Une petite explication peut être que cela va aider notre ami à comprendre, pour accéder à un immeuble, à un parking ou à des lieux dotés de moyens de contrôles sécurisés, il me faudra soit une clé, soit un badge électronique, si ce dernier me permet de rentrer dans un lieu appelé A, il ne permettra pas de rentrer dans un lieu appelé B, C, D...
De même pour les avions qui volent à des vitesses qui parfois dépassent le Mach 3 çàd 3 fois la vitesse du son, je ne sais pas comment on va faire pour les reconnaitre à partir du sol que ce sont des avions amis.
Donc ces avions sont dotés d'un badge électronique, mais bon, pas comme celui qui me permet d'accéder à "mon" immeuble, il est plus sophistiqué quoi et cela va de soi pour arriver à le capter à une vitesse Mach 1, Mach 2, voire > Mach 3.
Je ne vais pas parler de l'aviation civile, car c'est une autre paire de manche, dès qu'un avion rentre dans l'espace aérien territorialement reconnu à un pays, son badge envoie les infos nécessaires aux différents radars :
1. Avion identifié ami, Ok on laisse passer.
2. Avion non identifié donc ennemi, contact par radio pour lui signifier une violation de l'espace aérien, à ce moment il aura deux choix :
a. Il ressort et rebrousse son chemin, il y aura protestation officielle auprès du pays incriminé par cette violation de l’espace aérien.
b. Il continue... Les avions intercepteurs sont de permanence toute l'année H24, donc la sirène retentit à la base la plus proche où a eu la violation de l'espace aérien, décollage immédiat pour intercepter l’appareil intrus, l'alerte est donnée aussi aux batteries de DCA, notamment celles qui utilisent les missiles sol/air.
PS : Ce qui est à craindre en temps de guerre, où il y a beaucoup d'avions qui survolent un espace aérien donné, qu'il y ait un dysfonctionnement entre le badge électronique de l'avion et le radar, du coup, un avion ami passe pour un avion ennemi et, si le lancement des missiles sol/air se déclenchent automatiquement, c'est la cata, ils auront abattu un avion ami. Mais bon, pour parer à cela il y a un autre moyen de contrôle et, je suis désolé je ne le dirai pas, de peur que tu croiras que je suis un expert en la matière, alors que ce n'est pas du tout le cas.
De même pour les avions qui volent à des vitesses qui parfois dépassent le Mach 3 çàd 3 fois la vitesse du son, je ne sais pas comment on va faire pour les reconnaitre à partir du sol que ce sont des avions amis.
Donc ces avions sont dotés d'un badge électronique, mais bon, pas comme celui qui me permet d'accéder à "mon" immeuble, il est plus sophistiqué quoi et cela va de soi pour arriver à le capter à une vitesse Mach 1, Mach 2, voire > Mach 3.
Je ne vais pas parler de l'aviation civile, car c'est une autre paire de manche, dès qu'un avion rentre dans l'espace aérien territorialement reconnu à un pays, son badge envoie les infos nécessaires aux différents radars :
1. Avion identifié ami, Ok on laisse passer.
2. Avion non identifié donc ennemi, contact par radio pour lui signifier une violation de l'espace aérien, à ce moment il aura deux choix :
a. Il ressort et rebrousse son chemin, il y aura protestation officielle auprès du pays incriminé par cette violation de l’espace aérien.
b. Il continue... Les avions intercepteurs sont de permanence toute l'année H24, donc la sirène retentit à la base la plus proche où a eu la violation de l'espace aérien, décollage immédiat pour intercepter l’appareil intrus, l'alerte est donnée aussi aux batteries de DCA, notamment celles qui utilisent les missiles sol/air.
PS : Ce qui est à craindre en temps de guerre, où il y a beaucoup d'avions qui survolent un espace aérien donné, qu'il y ait un dysfonctionnement entre le badge électronique de l'avion et le radar, du coup, un avion ami passe pour un avion ennemi et, si le lancement des missiles sol/air se déclenchent automatiquement, c'est la cata, ils auront abattu un avion ami. Mais bon, pour parer à cela il y a un autre moyen de contrôle et, je suis désolé je ne le dirai pas, de peur que tu croiras que je suis un expert en la matière, alors que ce n'est pas du tout le cas.
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