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La foule de Lattaquié, après celles de Damas et d’al Hasaka

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  • #16
    ... il sautera comme tous les derniers dinosaures ...car personne ne peut changer le cours de l'Histoire ... ainsi va le monde.
    "un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique" Ibn Khaldoun

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    • #17
      Brume,nous parlons de la syrie.

      Si toi,t'as le droit de defendre ce regime,j'ai le droit de defendre les musulmans la-bas.Surtout qu'il y a 900 milles d'Algero-syriens.C'est un de mes droits constitutionnels.Que vive la revolution sunnite en syrie y compris avec l'appui des laches qataris.

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      • #18
        il sautera comme tous les derniers dinosaures ...car personne ne peut changer le cours de l'Histoire ... ainsi va le monde.
        Et si tu allais leur dire aux syriens le 30 octobre à 13H à Paris? Histoire d'être cohérent........Facile de faire de l'esbrouffe derrière un clavier......

        Insam

        Sauf que l'immense majorité du peuple d'Algérie, est avec le peuple Syrien et contre ce complot.......Donc use à ta guise de ton droit constitutionnel.....

        Et si tu allais aussi le dire en face des Syriens à Paris, l 30 octobre?
        Vas jusqu'au bout de tes idées!

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        • #19
          Si toi,t'as le droit de defendre ce regime
          Je ne défends pas le régime. Mais je te dis, il faut laisser les Syriens décider. Ni toi, ni les occidentaux-rapaces n'avez le droit de vous ingérer.

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          • #20
            Mehdi @ Tu ne trouves pas que tu exageres!!!! Ces etudiants Syriens vivant a Paris, sais tu, a quelle frange, ils appartienent? normale qu ils soutienent Bachar.

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            • #21
              Les dictateurs forcent toujours le peuple à sortir dans les rues pour quelques sandwichs quand ils sont dans des troubles. Chadli l'avait fait aprés le 5 octobre 88, des millions dans les rues mais personne ne l'aimait. Kadhafi, Assad, Boutef ont tous tenté de tromper l'opinion internationale.
              Pas à la tique ..

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              • #22
                La frange du peuple Syrien.........Au fait, ils étaient ou les opposants?

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                • #23
                  car personne ne peut changer le cours de l'Histoire
                  Est-ce que tu réalises ce que tu écris? «Personne ne peut changer le cours de l'histoire», dit-elle. Par l'abus de la puissance, la volonté et la voracité d’un quatuor, insatiable, avide et inhumain, l'histoire vient de changer sous tes yeux, indifférents ou jubilants, et sous les yeux du monde entier.

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                  • #24
                    Il y a des desertions enormes en ce moment, notemment les soldats sunnites qui quitte a bout de champs l'armée du rat de damas

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                    • #25
                      oui dans les propagandes de hamoud.........

                      Mais 12 militaires lâchement assassinés ce jour par les hordes islamistes........;

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                      • #26
                        La frange du peuple Syrien.........Au fait, ils étaient ou les opposants?

                        mehdi-amazigh
                        .....................

                        En prison où en exil !!!

                        "La Syrie est une oasis d'impunité"

                        Par Fabrice Aubert , le 27 octobre 2011-TF1


                        TEMOIGNAGE - En prison au début du soulèvement, Muhanad Alhasani (à gauche), avocat syrien, a été libéré en juin dernier. Honoré par le barreau de Paris, il dénonce l'inaction de la communauté internationale face à la répression menée par le régime de Bachar al-Assad.

                        Avocat syrien, défenseur des libertés publiques et président de Swasiah, l'une des organisations syriennes des droits de l'homme, Muhanad Alhasani a été arrêté en 2009. Son délit est symbolique des difficultés d'exercer le métier dans le pays : avoir critiqué le déroulement des audiences de la Cour de sûreté de l'Etat (ndlr : abolie en avril dernier, elle était particulièrement chargée de juger les "crimes politiques"). Un an plus tard, après avoir été radié à vie du barreau de Damas, il a été condamné à trois ans de prison pour "affaiblissement du sentiment national" et "propagation de fausses nouvelles".

                        Libéré de manière anticipée en juin dernier, il a décidé de voyager en Europe pour dénoncer la délicate situation des avocats et plus globalement la répression menée par le régime. Jeudi, il était ainsi l'invité du barreau de Paris, qui était intervenu en sa faveur lors de son procès. Il a notamment reçu le titre symbolique d'avocat honoris causa. "Nous le considérons comme un confrère à part entière. Si certains des avocats syriens ont vendu leur âme au régime, les autres continuent le combat. M. Alhasani en fait partie", souligne Jean-Yves Le Borgne, le vice-bâtonnier.

                        Vous étiez en prison lors du début de la révolte contre Bachar al-Assad en mars. Aviez-vous accès aux informations ?
                        Muhanad Alhasani : Ma situation ne me permettait pas d'obtenir d'informations de manière transparente. Je ne recevais que quelques visites d'une dizaine de minutes par mois. J'étais alors séparé de mon interlocuteur par une grille et la conversation était surveillée par des officiers des renseignements généraux. Néanmoins, j'avais des nouvelles au compte-gouttes grâce à d'autres prisonniers, qui me les transmettaient en secret.

                        En juin dernier, vous avez été libéré. Qu'avez-vous ressenti en prenant connaissance de l'ampleur du soulèvement et de la répression ?
                        M.A. : La dernière chose à laquelle je pensais en sortant, c'est que j'allais voir que toutes les choses contre lesquelles j'ai milité depuis 25 ans -les crimes, les tortures, les arrestations arbitraires, les violations des droits de l'homme...- étaient désormais appliquées à grande échelle. Et encore moins que l'essence qui alimentait ce bûcher était ma famille de pensée, c'est-à-dire celle des libertés. Je n'y croyais pas.

                        Qu'avez-vous fait à votre sortie de prison ?
                        M.A. : Je suis en fait resté peu de temps en Syrie. Après avoir parlé un peu dans les médias, j'ai pu communiquer avec les classes populaires de Damas. J'ai reçu des dizaines de personnes à mon bureau, originaires de tous les quartiers de la ville. Elles voulaient me saluer et me raconter leur histoire. Ensuite, j'ai estimé que le meilleur moyen de défendre les victimes, c'était de partir en Europe pour mettre en lumière les exactions du régime. Aujourd'hui, je ne sais pas quand j'y retournerais. Tout dépendra de l'endroit où mon message aura le plus de force, à l'intérieur ou à l'extérieur de la Syrie.

                        "Un risque de radicalisation dans la religion"
                        Comptez-vous rejoindre le Conseil national syrien (ndlr : organisme qui fédère désormais l'opposition en exil) ?
                        M.A. : Non. Je ne fais partie d'aucun groupe politique, je suis un simple membre de la société civile. Certes, je suis en contact avec quelques membres du CNS qui vivent à Paris. On m'a même proposé d'en faire partie, ou d'autres entités politiques en cours de création. Certains ont aussi inscrit, de manière amicale, mon nom sans vraiment me demander mon avis. Mais je ne fais pas de politique. Mon domaine, c'est la défense des droits de l'homme et donc des victimes, sur la base du code des citoyens syriens. Je préfère être aux côtés de ces victimes pour les aider. Et c'est pourquoi je parle aux médias.

                        Vous êtes justement en Europe pour faire connaître la situation en Syrie. Qu'attendez-vous de la France, et plus largement de la communauté internationale ?
                        M.A. : J'en attends tout. Je demande notamment à la société civile française de faire pression sur le gouvernement français pour qu'il fasse tout ce qui est possible pour stopper le bain de sang. Aujourd'hui, la Syrie est une oasis d'impunité. Et le monde entier regarde sans rien faire. Dans les journaux télévisés, il s'agit de l'un des derniers sujets abordés.

                        Surtout, la communauté internationale a été incapable de s'entendre sur une condamnation. Or il faut savoir, qu'en matière des droits de l'homme, la Libye n'était pas le pire régime du monde arabe. Si personne n'aide les Syriens qui se révoltent, ils risquent de se radicaliser dans la religion.

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                        • #27
                          Que de temoignages credibles!!! mais cela ne changera jamais le cours des evenements avec les prodictateurs!! Et dire qu ils sont nombreux...

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                          • #28
                            En prison où en exil !!!
                            A Paris? que tu es risible tu sais...............

                            27 octobre 2011-TF1
                            je vois...je vois.........

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                            • #29
                              Mehdi,kho!

                              Ouksimm billah que je suis Algerien des pieds jusqu'a la tete.La majorité d'Algeriens n'aiment pas assad.

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                              • #30
                                Mehdi @ Tu ne trouves pas que tu exageres!!!! Ces etudiants Syriens vivant a Paris, sais tu, a quelle frange, ils appartienent? normale qu ils soutienent Bachar


                                non Mehdi n’exagère pas, on s'est fait avoir une fois par el khanzeera, on a compris la leçon

                                Commentaire

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