Le diplomate et expert espagnol Ángel Manuel Ballesteros a déclaré que son pays, serait obligé de rendre Sebta et Melillia au Maroc, si il réussi à régler son contentieux avec la Grande Bretagne qui occupe depuis des siècles, le rocher de Gibraltar à l’extrême sud de la péninsule ibérique.
Ángel Manuel Ballesteros a indiqué que les cartes géostratégiques des équilibres des puissances dans la région, ne permettraient à un seul pays de dominer les deux rives du hautement stratégique pour la sécurité du monde et pour l’économie international, le détroit de Gibraltar.
Ballesteros qui donnait interview au web média espagnol El Faro Digital, a souligné que le nombre croissant de marocains musulmans des deux enclaves occupées, sympathisants de plus en plus avec les revendications marocaines, ainsi que la conjoncture stratégique internationale, ne vont point au bénéfice des thèses espagnoles.
«Le temps est l’allié du Maroc» remarque le haut diplomate espagnol, s’expliquant ainsi, l’attitude pas trop activiste du royaume dans son processus de revendication des deux villes.
Pour Ángel Manuel Ballesteros, le Maroc n’ira ni à l’ONU, ni à la cour de justice international, pour porter plainte, il laisse mûrir le fruit stratégiquement, pour que sa récupération des deux villes, qui sait internationalement inévitable, se fasse aux moindres frais.
Source: Le mag
Ángel Manuel Ballesteros a indiqué que les cartes géostratégiques des équilibres des puissances dans la région, ne permettraient à un seul pays de dominer les deux rives du hautement stratégique pour la sécurité du monde et pour l’économie international, le détroit de Gibraltar.
Ballesteros qui donnait interview au web média espagnol El Faro Digital, a souligné que le nombre croissant de marocains musulmans des deux enclaves occupées, sympathisants de plus en plus avec les revendications marocaines, ainsi que la conjoncture stratégique internationale, ne vont point au bénéfice des thèses espagnoles.
«Le temps est l’allié du Maroc» remarque le haut diplomate espagnol, s’expliquant ainsi, l’attitude pas trop activiste du royaume dans son processus de revendication des deux villes.
Pour Ángel Manuel Ballesteros, le Maroc n’ira ni à l’ONU, ni à la cour de justice international, pour porter plainte, il laisse mûrir le fruit stratégiquement, pour que sa récupération des deux villes, qui sait internationalement inévitable, se fasse aux moindres frais.
Source: Le mag
Commentaire