C'est une nouvelle déclaration choc du candidat républicain à la Maison Blanche. Donald Trump estime que l'actuel président et sa rivale, ex-secrétaire d'état, ont favorisé l'essor de Daech en gérant le retrait des forces US d'Irak.
Ce n'est pas la première fois que Donald Trump attaque les démocrates à ce sujet. A chaque discours ou presque, il raconte à ses partisans que la politique étrangère de l'administration Obama en Irak, en Syrie et en Libye a créé les conditions de l'émergence du groupe état islamique. Mais rarement il n'avait attaqué le président américain de manière aussi clair.
Donald Trump rajoute que Daech "le leur rend bien et que l'organisation les honore". Une remarque qui en rappelle une autre. Il y a quelques semaines le milliardaire avait laissé entendre que le président Obama était impliqué dans le massacre du Pulse, la boîte de nuit d'Orlando où un homme se reclamant de l'EI avait tué près de 50 personnes.
Ce jeudi, Donald Trump a abandonné toute nuance évoquant Barack Obama en insistant lourdement sur son deuxième prénom, Hussein, dans un clin d'oeil à ses electeurs dont deux tiers pensent que le président est musulman.
Source: franceinfo.fr
Ce n'est pas la première fois que Donald Trump attaque les démocrates à ce sujet. A chaque discours ou presque, il raconte à ses partisans que la politique étrangère de l'administration Obama en Irak, en Syrie et en Libye a créé les conditions de l'émergence du groupe état islamique. Mais rarement il n'avait attaqué le président américain de manière aussi clair.
Donald Trump rajoute que Daech "le leur rend bien et que l'organisation les honore". Une remarque qui en rappelle une autre. Il y a quelques semaines le milliardaire avait laissé entendre que le président Obama était impliqué dans le massacre du Pulse, la boîte de nuit d'Orlando où un homme se reclamant de l'EI avait tué près de 50 personnes.
Ce jeudi, Donald Trump a abandonné toute nuance évoquant Barack Obama en insistant lourdement sur son deuxième prénom, Hussein, dans un clin d'oeil à ses electeurs dont deux tiers pensent que le président est musulman.
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