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  • #16
    Universellement parlé, vous appelez le commun des mortels à vénérer Dieu.. mais en privé vous vous vénérez vous-mêmes
    Cher Capo,
    Je comprend fort bien votre incompréhension du Soufisme. Cela est du au fait que le cheminement initiatique dans la recherche de Dieu exige d'engager notre être par l'Amour et la connaissance dans un profond mouvement de transformation intérieure. Beaucoup de croyants comme vous se sentent éloignés de cette ultime réalité car ils se laissent tout simplement bercer par les illusions du monde phénoménal. Mais en réalité, seul leur attachement à une vision relative leur donne à croire en un éloignement quelconque. On ressent effectivement chez les soufis les effets du souvenir continuel de l'absolu qui demeure la voie d'accès privilégiée par l'ultime prophète, paix et salut sur lui. Cela constitue pour eux le renoncement total au monde relatif, en vidant leurs cœurs et leurs pensées des préoccupations terrestres pour pouvoir mieux approcher Dieu et parvenir enfin à la réalité universelle.. Le but dans tout cela est donc l’union mystique parfaite avec Dieu et l’anéantissement de leur personne, c'est a dire s’éteindre totalement à leur illusion pour vivre dans le Réel. A chaque souffle l'absolu dispose d'eux comme Il veut et le désire. Ce n'est qu'ainsi qu'ils réalisent la pleine servitude ontologique totale ce qui constitue l'idéal aspiré en Islam.. Nous comprenons enfin pourquoi les soufis précisent que concernant la servitude a Dieu, l'Homme n'a pas de grade qui lui est supérieur.

    Vous m'avez compris, le savoir très terre a terre sur les grand maîtres spirituels est principalement dû à l'ignorance et à l'intolérance que peut impliquer une vision trop rigide de la religion où l'aspect profondément spirituel est regardé avec méfiance. Pourtant leur profonde connaissance ne fait que dissiper les illusions de l’ego qui induisent justement la fin de l’influence des altérités, ce qui devient très gênant pour les tenants de la simple dialectique ou de la pensée discursive dont les mots ne peuvent servir qu'a renforcer les illusions et les leurres de l’ego dans une vision erronée du monde. Il n'échappe malheureusement plus a personne dans nos temps que la pensée humaine renvoie tout simplement à la connaissance que l’Intellect a de lui-même et de son principe bien loin de la réalité universelle. L'engouement pour le soufisme, en Islam, n'est justement pas automatique par les croyants du fait qu'il n'est pas donné à tous d'avoir spontanément la sensibilité nécessaire pour apprécier cette vérité a laquelle les soufis ne cessent de faire allusion. Pourtant, qu'on le veuille ou non, l’aboutissement du cheminant devrait être cette station ou partout c'est la vision de l’Être suprême qui s'impose... Pour accéder donc a la vraie Connaissance divine, l’ouverture de l’œil du cœur devient une condition primordiale.

    Pour être plus sincère avec les lecteurs, je pense qu'il faut en fait pour cela une profonde faculté de discernement des niveaux d'où surviennent les simples lois ordinaires, de ceux d'ou jaillissent les sentences de la magnificence absolues bien que d'un autre coté toutes choses s'interpénètrent également.. Ce n'est point la parole du passé ou du futur, ni de la circonstance mais à partir de ces cieux universels que l'âme de tout adepte est revivifiée.. Ce n'est que de là qu'effusent les états mystiques car, on le sait, l’intérieur de l'âme relève du ciel.. Vous venez de saisir qu'on ne peut aisément accéder à l'image des Grands Maîtres Soufis !
    A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
    Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.

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    • #17
      Said 2010

      Ça fait 2 jours que j'essaie de déchiffrer ton message.. mais en vain !
      Tu m'excuseras donc de ne pouvoir te reprendre

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      • #18
        mon pôvre ami tu t'es pris les pieds dans le tapis( sans mauvais jeu de mot ) entre Said et Wafa

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        • #19
          prenpa'chou

          Exact !.. ton vieil ami est dispersé entre Cheikh Ahmed Tijani et Orelie Picard

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          • #20
            tu m'obliges à googler sur les 2 noms !

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            • #21
              ben tu vois je connaissais Isabelle Ebherart mais pas Aurelie Picard,merci donc Capounet!
              pour Cheikh Tidjani j'en avais quelques fragments...

              décidément on se se culture tous les jours

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              • #22
                A ton service prenpa'chou

                Un Maître Soufi ne cessera jamais d’étonner !
                Et en cheikh Ahmed Tijani tu en as la preuve formelle..
                Il a offert à Mademoiselle Picard tous les trésors de sa peuplade.. pour se rapprocher de Dieu

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                • #23
                  @Capo

                  Il a offert à Mademoiselle Picard tous les trésors de sa peuplade.. pour se rapprocher de Dieu
                  Il faut savoir que l’épouse de Si Ahmed Tidjani, Aurélie Picard (Lalla Yamina) est morte musulmane. Voici une photo de sa tombe que j’ai pris en 2011 en visitant le Palais du Kourdane.

                  Dernière modification par shadok, 21 juillet 2016, 01h27.
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                  • #24
                    Shadok

                    Machallah ..

                    Un palais dis-tu ?..
                    Et construit pour elle j'imagine
                    Elle est belle l'abstinence du soufisme !!!!!

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                    • #25
                      On l'appelle le Palais (Ksar) Al Kourdane mais ce n'est pas ce que tu crois. C'était une belle demeure où résidait Aurélie Picard avec des nécessiteux et des malades.
                      Dernière modification par shadok, 21 juillet 2016, 01h48.
                      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

                      Commentaire


                      • #26
                        Shadok

                        Khelina mel hedra hadi ta3 les pauvres et les nécessiteux !!

                        Ces marabouts de la Tarika Tijania, bien qu'ils prétendent être descendants du Prophète.. ne s’intéressent qu'au pouvoir !
                        Et avec tout l'argent que détenait cette secte, la pauvreté n'avait même pas lieu d'être..
                        Mais bon, tu connais la chanson !!
                        Le pouvoir, l'argent et la science pour les Maîtres.. L'abstinence, la pauvreté et l'ignorance pour la populace

                        Voici un p'tit extrait biographique de la dame en question :


                        Aurélie est née le 12 juin 1849 à Montigny-le-Roi, dans la Haute- Marne. Son père, Gaude Picard, gendarme, a longuement et bravement servi en Algérie; il a notamment participé à la prise de la smala d'Abd-El-Kader. Il garde la nostalgie de ce pays et de ses grands espaces et songe très sérieusement à y demeurer. La famille qui connaît des difficultés financières s'installe finalement à Arc-en-Barrois où elle possède une modeste maison. Aurélie fait souvent avec son père de longues randonnées à cheval. Durant ces promenades, elle écoute ce père, intarissable sur l'Afrique, les peuples qu'il y a rencontrés et les chevauchées héroïques qu'il a connues sur cette terre.

                        Aurélie n'a que vingt-et-un ans lorsqu'elle entre au service de Mme Steenakers, dont le mari est député de Haute-Marne et Directeur général des postes. Elle réside au Grand Hôtel à Bordeaux et c'est là qu'elle rencontre Si Ahmed Tidjani, venu d'Afrique avec son frère Bachir et leurs domestiques. Si Ahmed a 20 ans. Il est le Grand Maître, le Marabout, de la confrérie religieuse des Tidjania, dont le siège est à Ain Madhi à quelques 60 kilomètres à l'ouest de Laghouat, dans le sud algérien. Cette importante congrégation musulmane exerce son pouvoir religieux sur les nomades du Sahara et aussi, en bonne partie, sur la péninsule arabique, l'Egypte, la Tunisie, le Maroc et le Sahel.

                        Les Tidjania sont considérés comme fidèles à la France. Pourtant une attitude, jugée suspecte à l'égard d'une tribu rebelle, a amené les autorités françaises à placer Si Ahmed et son frère en résidence surveillée à Alger. La guerre de 1870 leur offre une possibilité de sortir de leur isolement. L'Armée d'Afrique se bat vaillamment sur le front. Si Ahmed et son frère s'offrent pour porter aux combattants un message de félicitations au nom de l'ensemble des autorités musulmanes d'Algérie. C'est ce qui explique leur présence à Bordeaux dans une période si troublée.

                        Si Ahmed croise souvent, à l'hôtel, Aurélie les bras chargés de pigeons voyageurs qui apportent chaque jour les messages du Gouvernement. Il finit par la demander en mariage. Le père d'Aurélie n'est pas opposé à ce projet, mais avant que ne s'engagent des pourparlers, il demande à Si Ahmed certains engagements : le mariage sera célébré à Alger, selon le code civil; Aurélie aura toute liberté de demeurer chrétienne; Si Ahmed répudiera ses épouses et s'engagera sans réserve à la monogamie. Il accepte de prendre ces engagements et les respectera. Il est alors convenu qu'on se rendra à Alger, d'où il sera plus aisé de remplir les formalités préliminaires à l'union. Le 29 juillet 1871, Gaude Picard et sa fille, ainsi que Si Ahmed et sa suite, s'embarquent sur le Duc d'Aumale à destination d'Alger. Cependant les deux candidats au mariage se heurtent à une opposition formelle, tant de la part de l'administration française que du Cadi d'Alger, en raison de l'incompatibilité de leurs statuts personnels. C'est grâce à l'intervention de Mgr Lavigerie que les difficultés s'aplanissent. Le couple est béni par l'archevêque d'Alger et le mariage musulman sera célébré par le moqqadem principal des Tidjani d'Alger. Aucune abjuration n'est demandée. Aurélie reste catholique. Elle quitte alors les siens et part vers l'inconnu (Laghouat)

                        Etc...etc.

                        Après la mort de Si Ahmed en 1897 Aurélie a contracté un mariage blanc avec son successeur Bachir et, à la demande de tous, a conservé ses fonctions. Rentrée en France métropolitaine pour la première fois, après quelques soixante années passées sur la terre d'Afrique, elle y est revenue très vite, appelée de nouveau par les successeurs de Bachir. Elle meurt le 28 août 1933 à l'âge de 84 ans. Bien qu'elle n'ait jamais renoncé à sa foi chrétienne, Aurélie a été enterrée à Kourdane comme une musulmane.

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                        • #27
                          Et ça ce n'est que l'histoire du petit fils du Grand Maitre Marabout de la Tijaniya..
                          Son Grand-père est allé beaucoup plus loin encore..dans la quête du pouvoir !

                          .
                          Dernière modification par Capo, 21 juillet 2016, 02h39.

                          Commentaire


                          • #28
                            Un autre document.. une question posée par un adepte au Senegal :

                            Question : Je voudrai avoir des éclaircis sur un problème qui commence à animer le milieu des intellectuels tidjiane sénégalais sur la question de la femme chrétienne qu'aurait épousé Cheikh Ahmet tidjiane

                            Cher frère, nous sommes enchantés de faire votre connaissance et nous avons bien reçu votre question. Nous n'avons pas réussi à retrouver ce dont vous nous avez parlé dans le journal Walfajri. Mais cela n'est point un problème, nous allons vous informer à ce sujet, car malheureusement beaucoup de gens se permettent de transformer des faits véridiques en histoires utopiques et mensongères pour le seul plaisir de médire et calomnier.

                            Mais le croyant se doit de se rappeler ce qu’Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté) dit : « Ne te laisse pas aller à ce dont tu n’as aucune science » (Sourate 17 Le voyage nocturne, verset 36).

                            Et le Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) a dit : « Il suffit à l’homme pour être menteur de rapporter tout ce qu’il entend » (Rapporté par Mouslim).

                            Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté) dit : « Ceux qui aimeraient que la réputation d’immoralité se répande au sujet de ceux qui ont cru ont des tourments douloureux dans ce monde et dans l’autre » (Sourate 24 La lumière, verset 19)

                            Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté) dit aussi : « Ceux qui font du tort aux croyants et aux croyantes sans qu’ils n’aient rien fait, se sont réellement chargés d’un mensonge effronté et d’un péché évident » (Sourate 33 Les coalisés, verset 58).

                            Donc, afin d’éviter de tomber dans de tels péchés et d’en préserver nos coreligionnaires, il faut les instruire sur la réalité des faits.

                            Concernant cette histoire il faut tout d’abord retracer le cadre historique et remettre chaque personnage dans le rôle qui lui revient historiquement. Or, avant toute chose, le personnage qui s’est marié avec Aurélie Picard n’est pas Seïdina Ahmed Tidjani (qu’Allah sanctifie son précieux secret), le Cheikh de cette voie, mais son petit-fils Sidi Ahmed ‘Ammar fils de Sidi Mohamed El Habib fils de Seïdina Ahmed Tidjani (qu’Allah sanctifie son précieux secret).

                            Sidi Mohamed El Habib, fils Seïdina Ahmed Tidjani (qu’Allah sanctifie son précieux secret), décéda après avoir formulé le désir de ne jamais voir le visage des chrétiens (les colonisateurs) qui venaient de s’installer depuis peu à Laghouat et qui lui avaient envoyé des convocations. Son confident Sidi Ahmed Abdelaoui a rapporté : « […] Puis lorsque je le rencontrai, il me dit : « Je demande à Allah de ne jamais me faire voir le visage des chrétiens (c'est-à-dire les colonisateurs) et de ne jamais recevoir une lettre d'eux ». Il ne s'est pas passé quatre jours qu'Allah lui reprit son âme bénie » (Rafa’ Niqab du Qadi Hajj Soukeïrij). À sa mort, il laissa Sidi Ahmed ‘Ammar qui n’avait alors qu’environ trois ans et de ce fait, il lui était impossible de reprendre la relève immédiate de son père.

                            Les Français surveillaient de près ce futur chef des tribus sahariennes et ils ne lui laissèrent aucune occasion de pouvoir prendre les rênes de l’autorité qui lui revenaient de plein droit. Ils l’écartèrent très jeune en le plaçant loin de chez lui en résidence surveillée dans la ville d’Alger alors qu’il avait moins de seize ans.

                            Mais cela ne suffisait pas à les rassurer alors ils n’hésitèrent pas à l’envoyer en déportation en France, dans la ville de Bordeaux. Ils ont voulu anéantir en lui tout désir et capacité de gouverner, mais Dieu dans Sa science infinie et Son ultime sagesse voulait lui octroyer une aide et un conseiller loyal et dévoué incarné en la personne de la jeune Aurélie Picard afin de lui donner un atout unique et impensable pour l’époque.

                            D’un côté un dignitaire et chef religieux musulman originaire des étendues désertiques et retenu en détention surveillée dans un grand hôtel de Bordeaux en pays ennemi, et de l’autre, une jeune Française. Jeune certes, mais d’une expérience courageuse et dévouée ne connaissant rien à la culture de ces habitants d’un autre horizon souvent décrié comme barbare par les siens.

                            Deux mondes opposés qu’Allah allait lier par une alchimie et une harmonie toute particulière capable d’affronter toutes les hostilités et les objections. Devant ce tableau, comment ne pas penser à cette alliance Divine qui avait uni son noble aïeul le Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) avec la dévouée Khadidja (qu’Allah l’agrée), alliance qui fut la première marche solide sur laquelle put s’appuyer la mission prophétique.

                            Aussi bien Ahmed ‘Ammar qu’Aurélie Picard ont su en croisant leur regard qu’ils avaient un destin à écrire ensemble, et aucune contestation, ni aucun ouï-dire, aucun préjugés ou parti pris ne pouvaient faire échouer le plan Divin. D’un seul regard Sidi Ahmed ‘Ammar (qu’Allah l’agrée) demanda sa main à son père qui ne pouvait décider pour sa fille. Or quand celle-ci fut interrogée sur sa décision, avec grand étonnement, elle consentit à suivre cet appel intérieur qui la poussait à suivre sa destinée en compagnie de Sidi Ahmed ‘Ammar Tidjani (qu’Allah l’agrée).

                            Il n’est pas nécessaire de mentionner que ce mariage invraisemblable allait susciter toutes les spéculations les plus fantaisistes, bien qu’il n’y ait aucune réprobation religieuse le réprouvant au point de vue de la loi musulmane, et ce, même si elle décidait de rester chrétienne ce qui ne fut pas le cas. Mais cela était surtout en raison du climat politique et du contexte conflictuel de l’époque qui opposait deux mondes, n’acceptant qu’aucun pont ne soit érigé entre eux. Pourtant Sidi Ahmed ‘Ammar, noble descendant du Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) et Aurélie la jeune Lorraine allait symboliser ce pont.

                            Par conséquent, et malgré tout cela, le mariage fut célébré selon les préceptes de la loi musulmane et le père d’Aurélie s’y conforma (nous possédons ce certificat de mariage que vous trouverez en bas de page et qui comporte la mention de son père en français : « j’accepte ce mariage musulman »). Ainsi, Aurélie Picard devint légitimement l’épouse de Sidi Ahmed ‘Ammar Tidjani (qu’Allah l’agrée) et portera son nom de conversion Lalla Amina.

                            Ensemble, ils devront affronter à la fois l'administration française de l'époque et les tribus hostiles, mais elle resta fidèlement à ses côtés, lui apportant son soutien et son expérience. Elle fit énormément pour la région de ‘Aïn Madhi et ses habitants, elle fut la cause d’un souffle salutaire.
                            D'ailleurs, elle laissa depuis une emprunte indélébile et c’est toujours avec un profond respect que les habitants de cette région évoquent l’histoire de cette grande dame qui a embrassé la cause de son mari et de la Tariqa Tidjaniya et qui s’est voué avec abnégation, sans jamais faiblir.

                            Signé : Zaouiya Tidjaniya El Koubra d’Europe

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                            • #29
                              Tu noteras dans le document plus haut, mon cher Shadok.. que ces gens-là ont tous un même style !
                              Le même style avec lequel Said 2010 nous régale chaque jour

                              Pour ce qui est en rouge.. ils prennent vraiment leurs adeptes pour des cons

                              J'ai envie de gerber en lisant cette littérature.. vraiment !!
                              Associer la vie d'un maître collaborateur qui épouse une demoiselle de compagnie à un plan divin, il faut le faire !! .. Un plan divin qui consiste non pas à refouler le colon.. mais à s’accommoder avec lui, en donnant la soupe aux pauvres !!.. Et le pire dans tout ça, c'est que le temps n'a pas arrangé les choses... Ce sont toujours ces mêmes marabouts qui pourrissent la vie politique algérienne à ce jour

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                              • #30
                                @Capo

                                Khali la Tijaniya tranquille c'est dans mon patelin !
                                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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