@Bachi
Hahahaha ... lol
En fait le point ets de toujours essayerd e sortir de ses reperes actuels et se mettre dans uen autre peau comprendre un tant soit peu l'autre. C'est la meme problematique que pour la "nation" comme on l'a vu ailleurs.
En fait, en y regardant d eplus pres, on s'apercoit qu'un des soucis majeurs de la legislation islamique ancienne etait, non pas d'occire le "vice" et le "mal" -car impossible- mais plutot d'aviter le scandale et de garder sain autant que possible l'espace publique, maintenir l'ordre public et perpetuer la vie communautaire selon les traditions et les regles generales etablies par les premiers musulmans ; Dieu se chargeant pour sa part de retribuer ou de punir chacun selon ses actes ou ses paroles non publiques. C'est une sorte de compromis dont la logique peut echapper a nos esprits modernes, mais selon les valeurs sociales d'il ya quelque temps c'etait tres normal.
Je me souvient vaguement d'un hadith que j'ai lu il ya longtemps, ou le prophete etait assis a Medine dans la mosquee en toure d'un petit nombre de compagnons, dont Omar ibn al-Khattab. A un moment, entre un des Munafiqin (un d eceux qui etaient opposes au Prophete a Medine mais qui cachaient cela publiquement) et le Prophete dit alors : Vous savez, Gabriel vient de m'informer que cet homme compte parmi les Munafiqin de Medine. La, Omar devient rouge de colere, et se leve en tirant son epee et disant : Par Dieu, je vais lui trancher la tete O Envoye de Dieu !. La, le Prophete le tita vers le bas et lui interdit de faire quoi que ce soit en disant quelque chose comme : Je n'ai pas ete envoye en censeur des coeurs, ne jugez donc les autres musulmans que sur leurs actes et paroles publiques ; le reste appartient a Dieu seul.
Hahahaha ... lol
En fait le point ets de toujours essayerd e sortir de ses reperes actuels et se mettre dans uen autre peau comprendre un tant soit peu l'autre. C'est la meme problematique que pour la "nation" comme on l'a vu ailleurs.
En fait, en y regardant d eplus pres, on s'apercoit qu'un des soucis majeurs de la legislation islamique ancienne etait, non pas d'occire le "vice" et le "mal" -car impossible- mais plutot d'aviter le scandale et de garder sain autant que possible l'espace publique, maintenir l'ordre public et perpetuer la vie communautaire selon les traditions et les regles generales etablies par les premiers musulmans ; Dieu se chargeant pour sa part de retribuer ou de punir chacun selon ses actes ou ses paroles non publiques. C'est une sorte de compromis dont la logique peut echapper a nos esprits modernes, mais selon les valeurs sociales d'il ya quelque temps c'etait tres normal.
Je me souvient vaguement d'un hadith que j'ai lu il ya longtemps, ou le prophete etait assis a Medine dans la mosquee en toure d'un petit nombre de compagnons, dont Omar ibn al-Khattab. A un moment, entre un des Munafiqin (un d eceux qui etaient opposes au Prophete a Medine mais qui cachaient cela publiquement) et le Prophete dit alors : Vous savez, Gabriel vient de m'informer que cet homme compte parmi les Munafiqin de Medine. La, Omar devient rouge de colere, et se leve en tirant son epee et disant : Par Dieu, je vais lui trancher la tete O Envoye de Dieu !. La, le Prophete le tita vers le bas et lui interdit de faire quoi que ce soit en disant quelque chose comme : Je n'ai pas ete envoye en censeur des coeurs, ne jugez donc les autres musulmans que sur leurs actes et paroles publiques ; le reste appartient a Dieu seul.
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