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Frontières Algérie-Maroc: Les trabendos du gazoil de maghnia

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  • #31
    Oceon je suis d'accord avec toi mais il y a des cas sur ce forum. Je sait que la region Oujda/Tlemcen s'entendent très bien mais voilà chacune des parties tente de les séparer.
    Allah al watan al malik

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    • #32
      algerian....voila un post qui sonne tres algerien

      et moi je suis papou....
      Arrête, hugo chavez vaut beaucoup mieux qu'un esprit borné qui le prend en pseudo

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      • #33
        ^^ tout ce qui ne va pas dans le sens de ses cheveux n'est pas algerien
        comme si c'est lui qui decretait qui ou qui n'est pas algerien, ça fait pitié.

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        • #34
          Le seul moyen que ça cesse, est qu'il y ai un controle douanier, voir double controle douanier de la frontière, donc le seul moyen que ça cesse, c'est d'ouvrir la frontière pour pouvoir la controler.
          bravo algerian. le problème c'est que la junte à alger comprend ça à l'envers; fermer pour bien controler................et le resultat, il est là.....

          Mais, Non. L'état doit dire stop à cette hémorragie et à cette anarchie !
          c'est bien ce que tu dis, à condition que les gros bonnets de l'état ne soient pas impliqués dans cette hémorragie......
          Dernière modification par ouchen58, 14 juin 2010, 18h45.

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          • #35
            bravo algerian. le problème c'est que la junte à alger comprend ça à l'envers; fermer pour bien controler................et le resultat, il est là.....

            les marocains font les questions et les reponses a present

            de mieux en mieux

            cette frontiere est comme notre premier ministre : persona non grata


            Rabat rompt le dialogue politique avec Alger
            Les masques sont tombés

            Le royaume du Maroc vient de commettre un nouveau faux pas diplomatique en décrétant indésirable la visite d’Ahmed Ouyahia au Maroc, prévue pour les tout prochains jours, selon des sources marocaines qui ont révélé l’information.



            Après avoir sabordé la tenue du sommet de l’UMA de Tripoli, prévu les 22 et 23 mai dernier, en annonçant, la veille des assises, sa décision de ne pas prendre part à ce sommet pour marquer sa désapprobation par rapport au contenu du message de Bouteflika adressé aux Sahraouis à l’occasion de l’anniversaire du déclenchement de la lutte armée au Sahara-Occidental, le Maroc franchit un pas supplémentaire dans la stratégie de la tension entretenue sciemment vis-à-vis de l’Algérie. L’objectif d’une telle démarche consiste à détourner l’attention sur l’isolement international dans lequel se trouve le royaume par rapport au conflit du Sahara-Occidental. Le Maroc est passé maître dans cette politique de fuite en avant. La communauté internationale est témoin de ses volte-face répétées, des engagements pris et vite reniés au gré de la conjoncture internationale et des rapports de forces par rapport au traitement du dossier du Sahara-Occidental. Le palais royal est-il à ce point crédule pour penser que l’Algérie allait se jeter les yeux fermés dans les bras du Maroc avec la passion de nouvelles épousailles en reniant ses principes et son soutien à la cause sahraouie dans le cadre des résolutions de l’ONU par le simple fait que le souverain marocain a consenti à prendre part au sommet arabe d’Alger au mois de mars dernier suivie d’une visite officielle ? On comprend mieux alors aujourd’hui, avec cette tentation de Rabat de faire de l’Algérie un exutoire de l’échec de sa politique annexionniste du Sahara-Occidental, pourquoi le Maroc s’agite ainsi en cherchant, avec l’énergie du désespoir, à faire accroire que ses malheurs viennent de l’Algérie, comme si notre pays pouvait se substituer aux Nations unies et imposer une solution unilatérale au conflit du Sahara-Occidental. Si tel était le cas, elle l’aurait fait depuis fort longtemps et certainement sur la base des mêmes principes. C’est cette vision à courte vue des relations entre l’Algérie et le Maroc, dans laquelle s’enferme le palais royal et cherche à entraîner avec lui l’Algérie, qui pollue le climat politique entre les deux pays. Une vision au rabais de vendeur de tapis fondée sur le marchandage et les calculs étroits au détriment d’un engagement sincère et fraternel d’œuvrer au rapprochement entre les deux pays sur une base de confiance et de respect mutuel retrouvé, de prospérité partagée auxquels nous invite tout naturellement l’histoire commune entre les deux pays. Si les relations entre les Etats et les nations étaient réduites à un simple effet de protocole et si les conflits pouvaient être réglés par des opérations de séduction politique de ce genre, on n’aurait pas besoin d’instances internationales d’arbitrage pour dire et faire appliquer le droit international. Les masques sont désormais définitivement tombés quant à la nature des rapports que le Maroc cherche à bâtir avec l’Algérie. La réaction inamicale du Maroc, qui vient de désigner persona non grata Ahmed Ouyahia, foulant au pied toutes les règles et les usages diplomatiques censés régir les relations entre deux pays frères que tout rapproche, n’est certainement pas de nature à contribuer à sceller les retrouvailles que d’aucuns ont cru percevoir à la faveur de la visite effectuée par le roi du Maroc en Algérie à l’occasion du sommet arabe d’Alger. La « clarification » de Rabat est intéressante en ce qu’elle permet de lever le dernier pan du voile faussement pudique dans lequel continuait à se draper le Maroc concernant ses rapports avec l’Algérie. Le Maroc n’est jamais allé aussi loin dans sa confrontation politique et diplomatique avec l’Algérie, poussant l’outrecuidance jusqu’à courir le risque d’ouvrir une crise diplomatique majeure avec l’Algérie en jouant sur des questions aussi sensibles qui touchent carrément à la fierté nationale. Les choses auraient pu rester dans le domaine strict de la diplomatie et la visite reportée d’un commun accord en trouvant les formes et les mots qui sauvegardent les intérêts et la dignité de chacun. Mais en médiatisant à dessein l’annulation de la visite d’Ouyahia au Maroc et en lui donnant la regrettable connotation politique explicitée par le communiqué du ministère marocain des Affaires étrangères, le Maroc pousse manifestement au pourrissement et à la rupture. C’est une manière de détourner l’attention sur le conflit du Sahara-Occidental, de gagner du temps, et au plan interne, de faire diversion sur les graves difficultés économiques et sociales qui secouent le Maroc avec les risques d’implosion sociale qui guette quotidiennement le pays.

            les comptes, lepeuple marocain ALGERiAN et le loup du 58, il faut les demander a votre gouvernement


            ca devient ridicule ces demandes desesperees de reouverture....quand on joue les fier a bras un jour....on assume le lendemain


            un peu de dignité que diable !!

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            • #36
              J'espère bientôt un prolongement du mur du sahara jusqu'à la méditerranée pour le bien de nos deux peuples.Et si possible avec des champs de mines de chaque côté pour le rendre infranchissable.

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              • #37
                il existe deja...il vous suffit d el eprolonger vers le nord


                on en serait ravis !!!


                Le Mur de Defense Marocain - Mur des Sables - Mur de sécurité
                "La grande muraille du Maroc" connue sous le nom de "ceinture de sécurité" est un mur de défense érigé par le Maroc dans le sahara marocain dans le but de protéger ses territoires et sa population contre les invasions hostiles du front du Polisario. Long de 2720 kilomètres, l'ensemble de l'ouvrage n'est plus une simple levée de terre mais une succession d'obstacles alignés sur plusieurs kilomètres de profondeur et soutenus par des points d'appui dotés d'artillerie et de moyens de détections et d'intervention rapide.

                L'édification de ce mur a demandé plusieurs années et des efforts considérables. Mais le résultat en valait la peine: aujourd'hui le Polisario est de plus en plus éloigné de ses bases; il se heurte en outre à une armée solidement implantée et dotée de systèmes d'alarme
                électroniques, radars et autres qui lui permettent de détecter tout mouvement jusqu'à 60 kilomètres de distance, bien avant que les forces ennemies n'aient atteint les retranchements. Face à cette muraille, les lourds chars T54 et T55, de fabrication soviétique, du Polisario, viennent briser leur élan, sans espoir de franchissement.

                Depuis la construction du mur, d'ailleurs, et après quelques lourds échecs, le polisario se limite à de brefs échange d'artillerie, opération d'harcèlement couteuse et peu efficace, dont les coups au but sont rarissimes.

                Actuellement plus de 110 000 hommes environ, sur les 200 000 que compte l'armée marocaine sont mobilisés au sud, dont 25 000 a 30 000 sur la frontière algérienne.

                Le mur, avec son équipement électronique, son armement léger et lourd et, surtout, avec une armée qui au fil des années est devenue de plus en plus performante dans la guerre du désert, protège efficacement le sud du pays.

                Etapes de construction

                Le mur de défense a été construit à partir de 1980 en six étapes:

                1- La première étape de construction a débuté en août 1980 et s'est terminée en juillet 1982. Le premier mur est d'une longueur de 500 kilomètres et s'étend de la région de Ras El Khanfra à la ville de Boujdour.

                2 - La construction du deuxième mur débuté en décembre 1983 pour se terminer en janvier 1984. Le mur s'étend du sud-ouest de Boucraâ pour englober Amgala et Touereght.

                3- Le troisième mur long de 320 kilomètres a débuté en avril 1984 pour s'achever en mai 1984. Le mur s'étend de la région Zaak vers celle de Ratmia.

                4 - Construit entre décembre 1984 et janvier 1985, Le quatrième mur, long de 380 kilomètre s'étend de la région de Taref Bouhenda vers Lebreiga.

                5- Le cinquième mur est long de 670 kilomètres, il prend place du sud-ouest d'Amgala vers Labeirda. Construit entre mai et septembre 1985.

                6- Le sixième et dernier mur et long de 550 kilomètres, il s'étend de la region Taref El Mekhenza pour s'achever vers El Guarguerat vers la côte atlantique.



                Équipement et Armement

                Les Forces armées royales utilisent divers équipements pour la protection du mur :
                - Radars de détections électronique et d’exploration de terrain type rasura et AN/PPS-15, ainsi que des radars de plus de 50 kilomètres de porté, tout ces élément sont connectés à des batteries d’artillerie, situé sur plusieurs kilomètres en arrière (le système électronique acquis début des années 80 pour le mur est américain le Northrop)
                - Mines anti-personnels et détonateurs de fabrication principalement européenne.
                - Bombes à fragmentations d'origine américaine

                - Hélicoptères de transport de type CH-47 et AB-205 qui ont pour mission le transport immédiat de parachutistes et commandos.

                Les Unités de Protection

                La protection du mur est faite par plusieurs groupes militaires. Il y a tout d'abord les B.I.M (Bataillon Infanterie Mécanisé), stationnés un peu partout ils sont au nombre de 64. Plus loin derrière le mur sont stationnés les R.I.M (Régiments d'Infanterie Motorisé). Il y aussi les G.E.B (Groupe d'Escadrons Blindées)(M-48A5, M-60A3, Sk-105, AML-20-60-90, AMX-10RC etc..). Puis il y a les G.A.R (Groupes d'ARtillerie)(munis de AMX-F3, M-109, M-110).

                Toutes ces unités de protections sauf les BIS sont des unités mobiles, elles se déplacent pour protéger le mur contre d'éventuels invasions des mercenaires du Polisario, l’aviation et enfin les unités de soutiens qui viennent contrer les incursions.

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                • #38
                  j'ai dit qu'il faut le construire sur tout le long.

                  Commentaire


                  • #39
                    parfait !!!

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                    • #40
                      (D'ailleurs, la personne dans le film ment comme il respire. J'en sais quelques chose !).
                      Ah Ah Ah Ah

                      Maintenant c'est les algeriens qui se mentent entre eux , quel mentalité pourrie

                      Commentaire


                      • #41
                        Allez y Hugo Chavez sa sera fait sur votre dos bien sur a vos frais

                        Construisez ce mur qu'on puisse enfin etre tranquille

                        Commentaire


                        • #42
                          eh oui, on est pourri

                          et on ne veut pas reouvrir la frontiere

                          a presnet, un peu de dignité, vous faites de la peine

                          non cest non !!!!

                          Commentaire


                          • #43
                            Hugochavez regarde bien la video tu verra qui fait de la léche et qui vie grace aux marocains

                            L'autre journaliste qui te dis "CASA CASA" non CASA cé pas chez toi, "ALGER ALGER" reste laba.

                            Commentaire


                            • #44
                              hugochavez59

                              eh oui, on est pourri
                              et on ne veut pas reouvrir la frontiere



                              aller senôr hugo,90 milliards de $ dans les banques americaines dont profitent seuls les americains et vous ne voulez même pas nous aider à construire ne serait ce que 200Km de mur qui vous débarrassera de nous?

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                              • #45
                                il ne faut pas oublier

                                aller senôr hugo,90 milliards de $ dans les banques americaines dont profitent seuls les americainset vous ne voulez même pas nous aider à construire ne serait ce que 200Km de mur qui vous débarrassera de nous?
                                ce sont les sionistes qui gèrent ces banques, qui profitent de cet argent pour tuer les palestiniens..................:22:

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