@Espritlibre
Il en faut pas forcément confondre un mode électif à une "démocratie" au sens occidental du terme. Certains régimes d'États musulmans étaient bien d'un genre électif, à l'image de la Régence d'Alger par exemple, ou avant elle le régime des Mamelouks d'Égypte, sans parler des divers gouvernements de villes et de cités plus ou moins libres et autonomes à travers tout le domaine de l'Islam.
Cela-dit, même le modèle dynastique (qui est le plus courant) diffère beaucoup des royautés occidentales, du moins jusqu'à il y'a un siècle.
Le fait est que, très tôt, les Omeyyades ont ouvert la voie à ce principe dynastique qui finit par s'imposer, au motif qu'une succession dynastique assurait une certaine stabilité au régime, et donc à l'ordre qui est une grande nécessite dans la philosophie politique en Islam.
Il en faut pas forcément confondre un mode électif à une "démocratie" au sens occidental du terme. Certains régimes d'États musulmans étaient bien d'un genre électif, à l'image de la Régence d'Alger par exemple, ou avant elle le régime des Mamelouks d'Égypte, sans parler des divers gouvernements de villes et de cités plus ou moins libres et autonomes à travers tout le domaine de l'Islam.
Cela-dit, même le modèle dynastique (qui est le plus courant) diffère beaucoup des royautés occidentales, du moins jusqu'à il y'a un siècle.
Le fait est que, très tôt, les Omeyyades ont ouvert la voie à ce principe dynastique qui finit par s'imposer, au motif qu'une succession dynastique assurait une certaine stabilité au régime, et donc à l'ordre qui est une grande nécessite dans la philosophie politique en Islam.
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