le pdg de cette chaine doit se plier aux choix du gouvernement (peuple)
D'ailleurs, tu ferai bien de lire cette interview, car ce point y est justement mentionner !
Très bien, vous avez donc reçu ces fameux cahiers dans ces conditions de forme, mais qui ont leur importance… Quel a alors été votre première réaction ?
Notre première réaction, qui est toujours d’actualité, est d’abord et avant tout professionnelle : nous sommes au service de la politique gouvernementale, de la mise en œuvre de la constitution, de l’application des lois sous l’autorité de la HACA. Le premier pas fut d’abord l’examen des cahiers des charges que nous avons reçus un dimanche ; et le lendemain, lundi, nous avons commencé le travail en tenant des réunions qui se sont poursuivies pendant 10 jours, 10 jours durant lesquels nous devions comprendre le contenu du document, évaluer son coût financier et son impact sur la programmation, ainsi que les ressources humaines nécessaires pour le mettre en pratique.
Nous avons ensuite entamé la formulation de nos propositions, toujours dans le cadre de réunions ininterrompues. Alors, aujourd’hui, pourquoi disons-nous cela ? Nous ne refusons pas ces cahiers de charges mais en tant que professionnels, nous avons des observations importantes, fondamentales. A ce niveau, nous nous devons de faire part de nos idées, d’expliquer à l’opinion publique les conséquences des documents du ministère et, éventuellement, de tirer la sonnette d’alarme. Cela est mon rôle, mon job, mais il n’est absolument pas dans mes habitudes d’intervenir dans la politique du gouvernement ou d’exprimer mes idées et mes convictions sur les valeurs ou les orientations. Ce sont là des choses qui se discutent entre politiques, dans la cadre de la loi et de la constitution. Mon rôle professionnel se limite à donner mon avis sur la manière dans laquelle ont été élaborés les documents, sur leur contenu et sur la philosophie qui les sous-tend.
Notre première réaction, qui est toujours d’actualité, est d’abord et avant tout professionnelle : nous sommes au service de la politique gouvernementale, de la mise en œuvre de la constitution, de l’application des lois sous l’autorité de la HACA. Le premier pas fut d’abord l’examen des cahiers des charges que nous avons reçus un dimanche ; et le lendemain, lundi, nous avons commencé le travail en tenant des réunions qui se sont poursuivies pendant 10 jours, 10 jours durant lesquels nous devions comprendre le contenu du document, évaluer son coût financier et son impact sur la programmation, ainsi que les ressources humaines nécessaires pour le mettre en pratique.
Nous avons ensuite entamé la formulation de nos propositions, toujours dans le cadre de réunions ininterrompues. Alors, aujourd’hui, pourquoi disons-nous cela ? Nous ne refusons pas ces cahiers de charges mais en tant que professionnels, nous avons des observations importantes, fondamentales. A ce niveau, nous nous devons de faire part de nos idées, d’expliquer à l’opinion publique les conséquences des documents du ministère et, éventuellement, de tirer la sonnette d’alarme. Cela est mon rôle, mon job, mais il n’est absolument pas dans mes habitudes d’intervenir dans la politique du gouvernement ou d’exprimer mes idées et mes convictions sur les valeurs ou les orientations. Ce sont là des choses qui se discutent entre politiques, dans la cadre de la loi et de la constitution. Mon rôle professionnel se limite à donner mon avis sur la manière dans laquelle ont été élaborés les documents, sur leur contenu et sur la philosophie qui les sous-tend.
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