Le magazine JEUNE AFRIQUE consacre cette semaine sa une au mouvement amazigh au Maroc.
"Artistes, écrivains, militants associatifs...les nouveaux Berbères ont la foi qui déplace les montagnes. Portrait d'une génération combattante".

Dans son numéro du 07 au 13 septembre, Jeune Afrique dédie son dossier de couverture à l’ « Amazigh power » au Maroc, signé Nadia Lamlili. Il est, en effet question, de la composante Amazigh, sa condition, ses militants et leur « combativité ».
Nadia Lamlili y souligne l’officialisation du tamazight dans la nouvelle Constitution et l’évolution des associations amazighes, citant une militante qui déclare que « cet élan associatif traduit une plus grande visibilité de la berbérité, mais la réhabilitation politique n’est pas pour autant terminée ».
Selon Jeune Afrique, le gouvernement marocain n’a toujours pas rendue effective l’officialisation de la langue amazighe à travers une loi organique portant application de cette nouvelle disposition constitutionnelle, retardant ainsi la généralisation de l’enseignement du tamazight dans les écoles et son entrée dans les administrations.
Toujours selon Nadia Lamlili, les artistes, écrivains et acteurs associatifs amazighs « incarnent une nouvelle génération de militants qui se battent pour que la composante berbère de l’identité nationale se traduise dans tous les domaines».
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"Artistes, écrivains, militants associatifs...les nouveaux Berbères ont la foi qui déplace les montagnes. Portrait d'une génération combattante".

Dans son numéro du 07 au 13 septembre, Jeune Afrique dédie son dossier de couverture à l’ « Amazigh power » au Maroc, signé Nadia Lamlili. Il est, en effet question, de la composante Amazigh, sa condition, ses militants et leur « combativité ».
Nadia Lamlili y souligne l’officialisation du tamazight dans la nouvelle Constitution et l’évolution des associations amazighes, citant une militante qui déclare que « cet élan associatif traduit une plus grande visibilité de la berbérité, mais la réhabilitation politique n’est pas pour autant terminée ».
Selon Jeune Afrique, le gouvernement marocain n’a toujours pas rendue effective l’officialisation de la langue amazighe à travers une loi organique portant application de cette nouvelle disposition constitutionnelle, retardant ainsi la généralisation de l’enseignement du tamazight dans les écoles et son entrée dans les administrations.
Toujours selon Nadia Lamlili, les artistes, écrivains et acteurs associatifs amazighs « incarnent une nouvelle génération de militants qui se battent pour que la composante berbère de l’identité nationale se traduise dans tous les domaines».
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