Intifada Sahraouie », et a passé ainsi la ligne d’arrivée. C’était à Agde.

              Il savait qu’il serait arrêté à son retour au Maroc et a donc immédiatement demandé l’asile politique en France où il est toujours.

              Depuis ce jour, Salah est devenu représentant du peuple Sahraoui, non seulement dans des évènements sportifs majeurs, mais comme porte-parole et ambassadeur de la cause du peuple.

              « À chacune de mes victoires, chaque course » dit-il, « je dénonce ces violations au nom de mon peuple et je réaffirme mon identité Sahraouie ».

              Mais Salah paye cher son activisme. Alors qu’il était encore au Maroc, la maison de sa famille a été plusieurs fois perquisitionnée. Il a été bâillonné, emprisonné, interrogé et torturé. Après son exil en France, trois membres de sa famille ont été emprisonnés pour leur résistance pacifique, au Sahara Occidental contrôlé par le Maroc. Même s’il est en relative sécurité en France, il a été attaqué à quatre reprises par des personnes opposées à sa campagne d’envergure, et récemment alors qu’il s‘entraînait avec Paula Radcliffe dans les Pyrénées. Pour avoir refusé de prendre la nationalité espagnole ou française, il n’a pas de citoyenneté.

              Lors du 10ème anniversaire du Sahara Marathon – un évènement annuel rassemblant des coureurs du monde entier pour la solidarité avec le peuple Sahraoui, The Runner dira l’histoire de Salah comme un reflet de la réalité actuelle au Sahara Occidental, et le suivra dans la poursuite inlassable de son but unique, créer une équipe Olympique autorisée à concourir pour la République Arabe Sahraouie démocratique aux jeux de Londres en 2012.

              The Runner n’est pas un film sur le Sahara Occidental, ou sur le Sahara Marathon, c’est un film sur Salah, un homme avec un talent extraordinaire, qui a abandonné tout ce qu’il avait pour faire de sa course un moyen de protestation et de militantisme. Dans les compétitions internationales, il insiste pour être enregistré comme athlète du Sahara Occidental, même si l’Etat n’est pas reconnu par les instances sportives internationales. Chaque fois que le Sahara Occidental est inscrit dans les tableaux de résultats, dit-il, c’est un rappel de sa colonisation illégale et continue par le Maroc.

              En continuité des précédents travaux du Directeur Saeed Taji Farouky, le film explorera aussi les relations du réalisateur à son sujet, car il soulève la question de la représentation médiatique d’une question politique majeure, largement méconnue.

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              • #22
                Je suis né en 1982 à El Aaiun au Sahara Occidental. J’ai 26 ans.
                Je suis né alors que mon pays était occupé militairement depuis 7 ans par le royaume du Maroc.
                Je me souviens comment très petit j’étais en colère contre les marocains qui nous discriminaient, nous volaient ce que nous avions ou essayer de nous frapper mes frères et sœurs et moi.
                J’ai commencé ma carrière de sportif avec la police… en fait, elle me poursuivait.
                Tous les sahraouis des territoires occupés peuvent être de bons coureurs…
                J’ai grandi en pensant que ce que nous vivions tous les jours, la famille, les voisins et les copains, était normal.
                J’ai été repéré par un sélectionneur de l’équipe du Maroc à 12 ans alors que j’avais gagné une course de détection pour les enfants à El Aaiun.
                Suite à cela mon père a reçu une invitation pour que je parte à Rabat dans une école sportive de l’équipe nationale marocaine, pour des entraînements et compétitions.
                J’étais plutôt un rebelle et j’étais connu de la police, par peur réelle des conséquences d’un refus, pour moi ou pour la famille, mon père a accepté.
                Il était déjà handicapé, il avait perdu une jambe sur une mine qui avait explosé alors qu’il menait ses troupeaux dans le désert en 1979 vers Smara.
                Il craignait que les allocations d’aide qu’il recevait lui soient supprimées.

                Ca fait penser aux feintes que ressortent certains maghrebin à l'assistance sociale pour qu'elle leur donne un cheque
                "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

                Commentaire


                • #23
                  Ca fait penser aux feintes que ressortent certains maghrebin à l'assistance sociale pour qu'elle leur donne un cheque
                  Focus, ce champion portif Sahraoui parle de son père qui s'est vu amputer une jambe suite á l'explosion d'une mine anti-personelle implantée par les Forces marocaines dans le dunes du SO et toi tu parles de cheque! Tu n'as pas honte de parler ainsi d'un drame humain qui touche toute une population!

                  Ahchem chwiya 3la rouhek!

                  Commentaire


                  • #24
                    Alors qu’il approchait les derniers 200 mètres d’un 8 Km, en tête, il a sorti le drapeau Sahraoui, illégal au Maroc et symbole de l’« Intifada Sahraouie », et a passé ainsi la ligne d’arrivée. C’était à Agde.

                    Il savait qu’il serait arrêté à son retour au Maroc et a donc immédiatement demandé l’asile politique en France où il est toujours
                    Le drapeau sahraoui est illégal au Maroc ?

                    qqun peut répondre.

                    Commentaire


                    • #25
                      Un demi million de sahraouis
                      on recidive encore une fois dans le gonfloment des chiffres,spécialités algérienne
                      après un million et demi de chahid qui est contesté par le sénateur algérien habibi, 200 000 morts de la décennie noire voilà un demi million de sahraouis??,

                      Commentaire


                      • #26
                        @Bachi
                        C'est normal en ne peux être contre son pays(maroc), un seul drapeau peut flotter de tanger a lagouira.
                        Puisque la haine ne cessera jamais avec la haine, la haine cessera avec l'amour.

                        Commentaire


                        • #27
                          ce monsieur est un menteur

                          n'importe qui doté de bon sens trouvera sa déclaration truffée d'innombrables invraisemblances, sur les dates etc...

                          non crédible

                          bachi le drapeau sahraoui est vendu à tous les coins de rue au maroc, même à marjane

                          devine ce qu'on en fait après

                          Commentaire


                          • #28
                            Focus, ce champion portif Sahraoui parle de son père qui s'est vu amputer une jambe suite á l'explosion d'une mine anti-personelle implantée par les Forces marocaines dans le dunes du SO et toi tu parles de cheque! Tu n'as pas honte de parler ainsi d'un drame humain qui touche toute une population!

                            Ahchem chwiya 3la rouhek!
                            Mouais, peut etre bien que c'est vrai son histoire, mais ca n'enleve pas qu'il en fait tellement trop, qu'on fini par se marrer au final. En tout cas, il a l'air de regretter que le mechant Maroc l'ai formé et encadré pour devenir un athlete, moi j'appelle ca de l'ingratitude.
                            Le drame humain, ce n'est pas moi qui l'entretien, ni le Maroc qui souhaite un retour des population, c'est bien la clique du polisario et de l'Algerie qui bloque la situation, donc s'il veut s'en prendre à quelqu'un c'est bien aux 2 azouz à l'est, en tout cas, c'est pas en aboyant que ces residus de separatistes en carton vont arriver à leur dessein pour la simple et bonne raison qu'il leur manque une tres grande dose de courage pour obtenir ce qu'ils veulent, là peut etre qu'ils seraient credibles à mes yeux, or rien de tout ca, que de la parlotte depuis plus de 35 ans, de la parlotte avec l'onu, avec les population qu'ils ont endormis ( et qui se reveillent aujourd'hui) etc.... Bref, la verité se laisse decouvrir d'avantage à ceux qui avait jadis des des doutes sur cette question.
                            Alors pour le drame humain, si tu le permet ce n'est pas moi d'en porter la responsabilité, c'est bien les azouz, les aminatou, les ould souilhem, les athletes jeneurs comme ce dernier etc... qui ne sont là que par simple que par opportunisme et rien d'autre. L'independance, ils savent tres bien qu'ils ne l'auront meme pas en reve, ils sont meme pas fichu d'organiser des elections pour demontrer un semblant de democratie et montrer au monde leur sincerité etc... le statut quo, arrange la clique de mafieux qui regnent sur les saharaouis à tindouf, qui profitent des largesses d'Alger et du business des aides de l'ONU, qu'ils revendent sous formes de contrefacons etc....
                            "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

                            Commentaire


                            • #29
                              En tout cas, il a l'air de regretter que le mechant Maroc l'ai formé et encadré pour devenir un athlete, moi j'appelle ca de l'ingratitude
                              Mon ami c'est toi qui sembles étonné que le Maroc malgrés tous les moyens investit n'avait pas résussi á faire de lui un Marocain malgés lui! C'est bizzare que vs continuez à ne pas vouloir voir la réalité en face! T'es demandé pourquoi il n'a pas regagné la fameuse " mére patrie", pourtant il serait plus simple de la rejoindre via Londre que via le désert bourrés de mines!

                              Gallek mére patrie!
                              Vs faites pitié avec vos mensonges propagandistes nta3 akhir ezzamane!!

                              Commentaire


                              • #30
                                Mon ami c'est toi qui sembles étonné que le Maroc malgrés tous les moyens investit n'avait pas résussi á faire de lui un Marocain malgés lui! C'est bizzare que vs continuez à ne pas vouloir voir la réalité en face! T'es demandé pourquoi il n'a pas regagné la fameuse " mére patrie", pourtant il serait plus simple de la rejoindre via Londre que via le désert bourrés de mines!

                                Gallek mére patrie!
                                Vs faites pitié avec vos mensonges propagandistes nta3 akhir ezzamane!!
                                Mias j'en ai rien a cirer qu'il ne veuille pas rentrer au Maroc, il est assez grand pour decider de ce qu'il veut, en tout cas le Maroc ne s'ecroulera pas parce qu'il ne sera pas rentrer. C'est parce qu'il ne veut pas se sentir marocains, que je vais lui donner son bled pour lui faire plez, rien que vos kabyle vous leur en mettez plein la tronche alors qu'ils veulent rien qu'une autonomie et qu'ils representent plus de 15% de la population algerienne.
                                "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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