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Un plaisir de l'écouter et le réécouter.
Merci Tiregwa de lui avoir consacré un topic.
Quand j'ai reçu la chanson, j'étais occupée mais je l'ai quand mm mise pour l'écouter religieusement avec un sourire aux lèvres.
Je suis sure que nous sommes des milliers (ou plus) à avoir ressenti la mm chose
C'est comme si c t un prophète qui délivre un message
Ainsi PARLA Lounis Ait Menguellet
P.S. Scootie, les kabyles n'ont pas envié les veaux... C'est la misère qui les a obligés à le sevrer qvel lawane... Mais je pense bien que tu le sais
“Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”
Bonsoir, je viens de découvrir à l'instant, sur la page officielle de LAM, les paroles et la traduction de la chanson "Takwmamt":
Anga ddiɣ yid-i yedda
Asefru sεiɣ-t d amrafeq
Ma di lferḥ ma di tmara
Yes yettiẓiḍ lmenṭeq
Sεiɣ-t d arfiq n dima
Laεmer d-iyeǧa weḥd-i
S idis-iw yal ass yezga
Deg iṭij neɣ di tili
Yal ma dliɣ ɣur-s yella
Yattara di lbaṭel lḥeq
Yessen amek ad yesres lehna
Yeẓra milma ad yeṭṭerḍeq
Ass-agi ḍelbeɣ i usefru
Nniɣ-as d acu ad tiniḍ
Yenna-d mel-iyi-d ɣef acu
Iwakken ad ak-d-afeɣ lxiḍ
Γur ayen i tebɣiḍ yella
Ayen teḥwaǧeḍ ad tafeḍ
Xtir ma yaεjeb-ik kra
Mu ur k-yeεjib ad teṣefḍeḍ
Acḥal n bwuguren yellan
Yes-sen it-ččur ddunit
Ayen iεemren ayen i xlan
Awin i tebɣiḍ awi-t
Ad zwireɣ ak-id-cekreɣ
Imi id-itettaɣeḍ awal
Ass-agi bɣiɣ ak-ciwreɣ
Γef lehlak d-iglan s cwal
Yusa-d yessewhem lɣaci
Ulac wi igebnan fell-as
Ur nezmir a tenwali
Akken ad aseng aεessas
Di lehlakat i nessen
Yal ṣṣenf ur d-aɣ-yezgil
Ma d wagi d aɣ-d-iqsden
Ad tiḥeku lǧil i lǧil
Yennulfa-d lehlak-agi
Igsemsawen ddunit
Awi yesεan a wur nesεi
S tekwmamt udem iɣumm-it
Nuɣal yakk nettemcabi
Tajlibt inher umeksa
La d-nettmektay iḍelli
Amzun yebεed ɣef ass-a
Dɣa ma nerna i wallen
Nwaḍer tiberkanin
Ad yuɣal win i nessen
Ur tneεqel ur d aɣ-issin
Takwmamt si tnayen u settin
Tuɣal-aɣ a tannumi
Neqqen-itt ttεaddin lesnin
Wa yettnekkar wa iɣelli
Neṭamaε nfa deg yilem
Nettraǧu ad yecreq fell-aɣ
Yegguma aɣ-yeffeɣ usirem
Almi d aɣ-bedlen allaɣ
Win d-yekren ad tt-yesseεdel
Akken d-aɣ-yekkes nhati
I tekwmamt yerna asadel
Sima d-aɣ yekkes awali
Ay asefru barka-aɣ
Mulac anbeddel taqsiṭ
D lehlak ajdid an-nennaɣ
Ma d lehlak aqdim teẓriṭ
Nebɣa kan leǧnas iḍen
Wid yennumen tilelli
Xerṣum d cwiṭ ad jerben
D acu i takwmamt ɣef yimi
Γas ur telli tssegnit
Ay d-awin takwmamt-nneɣ
Nessusem neḥḍer i twaɣit
Nettraǧu s anga teffeɣ
Où que j’aille il est à mes côté
Ce poème dont j’ai fait le compagnon
De mes joies, de mes peines
Il met du baume sur les mots
Il est mon camarade de toujours
Qui jamais ne me laisse esseulé
À mes côtés il se tient
À l’ombre comme à la lumière
Il est présent dès que je le sollicite
Mettant de la justice dans l’arbitraire
Il met de l'harmonie dans la vie
Se manifestant au moment opportun
Aujourd’hui, j’ai demandé au poème :
Que penses-tu de tout ça ?
Il me répondit : Veux-tu bien préciser
Pour que je puisse mieux te conseiller
En moi, tu trouveras tout ce tu veux
Et ce dont tu as le besoin
Choisis ce qui te convient de garder
Ce qui te chagrine, tu peux l'effacer
Le monde est emplit d’embûches
D’obstacles de toutes sortes
De ce qui emplit et ce qui désemplit
Prends ce qui te plaît
Je commencerai en te remerciant
De ce que tu es conciliant
En ce jour je veux avoir ton avis
Sur cette maladie porteuse de malheur
Elle est arrivée déconcertante
Personne ne l’attendait
Si seulement nous pouvions la voir
Pour la mettre sous bonne garde
De tous les maux qui nous sont connus
Aucun ne nous a épargné
Pourtant il semble que ce mal nouveau
Nous le léguerons à nos descendants
Cette nouvelle affection
A mis le monde sur un même pied d’égalité
Qu’on soit prospère ou indigent
D’un masque elle nous couvre le visage
Nous nous ressemblons tous à présent
Pareils au troupeau soumis au berger
Nous nous rappelons hier
Avec l’impression d'un souvenir lointain
Il ne manquerait plus que l'on se grime
De lunettes noires
Nous ne reconnaîtrons plus nos proches
Et nous leur serons des inconnus
Ce masque pareil à une muselière
Depuis 1962 nous est familier
Nous l’arborons années après années
Laissant les uns debout d’autres à terre
Nous espérons un profit du néant
Nous espérons de lui une éclaircie
L’espoir refuse de nous abandonner
Tant qu’ils nous lavèrent les cerveaux
Celui-là est venu mettre de l’ordre
Et nous soulager de nos tourments
En plus du masque il ajouta le mors
En attendant de nous bander les yeux
Ah, poème, cesse de t’éparpiller
Nous nous éloignons du sujet
Occupons-nous de ce nouveau fléau
Et laisse le mal ancien si familier
Nous souhaitons pourtant que les autres nations
Celles qui ont coutume de liberté
Puissent goûter même si peu
D'avoir un bâillon en travers des lèvres
Nul vaccin pourtant
Ne pourra défaire ces liens
En silence nous assistons au bouleversement
Simple spectateurs d’un dénouement incertain
Saha ftorek Rem,
Merci de nous partager cette traduction pour mieux comprendre les paroles de notre grand artiste.
Il a bien résumé notre monde actuel. Nous sommes tous devenus presque égaux, des F-artistes confinés
C'est une traduction très correcte qui donne comme idée principale que le sujet n'est pas le virus mais le poème. Comme s'il voulait dire ma tnudad tidett segsi itran ak d inin
Merci Rem et merci Tarik pour la traduction ............ mmis mbavas
Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain
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