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Tu ne parles pas ....

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  • Tu ne parles pas ....

    F. ; tu ne parles pas, tu chantes ; tu ne souris pas, tu m'éblouis !
    Il me plairait de mourir dans une apothéose d'écume blanche, à l'aube, à la cime du rêve, pour Te rejoindre,
    F., je je m'appelle Roméo pour T'aimer au delà de notre temps ;
    Attend, ton silence est un gage d'éternité.
    Ah ya ddin qessam !
    Neqqim tojor d agad ur neswi !


  • #2
    F., écoute la parole du poète : comme lui "je suis le veuf, le ténébreux, l'inconsolé"
    Il n'y a malheureusement plus de Prince dans cette fable qui m'englue ;
    La mort frappe à ma porte et appose son empreinte irrémédiable ;
    Adieu donc ! laisse moi tisser mon poème pour éviter la corde de Nerval.
    Ah ya ddin qessam !
    Neqqim tojor d agad ur neswi !

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    • #3
      Bein dis donc l'amour tourne à l'obsession chez-toi, réveille-toi il y a tant d'autres belles choses à voir. Avec F, c'est fini il est temps de passer "G" et ainsi de suite...

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      • #4
        F., rappelle toi de Diogène. Au clinquant du jour, une bougie à la main il cherchait un homme...
        Il, cet homme, n'existe pas. J'avoue ma négation, en ces journées asexuées.
        La main cherche son oxygène, elle en retire de la boue...
        A l'avenir, je mettrai un garrot à mon coeur pour qu'il cesse sa quête.
        Dernière modification par salimakli, 02 mars 2009, 17h10.
        Ah ya ddin qessam !
        Neqqim tojor d agad ur neswi !

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        • #5
          F., de Gouraya à Azazga, j'erre sur les sentiers de mes Mots, de mes Morts ;
          Il est pourtant aisé, dit-on, de passer à G.
          Le faire plutôt ! Ne suis-je pas un imposteur qui prétend aimer ?
          A 34 ans, Dieu a fixé le chemin de ma route. Puis, le reste...
          Ah ya ddin qessam !
          Neqqim tojor d agad ur neswi !

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          • #6
            L'oiseau bleu, le poète n'a jamais raison ;
            Il dorlote son rêve et oublie de Vivre, le bougre !
            F., le poète ne change pas d'un iota ses amours.
            A présent, il vit de rime et d'abstinence. Quant à Roméo ...
            Ah ya ddin qessam !
            Neqqim tojor d agad ur neswi !

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            • #7
              F., que sont Qaïs et Aragon devenus ?
              Ils sont plongés dans la poussière de la mort, dernière amante !
              F., tu continues le désir de l'Homme avant le terme échu du départ ;
              Accélère la caresse, la béance de la tombe est à la portée de regard.
              Ah ya ddin qessam !
              Neqqim tojor d agad ur neswi !

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              • #8
                F., écoute-moi ! Dieu compatit à ma douleur ;
                Il ne reste que ton Pardon pour le confort de ma chair.
                Libère-moi des menottes de tes dents.
                Avance je t'en conjure l'instant de ma mort.
                Ah ya ddin qessam !
                Neqqim tojor d agad ur neswi !

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                • #9
                  F., lettre d'un alphabet décousu,
                  Infidèle à cet amour tardif :
                  L'enfance s'inscruste dans la blancheur de ta peau
                  Amour, que n'appelles-tu pas la Mort !
                  Ah ya ddin qessam !
                  Neqqim tojor d agad ur neswi !

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                  • #10
                    F., quel djinn pourra partager la blessure de mamémoire ? s'interroge Qaïs.
                    Il lui est répondu : respire le souffle de ton poème, tu verras matérialisé mon Etre.
                    F., fille de ma démence, es-tu sable des dunes ou chant des sirènes ?
                    Assia, Fahima, Samira, Roselyne, Louisa, Kaïssa, Safia, Chantal, Zohra... Que sont-elles pour toi, Qaïs, hurle F.
                    Ah ya ddin qessam !
                    Neqqim tojor d agad ur neswi !

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                    • #11
                      c'est beau salimakli, mais c'est aussi malheureux de lire ta souffrance,
                      ça fait longtemps que tu attends, c'est dur mais tu dois affronter la réalité, décide toi, oublie le mal et regarde en avant...
                      la vie est trop longue pour attendre, et trop courte pour comprendre

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                      • #12
                        F., à l'oubli tu exiges l'impossible. Alors,
                        Il ne peut satisfaire ton exigence : Je ne puis t'oublier.
                        L'ombre habite tes doigts ; à cela, j'oppose mon entêtement à Etre vrai.
                        A Dieu est une passerelle qui siérait à ma mort.
                        Ah ya ddin qessam !
                        Neqqim tojor d agad ur neswi !

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                        • #13
                          c'est trés touchant ce que tu as écris Salimakli, ça déssine la grande souffrance qui déchire tes entrailles...un conseil resaisi toi et prends la décision d'être heureux.facile à dire me diras-tu!! oui j'entend déjà la voix d'un ami intime qui te rejoind... "la meilleur façon d'aimer quelqu'un c'est de s'attendre à le perdre à tout moment" ..il chante tout le temps :je ne me sens jamais seul avec ma solitude....oser la vie et non pas la subir
                          "Ce que la chenille appelle la fin du monde,
                          le sage l'appelle le papillon." Richard Bach.

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                          • #14
                            F., mon désir est un univers plombé, assorti de menaces.
                            Il me parait inconvenant de ne pas l'Ecrire, ce seize mars.
                            Libère-moi alors de tes amours qui chevauchent les siècles d'une mémoire obèse.
                            A F., je dédie ma rage et mes inconduites (comme celle de l'autre soir), mon espoir et mes infidélités (comme celle d'aujourd'hui).
                            Ah ya ddin qessam !
                            Neqqim tojor d agad ur neswi !

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                            • #15
                              F., je me suis réveillé un jour l'odeur de la mort dans les narines.
                              Il me semble depuis être possédé par le cauchemar. Me suis-je réveillé ?
                              Le paraitre est énorme ; l'Etre refonde la peur marâtre. Puis, le vide...
                              A défaut de vivre, j'ai passé mon temps à rêver.
                              Ah ya ddin qessam !
                              Neqqim tojor d agad ur neswi !

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