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Feter Yenayer pour un Musulman

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  • #31
    Qu'elle est belle la vie...
    Pas si vite...faut d'abord être sûr que respirer c'est pas haram sinon les carottes sont cuites.

    PS : à propos du soutien aux verts et les liesses populaires à la suite des victoires de l'EN, le verdict est tombé il y a quelques temps dans cette même rubrique : c'est haram oua fret ! T'es pas content ou bien pas d'accord ??? Tarbah ! C'est le même prix
    « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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    • #32
      achoura => haram
      Jeuner le jour de Ashoura ainsi que la veille est une Sunna fortement conseillée... Par contre en faire une fête...
      Tu remarqueras que je n'ai pas utiliser le terme de haram...



      Qu'elle est belle la vie...
      Qu'elle sera belle vie de ceux qui auront accès au Paradis éternellement pour avoir respecté les interdits de Dieu...


      T'es pas content ou bien pas d'accord ??? Tarbah ! C'est le même prix
      Exact. La religion ne s'adapte pas aux envies de chacun...

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      • #33
        Qu'elle sera belle vie de ceux qui auront accès au Paradis éternellement pour avoir respecté les interdits de Dieu
        C'est plutôt les interdits des sallafistes et compagnie :22:

        Le top c'est d'etre heureux dans toutes les vies

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        • #34
          Le top c'est d'etre heureux dans toutes les vies
          En effet. Et comme un tiens vaut mieux que deux tu l'auras, je prends mes précautions

          Il sera toujours de plaider sa cause le moment venu.
          « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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          • #35
            j'ai oublié le nom que donnaient les Algérois pour dire Yannaer, qui doit provenir du latin Janus, enfin on est dans l'attente d'informations sur le sujet.
            Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

            J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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            • #36
              Yennayer sera une fête nationale un jour, de toute façon il le sera dans la Kabylie autonome
              Rebbi yerrahmek ya djamel.
              "Tu es, donc je suis"
              Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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              • #37
                Drôle de question!! Halal ou haram de fêter yennayer???
                On fait quoi de mal en le fêtant? un bon repas familiales et c'est tout!
                Bien plus que ça ! ....

                C'est ce qui fait de nous ce que nous sommes....ce qui nous distingue d'eux ! ...enfin, vous voyez !

                Tant mieux si certain de l'espèce de "Aygher" ne le fête pas....on veut surtout pas être assimiler à eux !


                Bi3deth-agh akin !

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                • #38
                  Envoyé par Gandhi
                  Yennayer sera une fête nationale un jour, de toute façon il le sera dans la Kabylie autonome
                  Yennayer n'est pas seulement confiné à la Kabylie.
                  Dans les années 50 je me rappelle que c'était courant de le fêter aussi bien à Alger et les environ... et même en Oranie.

                  Aujourd'hui je ne peux pas affirmer, mais il faut croire que les us et coutumes se perdent difficilement.
                  L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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                  • #39
                    et même en Oranie.
                    ________________________________
                    et meme plusque vous croyer


                    Tlemcen :le carnaval de Ayrad chez les béni snous.
                    Les populations de la commune de Béni snous organisent le 12 janvier de chaque nouvel an la fête traditionnelle de d’Ayrad, (le lion en Tamazight). Elle coïncide avec Yennayer,la nouvelle année du calendrier berbère, ou toutes les familles préparent le berkoukès, les beignets, les crêpes et autres. Le spectacle se fait dés la tombée de la nuit.
                    Les participants passent ensemble d’une maison à une autre à Khémis. Les comédiens sont au nombre de neuf et même un peu plus avec un guide et tous déguisés avec des masques ( les cornes, les peaux d’agneaux...) Le grand Ayrad quant à lui est tiré à l’aide d’une chaîne par une personne afin de ne pas échapper.
                    Par contre, le guide est muni d’un drapeau à la main entouré des autres et frappent aux portes des maisons. Dans le cas ou le propriétaire de la maison n’ouvre pas, les spectateurs disent à haute voix « chebriya mherssa moulat eddar emtalka », c’est à dire que la jarre est brisée et que la maîtresse de la maison sera divorcée et déposent un « kerkor » ; un amas de pierre devant l’entrée de cette maison.
                    Lorsque la porte est laissée entrouverte, c’est la lionne ( l’biyya ) qui entre la première accompagnée des spectateurs et aidés par le son du tambourin, le bendir et la ghaita et à haute voix disent « ayellih oulalala amoulay ejjerwan oujerwaken, chebrelek erreblek » ainsi que d’autres expressions « Hallou bibankoum rahna jinalkoum » c’est à dire ouvrez vos portes, nous sommes venus . Et c’est ainsi qu’après avoir effectué quelques tours à la maison la lionne tombe à terre et fait le mort à chaque séance. Puis le grand Ayrad ( le lion), entre avec fureur et observe la lionne en train de mourir. Après quelques minutes de jeu et au réveil de la lionne, le maître de la maison remet au guide de l’argent de la ziyara et surtout des fruits mélangés, des gâteux, du pain,des grenades, des figues sèches etc .Et c’est au tour du m’kaddem de réciter la fatiha à haute voix tout en souhaitant les bienfaits pour la société, une nouvelle année abondante en richesses en priant Dieu de nous apporter sa miséricorde, clémence et se dirigent ensuite vers une autre maison et ainsi de suite jusqu’à l’aube et ce durant trois jours.
                    Tous ces dons sont remis aux nécessiteux et les démunis du village. Cette fête ancestrale n’est plus comme avant à cause des changements survenus dans le développement et les mentalités. Mais,en somme, elle n’est pas oubliée puisque les vieux se rappellent encore des excellents moments de joie de cette fête tant attendue.
                    Pour cet évènement marquant la vie culturelle , des hypothèses sont avancées dont la plus connue pour le moment est « l’évènement en 950 avant j.c. qu’elle associe à un fait historique qui s’est déroulé il y a de cela 2957 ans dans la localité de Khémis (wilaya de Tlemcen). C’est là en effet, que le roi Amazigh Chachnak infligea une cuisante défaite aux armées du pharaon Ramsés III attiré par la conquête de nouveaux territoires réputés par leurs richesses essentiellement agricoles ».
                    Dans ce contexte, des recherches anthropologiques ont été menées et d’autres sont en cours en vue de nous donner un éclairage sur ce frappant évènement qui n’a pas encore dévoiler ses secrets de cette contrée à patrimoine culturel diversifié et lointain.
                    Par ailleurs et selon ce qui a été colporté par les uns et les autres « il y a de cela quelques années, deux ayrad étaient organisées celui de Ouled Farès et d’Ouled Méziane dont aucun n’était autorisé à dépasser les limites de son quartier. Après que la tournée fut terminée, les deux groupes se rencontrèrent au derb Hammou, le petit tunnel situé à côté de la grande mosquée, qui sépare le village de Khémis ou eut lieu une violente dispute. Après cet affrontement, le succès est revenu à Ayrad Amokrane celui de Ouled Farès( un site supérieur très ancien du village séparé par une artère principale coupant le village en deux ) sur Ayrad Amechtouh celui des Ouled Méziane.
                    Un vieux dira « Cet évènement me fait rappeler les meilleurs moments de ma vie. Il était pour nous un lieu de communication après une longue absence du village et ceux qui viennent d’autres contrées lointaines. On sentait la fraîcheur de la baraka qui venait. ».
                    Un film a été produit sur le site de Khémis par le réalisateur Noureddine El Hachemi et son équipe et a été diffusé à l’écran de la télévision nationale.
                    Pour la mise en valeur de ce patrimoine millénaire, l’association culturelle Eddakira Essanoussia a été crée. Elle a célébrée Yennayer 2950 ( 12 janvier 2001 ) à travers une caravane culturelle sur invitation du Haut Commissariat à l’Amazighité ( h.c.a ) par la présentation sur scène du carnaval au théâtre national algérien Alger, à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou et au théâtre régional de Béjaîa. Ce fut une première et un succès en même temps de la production de ce carnaval en dehors de Béni snous. Le chef de la délégation était mr. Assad Si El Hachemi que nous le remercions de l’accueil chaleureux et de cette initiative du h.c.a.
                    L’origine de ce carnaval réside dans son authenticité, il est spontané et tiré du fin fond de nos us et coutumes et les croyances les plus lointaines. Il est le patrimoine de tous et l’apogée d’une identité millénaire dont les populations s’attachent et s’identifient. Il était célébré avec faste pour marquer le nouvel an amazigh et s’inscrit en plus dans l’esprit de la solidarité communautaire et de l’attachement au sacré.
                    23 décembre 2006
                    Mohamed GADIRI.

                    Tlemcen : on raconte qu’Ennayer
                    Certaines croyances sont rapportées dans la wilaya comme par exemple à Tlemcen :
                    « on n’éconduit jamais un mendiant le jour d’ennayer »
                    On raconte qu’un jour ennayer vint en personne, sous les traits d’une vieille femme, demander l’aumône à une porte. La maîtresse de maison était occupée à ce moment à faire des crêpes. Elle sortit tenant à la main une broche qui lui servait à retirer les crêpes en menaçant la mendiante. Ennayer s’enfuit, mais comme il avait emporté avec lui toute la prospérité, pendant l’année entière, la faim se fit sentir dans cette maison.
                    Et la malheureuse femme vint conter l’histoire à ses amies. Mais, c’était sûrement ennayer, dirent elles, quand il reviendra traite le généreusement ! la vieille revint l’année suivante, elle fût bien reçue et le bien être rentra à la maison.
                    A Béni snous on dit « laisse tes olives jusqu’à ennayer, elles te donneront une compensation en qualité pour la perte subie en quantité »
                    D’autres coutumes sont racontées.
                    23 décembre 2006

                    Mohamed Gadiri
                    Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

                    Gödel

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                    • #40
                      Carnaval antique pour le Nouvel An berbère a beni snouss









                      ennayer, qui inaugure le calendrier agraire toujours en usage dans les campagnes d’Afrique du Nord, remonte à 950 avant J.-C., lorsque le roi Chachnaq imposait sa domination sur l’Égypte après avoir vaincu les troupes du pharaon Ramsès.

                      Pendant des siècles, cette victoire, qui flattait l’ego d’un peuple cible d’invasions multiples, était célébrée avec faste. De nos jours, il ne reste de cette épopée que de maigres réjouissances culinaires. On accueille encore la nouvelle année avec les fendj (beignets à l’huile d’olive) et fruits secs. En Kabylie, le traditionnel couscous au poulet est accompagné des voeux d’Assegwass ameggaz, « bonne année », échangés par SMS. Des pâtissiers osent même une bûche décorée du « Z » berbère, symbole moderne de lutte et d’espoir. Mais le carnaval qui, jadis, saluait pendant trois nuits consécutives l’arrivée de la nouvelle année est, depuis longtemps, tombé dans l’oubli.

                      À Beni-Snous, près de Tlemcen, dans l’Ouest algérien, une tribu berbère isolée continue pourtant de résister, tels les Gaulois du village d’Astérix, à l’uniformisation culturelle. Le soir du 12 janvier, El-Khemis, chef-lieu de commune, a rendez-vous avec Ayred - le lion -, son antique carnaval dédié au courage et à la puissance. « Toute la vallée des Beni-Snous est surnommée le pays des mystères et des miracles, en raison de ses spécificités culturelles, explique l’universitaire Mohamed Saridj. Depuis la nuit des temps, la population laborieuse, solidaire, a toujours combattu les prédateurs qui tentaient de la soumettre. »

                      Le village est plongé dans l’obscurité. Dans les rues étroites qui longent les maisons adossées les unes aux autres, dans un mélange anarchique d’architecture traditionnelle et de béton inachevé, la foule attend le début de la procession. Brusquement, une vingtaine d’hommes masqués surgissent, dansant au rythme envoûtant des bendirs - tambourins -, en chantant des cantiques à la gloire de « Moulay Djerwane, Djerwakèle ! ». Un personnage mythique dont les historiens peinent à décoder l’énigme.

                      La procession part du sanctuaire de Sidi Ahmed, un saint musulman. Vestige des premiers temps de la conquête arabe, au VIIe siècle, lorsque l’islam cohabitait avec les traditions païennes locales, l’édifice sacré, sans toiture, a été construit autour d’un arbre millénaire au tronc gigantesque ; les ex-voto en tissu, accrochés aux branches sèches, témoignent d’autant de voeux en attente d’être exaucés. « Les masques sortant du sanctuaire, ce sont les ancêtres qui sortent de la terre, du monde des morts pour apporter la prospérité », commente l’anthropologue Farida Aït-Ouffroukh. « Si la tradition antique est respectée, les chants ont été arabisés », déplore-t-elle.
                      Dernière modification par djet 7, 19 décembre 2009, 06h59.
                      Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

                      Gödel

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                      • #41
                        Comme la plupart des Algériens, les Beni-Snous ont adopté la langue arabe ; mais ils n’ont pas renoncé à leurs racines. « Les Kabyles parlent tamazight, le berbère, mais ils ont perdu les traditions ; chez nous, c’est l’inverse », plaide fièrement un vieux sage.

                        Éclairés par des flambeaux en alpha, et déguisés de la tête aux pieds avec des peaux de bêtes et des haillons, les acteurs en transe peuvent ainsi se défouler et donner libre cours à leur agressivité, sans être reconnus. Comme des taureaux lâchés au milieu d’une foule excitée, ils chargent avec de longs bâtons ou des lanières en cuir, et frappent ceux qui refusent de chanter la gloire d’Ayred. Dans la débandade, un adolescent au bord des larmes se relève, les genoux en sang ; un vieux villageois tente de le consoler : « Pour celui qui reçoit le coup, plus la douleur est vive, plus elle annonce un bonheur proche ! »

                        Avec leurs masques en toison de mouton ou en peau de chèvre, et leurs crinières de cheval, les Ayred, choisis parmi les plus grands et les plus forts du village, occupent les devants d’une mise en scène immuable, tout en symboles. Parmi eux, la lionne enceinte, une femme au ventre proéminent, au visage découvert, maquillée et parée de bijoux, est l’objet de toutes les attentions. C’est la terre nourricière dont on implore la fertilité. Derrière, d’autres masques, dignes d’un film d’épouvante, sèment la panique. Comme ce zombi géant tenu en laisse, dont la longue complainte d’outre-tombe glace le sang des plus avertis.

                        Sur la place du village, le cortège, suivi de loin par la foule qui scande « Ayred ! Ayred ! », marque une pause. La lionne danse au ralenti en mimant des douleurs : elle va accoucher. Autour d’elle, les lions se jaugent, se bousculent et se défient par des grognements gutturaux. Lorsque naît le lionceau, ils doivent s’affronter dans des combats singuliers. Le vainqueur devient Ayred Amoqran, le grand lion, qui impose sa paternité au nouveau-né et son autorité sur la tribu !

                        Ayred Amoqran prend alors la tête de la procession qui s’arrête au seuil de chaque foyer en chantant : « Ouvrez vos portes, nous sommes arrivés ! »

                        La maîtresse de maison laisse entrer les lions, qui cherchent du regard « la pomme de la colossale montagne », la jeune fille de la maison cachée quelque part. Sans toutefois déroger au rigoureux code d’honneur de la tribu. Parfois, Cupidon s’en mêle et la scène débouche sur de vraies idylles, scellées quelques mois plus tard par un mariage. La maîtresse de maison leur fait des offrandes (figues sèches, grenades, galettes), symbolisant chacune un voeu : le mariage pour la vieille fille, un enfant pour la femme stérile, un garçon pour celle qui n’a eu que des filles... Puis la procession, en transe, reprend ses chants sacrés et se dirige vers la maison suivante.

                        Tard dans la nuit, la foule se disperse et les masques retournent au sanctuaire. Le qalmun, le sage qui a collecté les offrandes dans un grand sac, les distribue aux nécessiteux.

                        Dans les années 1990, ce théâtre de rue sentant le soufre, tant il jure avec l’hégémonie de la culture arabo-islamique, a été interrompu pendant quatre ans, après les menaces des intégristes contre ces rites polythéistes. Avec la paix retrouvée, Ayred de Beni-Snous, qui tient à la fois de la pantomime, de la chorégraphie et des danses sacrées, risque de sombrer dans le ridicule de la récupération politique.

                        La veille de Yennayer, les autorités ont organisé dans les rues de Tlemcen, haut lieu d’histoire et de culture musulmane situé à une quarantaine de kilomètres de Beni-Snous, un Ayred de contrefaçon. Une mise en scène officielle destinée au journal télévisé. Encadré par la police, ce mélange de masques multicolores en plastique, noyés dans un défilé de cavalerie arabe, de fanfare coloniale, de courges de Halloween et de sorciers de Harry Potter, voulait donner le change sur le « respect de la diversité culturelle en Algérie ». Et, au même moment, le gouvernement décrétait pour une année « Alger, capitale de la culture arabe »...

                        Le Figaro
                        Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

                        Gödel

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                        • #42
                          merci à vous deux Avucic & dje7 pour ce rappel historique ....

                          Commentaire


                          • #43
                            YENAYER feter ou pas YENAYERIEN A FAIRE

                            Commentaire


                            • #44
                              Merci Dje, nous avons toujours fêté yanayer à la maison mais je n'ai jamais su à quoi ça se rattachait réellement.

                              Au fil du temps les festivités se sont réduites me semble-t-il car je ne me souviens pas de quelque chose en particulier en dehors de fruits secs, gâteaux et d'un repas familial.
                              « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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                              • #45
                                on fête tout: Mouharam, AlmAwlid, Nayer ( yanayer), 3achoura, le ramadan, lilet 27, les deux Aides ( le grand et le petit), le réveillant ....tout tout tout, mantalgou walou! Ca fait la bonne ambiance, en famille, entre amis, ca fait vivre nos souks, un petit pousse à la machine économique, les gens quittent pour un moment la monotonie...

                                Il n'y rien de haram!

                                Commentaire

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