La verité sur les savants des révolutions

[MAN]

Salam alaykoum

quand ce "conseil" se fait a voix haute , dans les mosquées ou dans des manifestations, on appel plus ca une nassiha mais plutot une fdhiha.

Cette règle s'applique à tout les Musulmans (conseiller en privé) ou est-ce juste un privilège des gouvernants? Et quid des gouvernants des autres pays?

Source :
"Al fatâwa al muhima fi tabsîr al umah", Chapître : Takfîr Al Hukâm, page 17.
Auteur : Sheikh Ibn Baz

Ce livre n'est pas de Ben Baz...

[mkh]

Ahla yessek MAN! Un réel plaisir de te lire!

[MAN]

Allah i3azzak akhi

[mkh]

Âmîn! Ajma`în

[Z2010]

l'islam encourage t-il la dictature ?

pour ne pas laisser la question sans réponse
L'islam a introduit la notion Wilaya cette tutelle peut avoir deux
type la tutelle directe est celle du père ou l'un des proches paternelles
la tutelle indirecte pour le magistrat ,le HAKIM

imagine un père sévère qui séquestre ses enfants les opprime ou il refuse de marier ses filles
que peux-tu leur donné comme conseil ?
même si ce père est mécréant tu ne leur dira jamais il faut le quitter , s'engueuler tu vas peut-être
les conseiller d'endurer, supporter ce père et la chose la plus légitime
a faire c'est de porter plainte c'est a dire se plaindre
a tuteur indirect et ainsi de suit jusqu'au HAKIM

Maintenant selon toi quelle est la tutelle la plus prioritaire
celle du père ou celle le HAKIM ?

Et puisque waliAmr c'est l'ultime tuteur donc il ne reste que le SABR ,Un HAKIM tyran n'est qu'un reflet de la société ou il vit .

[mertaw]

wa alaykoum salam Capo

Hélas, les organisations que tu mentionnes ne sont qu'un cas de figure pour créer des postes de travail ..
la rente du clergé,les privilèges, la gestion des budgets, les programmes bidons, les fatwas au dollar.. etc.

Non pas du tout, ils ont constaté que les pb de socité et politiques et economiques que rencontres les musulmans sont tres compliqués et nous pouvons plus se referer à des fatwa dants de dizaines de siecles emises dans d'autres contextes et de ce fait il faut des comité de savants pour discuter entre eux avant d'emetres une fatwa
.

Que le politique soit corrompu, on peut comprendre..mais que le clergé garde le silence sur cet aspect est inadmissible..

et justement le role de ses comité de savants de ne pas rester silencieux contrairement aux autres.

Ce qui nous ramène à la position du clergé au sein de nos sociétés.. Avons-nous vraiment besoin du clergé comme intermédiaire
entre nous et les politiciens, nos législateurs, nos députés ?
Je ne pense pas. La farce a assez duré.. Le clergé ne sert à rien.. c'est un fardeau immense que traine les peuples depuis trop longtemps..

le clergé n'est pas un intermidiaires mais un participant comme les autres d'ailleurs lui aussi peut etre deputés , politiciens

Et puis, ou va-t-on comme ça ?
Chaque année, les pays arabes produisent des centaines de milliers de diplômés en sciences religieuses.. On en fera quoi de tout ce beau monde ?
Ils ne maitrisent aucune science technique.. semble satisfait de leurs parcours de la mad'rassa coranique aux bancs de la FAC - et cerise sur le gâteau -
croit à tort que dans le Coran y les solutions à tous nos problèmes..et tant d'autres dilemmes.. etc.
Tandis que plus haut, le clergé demeure fidèle au poste..et mène une vie plus stable que celle d'un politicien

ce que tu décris est la faute des politiciens et non pas leur fautes.

les sciences religieuses dependent aussi commes les autres sciences non religieuses de la politique de l'etats.

des milliers des centaines de milliers d'architectes, de medeciens , de matheux, de physiciens sortent chaque années , et le resultats au niveau des recherches au niveaus des pays arabes, ou le niveaus des etudes universitaires: rien, nulle . est ce c'est la fautes des ces medecins, physiciens .....

Mais les questions sérieuses demeurent :
- Renverser une prétendue dictature pourquoi ? Et par qui ?

pour avoir un jour meilleur à tous les niveaux

- Pourquoi ne pas renverser le clergé aussi pendant que nous y sommes ? Il est complice du politicien.. non ?
Lui aussi a des comptes à rendre !.. Il consomme une partie non-négligeable de la rente aussi..

certainement, d'où la necessité de reflechir à un systeme qui rend les savant dans chaque independant du pouvoir, et au niveau des grandes universités 5azhar , mecque, madina), doive,nt etre indépendant completement du pouvoir en place (financièrement et administrativement)

Conclusion, le Cheikh d'El Aksa a raison..
Si l’exercice du pouvoir et de la responsabilité est une chose inné en soi (sur la base de compétences) la providence fera les choses..
Si c'est pour aller à sa quête, et n'aspirer qu'à la jouissance de cet exercice.. c'est h'ram , illégitime et immoral

nous avons attendu ce cheikh pour le savoir, seulement ce n'est plus l'epoque du sahaba

d'ailleurs il dit que le prophete saw a dit qu'on ne donne pas la responsabilité à celui qui la demande

qu'a fait sahaba à la mort du prophete saw?
qu'a dit mouhajirin aux ansar?
ce n'est pas une critique aux sahaba , ni je met en doute leur bonnes intentions, je critique cette lecture superficielle des textes sacrés par ce cheikh.

les elections sont haram pourquoi ?, selon parceque les prophetes n'ont pas fait d'elections selmon ce cheikh !!!
mais à ce cheikh

[mertaw]

el khouroudj ne se fait pas uniquement avec les armes , il se fait aussi avec la parole
le conseil des gens de science aux gouverneurs se fait entre eux
quand ce "conseil" se fait a voix haute , dans les mosquées ou dans des manifestations, on appel plus ca une nassiha mais plutot une fdhiha.
le sujet et vaste ....et les passions ancrées dans les coeurs...et l'ignorant ne cesse de parler de sujets qui le depassent...surtout quand il s'agit de religion!!
wAllah el mousta3an

le conseil des gens de science aux gouverneurs se fait entre eux

ça c'est pour ceux les gouverneur qui craignent Allah d'ailleur le fait de laisser les vrais savant rentrer chez eux , pour le rappeler à l'ordre c'est un bon signe qu'il garde encore certaine crainte d'Allah azza wa jalla .

comment un citoyen lumbda qui fait mounkar devant les gens, les savants disent disent qu'il faut le denoncer publiquement.

Mais un tyran qui combat l'islam ouvertement, on doit le conseiller secrètement ?
Est ce c'est le tyran ou ce cytoyen lumbda qui est pire sur l'islam et les musulman ?

[mertaw]

@Z2010

salam alaykoum

pour ne pas laisser la question sans réponse
L'islam a introduit la notion Wilaya cette tutelle peut avoir deux
type la tutelle directe est celle du père ou l'un des proches paternelles
la tutelle indirecte pour le magistrat ,le HAKIM

imagine un père sévère qui séquestre ses enfants les opprime ou il refuse de marier ses filles
que peux-tu leur donné comme conseil ?
même si ce père est mécréant tu ne leur dira jamais il faut le quitter , s'engueuler tu vas peut-être

Dans un etat islamique, le pere sera sanctionner.

les conseiller d'endurer, supporter ce père et la chose la plus légitime
a faire c'est de porter plainte c'est a dire se plaindre

Ils ont les deux choix. L'islam ne les obliges pas de supporter les injustices du pere
mais s'il supporte , ils seront mieux recompenser

a tuteur indirect et ainsi de suit jusqu'au HAKIM

Maintenant selon toi quelle est la tutelle la plus prioritaire
celle du père ou celle le HAKIM ?

bien sur la tutelle du pere

pour Alhakim c'est un contrat entre lui et le peuples avec des conditions. s'il ne respecte pas ses conditions , le contrat est rompu.

la tutelle des parents n'est pas un contrat

Et puisque waliAmr c'est l'ultime tuteur donc il ne reste que le SABR ,Un HAKIM tyran n'est qu'un reflet de la société ou il vit

.


non, il reste aussi sa destitution., rompre le contrat par non respect des conditions par le hakim.

Allah demande aux sahabiate de ne pas obeir au prophete dans le cas ou le prophete saw leur demande de faire le blammable , et de l'obeir uniquement s'il ordonne un bien

c'est clauses du contrat

يا أيها النبي إذا جاءك المؤمنات يبايعنك على أن لا يشركن بالله شيئا ولا يسرقن ولا ... ولا يأتين ببهتان يفترينه بين أيديهن وأرجلهن ولا يعصينك في معروف فبايعهن ...

ça pour les femmes ; que pensent tu pour les hommes, va t'il leur demander de se taire et de patienter , en plus aLLAH wa jalla parle de qui du meilleur des gens du prophte saw

sauf si tu me dit que l'islam est pour la dictature et l'encourage.

[shadok]

Mon article d'Al Quaradawi est passé apparemment inaperçu.

الخلل في فقه الخروج على الحكام .. د.يوسف القرضاوي
http://www.qaradawi.net/articles/86-...5-10/4329.html

Vous trouvez à la fin tous les arguments (Hadiths) contre "Al Khouroudj".

Cétait en 2007 avant les révoltes arabes

[MAN]

@AZAZGA15000

Merci mais tu n'as répondu à AUCUNE de mes questions
Tu peux le faire sans dalil dans un premier temps et on en discutera après, wa baraka allahou fik.

Et puisque waliAmr c'est l'ultime tuteur donc il ne reste que le SABR ,Un HAKIM tyran n'est qu'un reflet de la société ou il vit .

Ici, le corollaire de ton raisonnement est que ce wali amr a le DROIT de n'avoir aucune autorité de contrôle sur lui ce qui est la définition même d'un pharaon. En Islam, ahl al 7al wa al 3aqd ont pourtant un pouvoir de contrôle sur le wali al amr et peuvent le destituer à n'importe quelle moment, y compris quand il n'a pas commis de koufr bawah (je peux te ramener des citations des savants Musulmans sur ce point si tu en doutes).

[MAN]

Saha khou

@Shadok

Perso, j'ai vu ton article et je pense qu'il n'est pas très pertinent pour cette discussion (on peut respecter son avis, mais ni en 2007 ni aujourd'hui, il n'a vraiment d'audience sur ce genre de sujets...)

[okba30]

je critique cette lecture superficielle des textes sacrés par ce cheikh.

La lecture du cheikh est simple et sans artifices, il nous fait rappeler l'essentiel. Après tant de siècles et d'histoire musulmane riche et tumultueuse et beaucoup de philosophies émanant des penseurs on ressort avec un dérivé de l'islam premier.

Ce cheikh me rappelle le bon questionnement : Pourquoi l'islam vire vers le pire alors qu'il a la possibilité d'aller vers le meilleur!

Et puis, la patience est une belle vertu, il n'y a qu'à méditer sidna Ayoub.
Il n'y a pas lieu de s'emporter au risque de tout détruire, la Syrie ou ce qu'il en reste est un autre exemple.

[AZAZGA15000]

Car ces fitna séduisent par le grand nombre de gens qui les soutiennent, c’est pour cela que plus de 150 000 hommes ont combattu avec Ibnul Ash’ath, et même un groupe de personnes illustres, mais ce qu’ils ont fait n’a pas été accepté, car cela est contraire aux texte qui ordonnent de rester avec la jama’a et de patienter, et interdisent la révolte, la division et la dispute. Ayyub dit : « Il n’y aucun d’eux qui ne se soit pressé vers Ibnul Ash’ath sans revenir de son empressement, et aucun n’a réussi, sauf celui à qui Allah a accordé sa louange et l’a préservé (de cette fitna) ». L’imam Ibn Batta Al-‘Uqburi dit dans sa mise en garde contre le fait d’être trompé par le grand nombre : « A notre époque, les gens sont comme un groupe d’oiseaux, ils se suivent les uns les autres. Si quelqu’un venait prétendre la prophétie, alors qu’il sait que Muhammad (salallahu’ alayhi wasalam) est le dernier des prophètes, ou si quelqu’un prétendait être Allah, il trouverait des gens qui le suivraient. Nous cherchons protection contre les épreuves apparentes ou cachées. ». 5_ Les conséquences de la fitna sont désastreuses et mènent à la perte. Ainsi Ibnul Ash’ath est parti comme chef de l’armée musulmane pour combattre sur le sentier d’Allah, puis il est devenu le responsable de cette fitna, il a laissé le combat contre les mécréants et s’est retourné contre les musulmans. A cause de lui, beaucoup ont été tué, les choses ont changé, le mal s’est répandu, au point où il a rejoint Rutbil, le roi des mécréants qu’il combattait peu avant cela, et qui l’a accueilli par ruse contre les musulmans. Ainsi est la fitna, elle amène celui qui la provoque (ou la suit) à des choses qu’il ne veut pas. Et si Ibnul Ash’ath c’était arrêté là cela aurait été moindre mal, et pourtant comme est grand son mal. Lorsque Rutbil l’a abandonné et renvoyé au Hajjaj, celui-ci s’est enfui en chemin et s’est jeté d’une tour, qui aurait pu penser que sa fin allait être celle-ci. 6_ Ibnul Ash’ath a donné à sa fitna l’habit de la religion, et il a prétendu que cela faisait partie de la réprobation du mal et du secours de la religion, mais la réalité est contraire à cela. Ibnul Athîr rapporte qu’Al-Hajjaj haïssait Ibnul Ash’ath et disait : « A chaque fois que je le vois, je pense à le tuer ». Ibnul Ash’ath cherchait cela et disait : « Et bien moi, je ne cesserai de le combattre jusqu’à ce que je lui enlève son commandement, si je vis jusque là. » (…). Celui qui divise la jama’a et répand la fitna est un homme qui suit se passions dont le cœur est malade et qui est en contradiction avec la sunna, même s’il présente cela comme le fait de réprouver le mal. 7_ Lorsque commence la fitna, le premier qui se brûle est celui qui l’a allumée, les choses se retournent contre lui, il se laisse dominer par les ignorants qui sont avec lui au point que le commandement leur appartient. Le calife a écrit à Ibnul Ash’ath en lui proposant de réprimander Al-Hajjaj et de lui accorder une terre… Ibnul Ash’ath s’adressa aux gens en leur disant : « Acceptez tant que vous êtes forts et puissants » Mais, de toute part, les gens dirent : non, par Allah nous n’accepterons pas, nous sommes plus forts et plus nombreux qu’eux. Ils renouvelèrent leur engagement de renverser le calife et prêtèrent serment à Ibnul Ash’ath, et voyez ce qu’ils sont devenus. 8_ Celui qui se sépare de la jama’a et entre dans la fitna est seul, et ceux qui l’aimaient et le soutenaient se détournent de lui. As-Sha’bi raconte dans quel état il était après avoir rompu son pacte d’allégeance et avoir rejoint Ibnul Ash’ath : « j’ai perdu les frères pieux et je ne trouve aucun successeur à l’émir ». C’est pour cela que les savants sont attentifs à réunir les gens en période de troubles. Hamdan rapporte : « Les savants de Bagdad se sont réunis chez Abu ‘Abdillah, l’imam Ahmad Ibn Hanbal, et ils lui dirent : la chose a grandi et s’est répandue, ils voulaient dire la parole de ceux qui disent que le Qur’an est créé, nous n’agréons pas son commandement et son sultanat. L’imam Ahmad débattit avec eux sur ce point et dit : réprimez vos cœurs et ne vous soulevez pas d’un pouce (contre l’émir), ne rendez pas la situation difficile aux musulmans, et ne versez pas votre sang et le leur, regardez les conséquences et patientez jusqu’à ce que cela s’éclaircisse. Puis il leur dit : le fait que nous nous révoltions n’est pas correct, cela est contraire aux textes ». L’imam Ahmad dit cela alors que le gouverneur lui a fait du mal, l’a emprisonné et fouetté, malgré cela il leur interdit d’affronter les gens. Les gens de la sunna sont les gens de la justice, du regroupement, du suivi des textes, ils espèrent ce qu’il y a auprès d’Allah. Et la dernière chose que l’on peut tirer de cette histoire est l’importance de s’accrocher au comportement religieux adéquat en période de troubles. Parmi ce bon comportement : prendre garde à la fitna et à ceux qui la provoquent ; la compassion et la douceur ; il ne faut pas se presser d’accepter les pensées et les avis ; la bonté avec les gens qu’ils soient dans l’erreur ou la vérité. La douceur n’est pas ajoutée à une chose sans qu’elle ne l’embellisse, et elle n’est pas retirée d’une chose sans l’enlaidir. L’obligation de rester avec la jama’a des musulmans et leur gouverneur et ne pas se séparer, d’après la parole d’Al-Hudhayfa, lorsque le prophète (salallahu’ alayhi wasalam) lui a parlé des fitnas, il demanda au prophète : Que me conseilles-tu si je vis cela ? Il dit : « Reste avec la jama’a des musulmans et leur imam ». Revenir vers les savants de la sunna, les gens du tawhid et l’avertissement contre le fait de s’en écarter et de les contredire pour répondre à leurs opposés. Par Allah la première porte qui amène l’homme à la fitna est de critiquer les savants, de prendre des avis chez d’autres qu’eux. Et celui que vous voyez critiquer nos savants, sachez qu’il est atteint par la fitna, car fait partie des signes des gens de l’innovation le mépris pour les savants de la sunna. Fait aussi partie du bon comportement, de peser les avis, les groupes sur la balance des gens de la sunna et du tawhid. Ce qui est conforme à ce sur quoi étaient les salafs est accepté, sinon cela est rejeté. En période de troubles, on ne dit pas tout, si seulement certaines personnes laissez ces choses importantes aux grands savants pour préserver l’unité, que celui qui a un avis le leur rapporte, (comme Allah dit ) : « Quand leur parvient une nouvelle rassurante ou alarmante, ils la diffusent. S'ils la rapportaient au Messager et aux détenteurs du commandement, ceux d’entre eux qui en cherchent le sens, l’auraient appris (de la bouche du Prophète et des détenteurs du commandement). ». Ö Allah, protège-nous des épreuves apparentes et cachées…Traduit par les salafis de</p></p>

[MAN]

@AZAZGA15000

Mes questions étaient très claires :
- Est-ce juste les gouvernants qui doivent être conseiller en privé ou est-ce applicable à TOUS les Musulmans?
- Est-ce que cette attitude est applicable aux gouvernants des autres pays (par exemple, moi Algérien, je ne dois conseiller Bashar al Assad qu'en privé)?

[shadok]

Perso, j'ai vu ton article et je pense qu'il n'est pas très pertinent pour cette discussion (on peut respecter son avis, mais ni en 2007 ni aujourd'hui, il n'a vraiment d'audience sur ce genre de sujets...)

Non, il est très pertinent. Il fait une bonne synthèse à la fin des Hadiths et avis des Savants sur le sujet.

Il y a un problème avec le lien.

نظرة في الأحاديث الواردة

وحسبنا أن نلقي نظرة سريعة على الأحاديث، التي ذكرها صاحب (منتقى الأخبار) وشرحها الشوكاني في (نيل الأوطار)، تحت عنوان:

(باب الصبر على جور الأئمة وترك قتالهم والكف عن إقامة السيف)

عن ابن عباس؛ قال: قال رسول الله صلى الله عليه وسلم: "مَن رأى من أميره شيئاً يكرهه: فليصبر، فإنه مَن فارق الجماعة شبرا فمات فميتته جاهلية"[2].

وفي لفظ: "مَن كره من أميره: شيئا فليصبر عليه، فإنه ليس أحد من الناس خرج من السلطان شبرا فمات عليه: إلا مات ميتة جاهلية" متفق عليه[3].

وعن أبي هريرة رضي الله عنه، عن النبي صلى الله عليه وسلم قال: "كانت بنو إسرائيل تسوسهم الأنبياء، كلَّما هلك نبي خلفه نبي: وإنه لا نبي بعدي، وسيكون خلفاء فيكثرون". قالوا: فما تأمرنا؟ قال: "فُوا ببيعة الأول فالأول، ثم أعطوهم حقَّهم، فإن الله سائلهم عما استرعاهم". متفق عليه[4].

قال الشوكاني: (قوله: "مَن فارق الجماعة شبرا": كناية عن معصية السلطان ومحاربته. قال ابن أبي جَمرة: المراد بالمفارقة: السعى في حلِّ عقد البيعة التي حصلت لذلك الأمير ولو بأدنى شيء، فكنَّى عنها بمقدار الشبر، لأن الأخذ في ذلك يؤول إلى سفك الدماء بغير حقٍّ.

قوله: "فميتته جاهلية" وفي رواية لمسلم: "فميتته ميتة جاهلية" وفي أخرى له، من حديث ابن عمر: "مَن خلع يدًا من طاعة الله: لقي الله ولا حُجَّة له، ومَن مات وليس في عنقه بيعة: مات ميتة الجاهلية"[5].

والمراد بالميتة الجاهلية: أن يكون حاله في الموت: كموت أهل الجاهلية على ضلال، وليس له إمام مطاع، لأنهم كانوا لا يعرفون ذلك، وليس المراد أنه يموت كافرا، بل يموت عاصيا. ويحتمل أن يكون التشبيه على ظاهره؛ ومعناه أنه يموت مثل موت الجاهلي، وإن لم يكن جاهليا، أو أن ذلك ورد مورد الزجر والتنفير. فظاهره غير مراد. ويؤيِّد أن المراد بالجاهلية التشبيه: ما أخرجه الترمذي وابن خزيمة وابن حبان وصححه؛ من حديث الحارث بن الحارث الأشعري، من حديث طويل، وفيه: "مَن فارق الجماعة شبرا: فكأنما خلع رِبقة الإسلام من عنقه"[6].

قوله: "فُوا ببيعة الأول فالأول": فيه دليل على أنه يجب على الرعية الوفاء ببيعة الإمام الأول ثم الأول، ولا يجوز لهم المبايعة للإمام الآخر قبل موت الأول. قوله: "ثم أعطوهم حقَّهم": أي ادفعوا إلى الأمراء حقَّهم، الذي لهم المطالبة به وقبضه، سواء كان يختصُّ بهم أو يعمُّ، وذلك من الحقوق الواجبة في المال: كالزكاة، وفي الأنفس: كالخروج إلى الجهاد.

وعن عوف بن مالك الأشجعي قال: سمعتُ رسول الله صلى الله عليه وسلم يقول: "خيار أئمَّتكم: الذين تحبُّونهم ويحبُّونكم، وتصلُّون عليهم ويصلُّون عليكم، وشرار أئمتكم: الذين تبغضونهم ويبغضونكم، وتلعنونهم ويلعنونكم". قال: قلنا: يا رسول الله، أفلا ننابذهم عند ذلك؟ قال: "لا، ما أقاموا فيكم الصلاة، ألا مَن وَلِي عليه والٍ فرآه يأتي شيئا من معصية الله، فليكره ما يأتي من معصية الله، ولا ينزعنَّ يدا من طاعة". رواه مسلم[7].

وعن حذيفة بن اليَمَان: أن رسول الله صلى الله عليه وسلم قال: "يكون بعدي أئمة لا يهتدون بهديي، ولا يستنون بسنتي، وسيقوم فيكم رجال قلوبهم قلوب الشياطين في جثمان إنس". قال: قلتُ: كيف أصنع يا رسول الله! إن أدركتُ ذلك؟ قال: "تسمع وتطيع، وإن ضُرِب ظهرك، وأُخِذ مالك، فاسمع وأطع". رواه أحمد ومسلم[8].

وعن عَرفَجَة الأشجعي قال: سمعتُ رسول الله صلى الله عليه وسلم يقول: "مَن أتاكم وأمرُكم جميع - على رجل واحد - يريد: أن يشقَّ عصاكم، أو يفرِّق جماعتكم: فاقتلوه". رواه أحمد ومسلم[9].

وعن عُبادة بن الصامت قال: "بايعنا رسول الله صلى الله عليه وسلم على السمع والطاعة: في منشطنا ومكرهنا، وعسرنا ويسرنا، وأثرة علينا، وأن لا ننازع الأمر أهله: إلا أن تروا كفرا بَوَاحا، عندكم فيه من الله برهان". متفق عليه[10].

قال الشوكاني: وفي الباب أحاديث غير هذه، بعضها تقدَّم في باب براءة ربِّ المال بالدفع إلى السلطان الجائر، في كتاب الزكاة. وبعضها مذكور في غير هذا الكتاب. من ذلك حديث ابن عمر عند الحاكم بلفظ: "مَن خرج من الجماعة، فقد خلع رِبقة الإسلام من عنقه حتى يراجعه، ومَن مات وليس عليه إمام جماعة: فإن ميتته ميتة جاهلية"[11]. عن الحارث بن الحارث الأشعري، ورواه الحاكم: من حديث معاوية أيضا[12]، والبزار: من حديث ابن عباس[13].

وأخرج مسلم، من حديث أبي هريرة بلفظ: "مَن خرج من الطاعة، وفارق الجماعة فمات، فميتته جاهلية"[14].

وأخرج أيضا مسلم نحوه، عن ابن عمر وفيه قصة[15].

وأخرج الشيخان، من حديث أبي موسى الأشعري بلفظ: "مَن حمل علينا السلاح فليس منا"[16]، وأخرجاه أيضا من حديث ابن عمر[17]، وأخرجه مسلم من حديث أبي هريرة[18]، وسلمة بن الأكوع[19].

وأخرج أحمد وأبو داود والحاكم، من حديث أبي ذر: "مَن فارق الجماعة قدر شبر فقد خلع رِبقة الإسلام من عنقه"[20].

وأخرج البخاري، من حديث أنس: "اسمعوا وأطيعوا، وإن استُعمل عليكم عبد حبشي، رأسه زبيبة: ما أقام فيكم كتاب الله تعالي"[21].

وأخرج الشيخان، من حديث أبي هريرة: "مَن أطاعني فقد أطاع الله، ومن عصاني فقد عصى الله، ومَن يطِع الأمير فقد أطاعني، ومَن يعصِ الأمير فقد عصاني"[22].

وأخرج الشيخان وغيرهما، من حديث ابن عمر: "على المرء المسلم: السمع والطاعة فيما أحبَّ وكره، إلا أن يؤمر بمعصية، فإن أُمِر بمعصية: فلا سمع ولا طاعة"[23].

وأخرج الترمذي، من حديث ابن عمر: "ألا أخبركم بخير أمرائكم وشرارهم؟ خيارهم: الذين تحبُّونهم ويحبُّونكم، وتدعون لهم ويدعون لكم، وشرار أمرائكم: الذين تبغضونهم ويبغضونكم، وتلعنونهم ويلعنونكم"[24].

وأخرج الترمذي، من حديث أبي بكرة: "مَن أهان سلطان الله في الأرض: أهانه الله تعالي"[25].

والأحاديث في هذا الباب كثيرة، وهذا طرف منها.

وقوله: "خيار أئمتكم ... إلخ": فيه دليل على مشروعية محبَّة الأئمة، والدعاء لهم، وأن مَن كان من الأئمة محبًّا للرعية ومحبوبا لديهم، وداعيا لهم ومدعوًّا له منهم، فهو من خيار الأئمة، ومَن كان باغضا لرعيته مبغوضا عندهم، يسبُّهم ويسبُّونه، فهو من شرارهم، وذلك لأنه إذا عدل فيهم وأحسن القول لهم: أطاعوه وانقادوا له وأثنوا عليه، فلما كان هو الذي تسبَّب بالعدل وحسن القول إلى المحبَّة والطاعة والثناء منهم: كان من خيار الأئمة، ولما كان هو الذي يتسبَّب أيضا بالجَور والشتم للرعية: إلى معصيتهم له وسوء القالة منهم فيه: كان من شرار الأئمة.

قوله: "لا، ما أقاموا فيكم الصلاة": فيه دليل على أنه: لا يجوز منابذة الأئمة بالسيف مهما كانوا مقيمين للصلاة، ويدلُّ ذلك بمفهمومه على جواز المنابذة عند تركهم للصلاة. وحديث عُبادة بن الصامت المذكور، فيه دليل على أنها لا تجوز المنابذة، إلا عند ظهور الكفر البواح.

قوله: "فليكره ما يأتي من معصية الله، ولا ينزعنَّ يدا من طاعة": فيه دليل على أن مَن كره بقلبه ما يفعله السلطان من المعاصي: كفاه ذلك، ولا يجب عليه زيادة عليه. وفي الصحيح: "مَن رأى منكم منكرا فليغيِّره بيده، فإن لم يستطع فبلسانه، فإن لم يستطع فبقلبه"، ويمكن حمل حديث الباب، وما ورد في معناه: على عدم القدرة على التغيير باليد واللسان، ويمكن أن يجعل مختصًّا بالأمراء إذا فعلوا منكرا، لما في الأحاديث الصحيحة: من تحريم معصيتهم ومنابذتهم، فكفى في الإنكار عليهم مجرَّد الكراهة بالقلب؛ لأن في إنكار المنكر عليهم باليد واللسان: تظاهرا بالعصيان، وربما كان ذلك وسيلة إلى المنابذة بالسيف.

قوله: "في جُثْمان إنس" بضم الجيم وسكون المُثلثة: أي لهم قلوب كقلوب الشياطين وأجسام كأجسام الإنس.

قوله: "وإن ضُرب ظهرك، وأُخذ مالك: فاسمع وأطع": فيه دليل على وجوب طاعة الأمراء، وإن بلغوا في العسف والجَور إلى ضرب الرعية وأخذ أموالهم، فيكون هذا مخصِّصا لعموم قوله تعالى: {فَمَنِ اعْتَدَى عَلَيْكُمْ فَاعْتَدُوا عَلَيْهِ بِمِثْلِ مَا اعْتَدَى عَلَيْكُمْ} [البقرة:194]. وقوله: {وَجَزَاءُ سَيِّئَةٍ سَيِّئَةٌ مِثْلُهَا} [الشورى:40].