Mohamed Benalel Merah, le père de l’auteur des tueries de Toulouse et Montauban, a indiqué vouloir poursuivre l’État français qui a, selon lui, échoué à capturer son fils vivant. Des déclarations qui offusquent les responsables politiques français.
Le père de Mohamed Merah, l’auteur des tueries de Toulouse et Montauban, a annoncé qu’il avait l’intention de porter plainte contre la France pour, dit-il, "avoir tué son fils".
Lors d’une interview accordée ce mardi 27 mars au journal algérien "El Chourouk" et à laquelle a assisté le correspondant de FRANCE 24 en Algérie, Kamel Zaït, Mohamed Benanel Merah s’interroge sur les méthodes utilisées par les forces spéciales de la police française lors du raid censé aboutir à son arrestation. "Ils auraient pu l’attraper endormi ; ils auraient pu utiliser un gaz par exemple, et le prendre comme si c’était un bébé", a-t-il déclaré.
"Pourquoi se sont-il précipités ? demande-t-il. Pourquoi l’ont-il tué ? Ils auraient pu l’arrêter vivant et le présenter devant la justice. Il aurait pu écoper d’une peine de prison de plusieurs années, ou même à perpétuité. La peine de mort a été abolie en France.
France24
Le père de Mohamed Merah, l’auteur des tueries de Toulouse et Montauban, a annoncé qu’il avait l’intention de porter plainte contre la France pour, dit-il, "avoir tué son fils".
Lors d’une interview accordée ce mardi 27 mars au journal algérien "El Chourouk" et à laquelle a assisté le correspondant de FRANCE 24 en Algérie, Kamel Zaït, Mohamed Benanel Merah s’interroge sur les méthodes utilisées par les forces spéciales de la police française lors du raid censé aboutir à son arrestation. "Ils auraient pu l’attraper endormi ; ils auraient pu utiliser un gaz par exemple, et le prendre comme si c’était un bébé", a-t-il déclaré.
"Pourquoi se sont-il précipités ? demande-t-il. Pourquoi l’ont-il tué ? Ils auraient pu l’arrêter vivant et le présenter devant la justice. Il aurait pu écoper d’une peine de prison de plusieurs années, ou même à perpétuité. La peine de mort a été abolie en France.
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