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Aït Menguellet 2021

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  • #16
    Ah bon, je n'ai jamais vu ça !

    Pff, aajmi meskine ! les kabyles c'est des soufadj, voilà
    Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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    • #17
      Ayefki iwarrac.
      Agenduz ad yecc lehcic.
      Sakin ak-inin ttamazagt-is ig helken
      "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
      Socrate.

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      • #18
        Tura mi tehlek tmazzagt, ttazzala ghar l farmachien dirikt ...... akken ad aghen lbioutik enni
        Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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        • #19
          atan yenna-yak :
          ​​​​​​Ɣas ur telli tessegnit aydawin takumamt nnaɣ
          nesusem nehder i twaɣit neţraǧu s-anga teffaɣ
          Dernière modification par elfamilia, 23 avril 2021, 01h15.
          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
          Socrate.

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          • #20
            Nek yenghayi mid yevder takwmamt n 62 hahahaa
            Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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            • #21
              Bonjour

              Un plaisir de l'écouter et le réécouter.
              Merci Tiregwa de lui avoir consacré un topic.
              Quand j'ai reçu la chanson, j'étais occupée mais je l'ai quand mm mise pour l'écouter religieusement avec un sourire aux lèvres.
              Je suis sure que nous sommes des milliers (ou plus) à avoir ressenti la mm chose
              C'est comme si c t un prophète qui délivre un message
              Ainsi PARLA Lounis Ait Menguellet

              P.S. Scootie, les kabyles n'ont pas envié les veaux... C'est la misère qui les a obligés à le sevrer qvel lawane... Mais je pense bien que tu le sais
              “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
              comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

              Nazim Hikmet

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              • #22
                Bonsoir, je viens de découvrir à l'instant, sur la page officielle de LAM, les paroles et la traduction de la chanson "Takwmamt":

                Anga ddiɣ yid-i yedda
                Asefru sεiɣ-t d amrafeq
                Ma di lferḥ ma di tmara
                Yes yettiẓiḍ lmenṭeq
                Sεiɣ-t d arfiq n dima
                Laεmer d-iyeǧa weḥd-i
                S idis-iw yal ass yezga
                Deg iṭij neɣ di tili
                Yal ma dliɣ ɣur-s yella
                Yattara di lbaṭel lḥeq
                Yessen amek ad yesres lehna
                Yeẓra milma ad yeṭṭerḍeq

                Ass-agi ḍelbeɣ i usefru
                Nniɣ-as d acu ad tiniḍ
                Yenna-d mel-iyi-d ɣef acu
                Iwakken ad ak-d-afeɣ lxiḍ
                Γur ayen i tebɣiḍ yella
                Ayen teḥwaǧeḍ ad tafeḍ
                Xtir ma yaεjeb-ik kra
                Mu ur k-yeεjib ad teṣefḍeḍ
                Acḥal n bwuguren yellan
                Yes-sen it-ččur ddunit
                Ayen iεemren ayen i xlan
                Awin i tebɣiḍ awi-t

                Ad zwireɣ ak-id-cekreɣ
                Imi id-itettaɣeḍ awal
                Ass-agi bɣiɣ ak-ciwreɣ
                Γef lehlak d-iglan s cwal
                Yusa-d yessewhem lɣaci
                Ulac wi igebnan fell-as
                Ur nezmir a tenwali
                Akken ad aseng aεessas
                Di lehlakat i nessen
                Yal ṣṣenf ur d-aɣ-yezgil
                Ma d wagi d aɣ-d-iqsden
                Ad tiḥeku lǧil i lǧil

                Yennulfa-d lehlak-agi
                Igsemsawen ddunit
                Awi yesεan a wur nesεi
                S tekwmamt udem iɣumm-it
                Nuɣal yakk nettemcabi
                Tajlibt inher umeksa
                La d-nettmektay iḍelli
                Amzun yebεed ɣef ass-a
                Dɣa ma nerna i wallen
                Nwaḍer tiberkanin
                Ad yuɣal win i nessen
                Ur tneεqel ur d aɣ-issin

                Takwmamt si tnayen u settin
                Tuɣal-aɣ a tannumi
                Neqqen-itt ttεaddin lesnin
                Wa yettnekkar wa iɣelli
                Neṭamaε nfa deg yilem
                Nettraǧu ad yecreq fell-aɣ
                Yegguma aɣ-yeffeɣ usirem
                Almi d aɣ-bedlen allaɣ
                Win d-yekren ad tt-yesseεdel
                Akken d-aɣ-yekkes nhati
                I tekwmamt yerna asadel
                Sima d-aɣ yekkes awali

                Ay asefru barka-aɣ
                Mulac anbeddel taqsiṭ
                D lehlak ajdid an-nennaɣ
                Ma d lehlak aqdim teẓriṭ
                Nebɣa kan leǧnas iḍen
                Wid yennumen tilelli
                Xerṣum d cwiṭ ad jerben
                D acu i takwmamt ɣef yimi
                Γas ur telli tssegnit
                Ay d-awin takwmamt-nneɣ
                Nessusem neḥḍer i twaɣit
                Nettraǧu s anga teffeɣ

                .................................................. .........

                Où que j’aille il est à mes côté
                Ce poème dont j’ai fait le compagnon
                De mes joies, de mes peines
                Il met du baume sur les mots
                Il est mon camarade de toujours
                Qui jamais ne me laisse esseulé
                À mes côtés il se tient
                À l’ombre comme à la lumière
                Il est présent dès que je le sollicite
                Mettant de la justice dans l’arbitraire
                Il met de l'harmonie dans la vie
                Se manifestant au moment opportun

                Aujourd’hui, j’ai demandé au poème :
                Que penses-tu de tout ça ?
                Il me répondit : Veux-tu bien préciser
                Pour que je puisse mieux te conseiller
                En moi, tu trouveras tout ce tu veux
                Et ce dont tu as le besoin
                Choisis ce qui te convient de garder
                Ce qui te chagrine, tu peux l'effacer
                Le monde est emplit d’embûches
                D’obstacles de toutes sortes
                De ce qui emplit et ce qui désemplit
                Prends ce qui te plaît

                Je commencerai en te remerciant
                De ce que tu es conciliant
                En ce jour je veux avoir ton avis
                Sur cette maladie porteuse de malheur
                Elle est arrivée déconcertante
                Personne ne l’attendait
                Si seulement nous pouvions la voir
                Pour la mettre sous bonne garde
                De tous les maux qui nous sont connus
                Aucun ne nous a épargné
                Pourtant il semble que ce mal nouveau
                Nous le léguerons à nos descendants

                Cette nouvelle affection
                A mis le monde sur un même pied d’égalité
                Qu’on soit prospère ou indigent
                D’un masque elle nous couvre le visage
                Nous nous ressemblons tous à présent
                Pareils au troupeau soumis au berger
                Nous nous rappelons hier
                Avec l’impression d'un souvenir lointain
                Il ne manquerait plus que l'on se grime
                De lunettes noires
                Nous ne reconnaîtrons plus nos proches
                Et nous leur serons des inconnus

                Ce masque pareil à une muselière
                Depuis 1962 nous est familier
                Nous l’arborons années après années
                Laissant les uns debout d’autres à terre
                Nous espérons un profit du néant
                Nous espérons de lui une éclaircie
                L’espoir refuse de nous abandonner
                Tant qu’ils nous lavèrent les cerveaux
                Celui-là est venu mettre de l’ordre
                Et nous soulager de nos tourments
                En plus du masque il ajouta le mors
                En attendant de nous bander les yeux

                Ah, poème, cesse de t’éparpiller
                Nous nous éloignons du sujet
                Occupons-nous de ce nouveau fléau
                Et laisse le mal ancien si familier
                Nous souhaitons pourtant que les autres nations
                Celles qui ont coutume de liberté
                Puissent goûter même si peu
                D'avoir un bâillon en travers des lèvres
                Nul vaccin pourtant
                Ne pourra défaire ces liens
                En silence nous assistons au bouleversement
                Simple spectateurs d’un dénouement incertain

                Paroles: Lounis Aït Menguellet
                Traduction: Tarik Aït Menguellet

                https://www.youtube.com/watch?v=KaWAYBuRdG8
                Le souvenir c'est ce qu'il reste de mémoire à l'oubli

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                • #23
                  Saha ftorek Rem,
                  Merci de nous partager cette traduction pour mieux comprendre les paroles de notre grand artiste.
                  Il a bien résumé notre monde actuel. Nous sommes tous devenus presque égaux, des F-artistes confinés

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                  • #24
                    Salam aalikoum w saha leftour,

                    C'est une traduction très correcte qui donne comme idée principale que le sujet n'est pas le virus mais le poème. Comme s'il voulait dire ma tnudad tidett segsi itran ak d inin

                    Merci Rem et merci Tarik pour la traduction ............ mmis mbavas
                    Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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                    • #25
                      Saha leftour et Sahitou Miamo & Scoot
                      Le souvenir c'est ce qu'il reste de mémoire à l'oubli

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