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La maison de la Kabylie III

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  • Azul Mis' !

    Zwina, ma soeur me dit qu il y a une chinoise sur Paris qui les fait bien et a bon prix! Connaitrais tu ses coordonnees?
    je n'ai pas encore ses coordonnées mais je vais lui demander, merci pour l'info
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • mmis_ttaq-vaylit

      Saha Aidek khouya..

      I'm so happy for you !.. God speed

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      • Happy Eid Capo.

        Beware of chatting ladies that hide behind a beautiful picture. They are a waste of time.
        Demand to see their face on the first contact, otherwise stop right away!

        Good luck!

        Envoyé par Capo
        Saha Aidek khouya..

        I'm so happy for you !.. God speed
        Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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        • Thank you mmis_ttaq-vaylit

          What a sound advice !
          You got me laughing
          Be aware of dodgy profiles ?.. Yes Sir !!

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          • Beware of chatting ladies that hide behind a beautiful picture. They are a waste of time.
            Demand to see their face on the first contact, otherwise stop right away!
            Dude..So cuuuute... Don't worry... he knows that my pic is just ...not as hot as I am Why do you think he's waintin for my measurements ?! Just to fantasize even mooooore
            Ana ? Sah...Bagra wa el hatta...Dima fi lekhssara, ila ma 3jebtekch, kayn bitelma... Saha !!!
            9olo, wa el 9ol sabek fikoum, ana addit el khomri
            ou âachra fi âaynikom

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            • Tizi

              I saw you so many times
              My heart is still in fuel
              Burning so very high
              I can't feel it anymore

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              • azul fellawen !

                Conscients des dangers qui les guettent, des formules encourageantes

                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • Zwina, daya igh yerwin ddunnit: ayen yellen deg fus rebbi ......... almi aaven awk imdanen ughalen att ouummun deg imdunen
                  Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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                  • Azul Scootie

                    ayen yellen deg fus rebbi .... InchAllah ....
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • ************
                      Dernière modification par Invité, 22 août 2016, 00h55.

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                      • Tugna

                        TUGNA est avant tout un Poème Cinématographique qui met en paroles une représentation allégorique d'une très ancienne construction historique qui est devenu un monument et auquel nous avons donné une conscience humaine pour en faire le protagoniste principal du film. Ce monument qui apparaît des les premières images nous parle sur un texte poétique que nous a écrit le poète et auteur de plusieurs livres Noufel Bouzeboudja.
                        dz(0000/1111)dz

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                        • azul fellawen !

                          Restons dans la poésie avec Kker Mmi's Amazigh de Da Idir Ait Amrane


                          Kker a mmi-s n umaziɣ !
                          Iṭij-nneɣ yuli-d,
                          Aṭas aya ur t-ẓriɣ,
                          A gma nnuba-nneɣ tezzi-d.

                          Azzel ini-as i Masinisa :
                          Tamurt-is tuki-d ass-a.
                          Win ur nebɣi ad iqeddem.
                          Argaz seg neɣ yif izem.

                          Ini-as, in-as i Yugurta.
                          Arraw-is ur t-tettun ara.
                          Ttar-ines ad t-id-rren.
                          Isem-is ad tid-skeflen.

                          I Lkahina n yicawiyen.
                          Atin isexdamen irgazen.
                          Ini-as ddin i aɣ-d-ǧǧa.
                          Di leɛmer ur ten-tettu ara.

                          S umeslay-nneɣ ad nili.
                          Azekka ad yif iḍelli.
                          Tamaziɣt ad tegm ad ternu.
                          D tgejdit n win nteddu.

                          Seg yidurar id-tekka teɣri.
                          S amennuɣ nedba tikli.
                          Tura ulac, ulac akukru.
                          Ad-nerrez wala ad neknu.

                          Lezzayer tamurt ɛzizen.
                          Fell-am ad nefk idammen.
                          Igenni-m yeffeɣ-it usigna.
                          Tafat-im d lḥurriya.

                          Igider n tggureg yuffgen.
                          Ssaweḍ azul i watmaten.
                          Si Terga Zeggaɣen ɣer Siwa.
                          D asif n yidammen a tarwa.

                          Debout fils d'Amazigh !
                          Notre soleil s'est levé
                          Il y a longtemps que je ne l'avais vu,
                          Frère, notre tour est arrivé.

                          Cours dire à Massinissa :
                          Que son pays est aujourd'hui réveillé,
                          Quant à celui qui ne veut pas avancer,
                          Qu'un seul de nous vaut plus qu'un lion.

                          Dis, dis à Yugurtha :
                          Que ses enfants ne l'ont pas oublié,
                          Qu'ils le vengeront,
                          Qu'ils déterreront son nom.

                          À la Kahina des Chaouis
                          Qui a guidé les hommes,
                          Dis : "le pacte qu'elle nous a laissé,
                          Jamais nous ne l'oublierons.

                          Nous vivrons avec notre langue,
                          Demain sera meilleur qu'hier,
                          Le Berbère croîtra et prospérera,
                          C'est le pilier du progrès.

                          Des monts est venu l'appel,
                          Nous sommes partis pour le combat.
                          Maintenant, maintenant plus d'hésitation,
                          Nous briserons mais nous ne plierons pas.

                          Algérie bien aimée,
                          Pour toi, nous verserons notre sang,
                          Ton ciel s'est éclairé,
                          au soleil de la liberté.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • Bejaïa: LA LEGENDE DE L’ÎLE DES PISANS

                            L’île Pisan ou de Djeribia, encore appelée l’ île de Djouba d’El-Bekri, est un rocher d’environ cinq cents mètres de long et cinquante mètres de haut dont les pentes sont couvertes de végétation. Il se dresse à l’Est d’Alger, près de Béjaïa, et garde le souvenir du fondateur de cette ville bâtie au bord de la mer sur le flanc sud du mont Gouraya dans la verdure. Longtemps elle fut florissante dans un des plus beaux paysages de la côte algérienne. Ses maisons étaient entourées de massifs d’orangers, de grenadiers et de figuiers de Barbarie.

                            Le grand historien Ibn Khaldoun raconte qu’en l’an 460 de l’hégire, les Hammadites conduits par Moula-ben-Nacer avaient dû fuir des hordes barbares venus d'Orient déferlant sur le Maghreb, pour se réfugier sur la montagne de Béjaïa et y fonder une ville qui prit le nom d’En-Naceria, mais que tout le monde appelait Bedjaïa du nom de la tribu originaire de l’endroit. Nacer fit aménager le port et construire des palais auxquels il donna des noms poétiques ; palais de la Perle, palais de l’Etoile et, satisfait de son œuvre, il se donna le titre de roi de la Mauritanie sétifienne.

                            Un jour, Nacer se promenait le long du rivage en s’extasiant à la vue des palais construits derrière les hautes murailles : à ceux qui l’encouraient, il proclamait qu’il laisserait à ses successeurs une capitale indestructible, assez forte pour résister à toutes les invasions. Et se tournant vers un pauvre homme qui l’avait suivi, il ajouta : « Admire les progrès de mon entreprise et la splendeur dont brille aujourd’hui cette ville que j‘ai créée. »

                            Or le mendiant était un saint personnage qui vivait dans l’ascétisme et se nommait Sidi-Mohammed-el-Touati. Sans se laisser impressionner, il blâma l’ambition du roi et sa passion pour le luxe et les constructions : « Tu oublies, lui dit-il, l’instabilité des choses humaines. Apprends donc que les monuments dont tu t’obstines à élever à grands frais tomberont en ruine, seront réduits en poussière, et la renommée que tu espères fonder sur leur durée s’écroulera comme eux devant la puissance du temps. “

                            Comme Nacer semblait douter de ses prédictions, Sidi Touati ôta son burnous et le déploya devant le sultan pour lui cacher la vue de Bejaïa. A travers les trous de ce rideau improvisé, Nacer aperçut la ville avec les murailles éventrées et les palais en ruine. Le sultan fut tellement saisi par ce spectacle qu’il en resta comme frappé d’aliénation mentale. Il renonça aux honneurs et abdiqua en faveur de son fils Moula-el-Aziz, puis disparut de la ville.

                            Pendant quatre ans, les recherches les plus minutieuses pour trouver sa retraite ne donnèrent aucun résultat. Mais un jour, une barque de pêcheur aborda par hasard l’îlot de Djeribia, l’île Pisan donc, et les pêcheurs découvrirent sur le rocher un homme presque nu, d’une maigreur effrayante : c’était Nacer. Comment avait-il pu vivre tant d’années seul sur un roc aride ? La légende l’explique en disant qu’à chaque fois qu’Nacer plongeait la main dans la mer, un poisson venait s’attacher à chacun de ses doigts.

                            Moula-el-Aziz et tous les grands seigneurs des environs se rendirent dans l’île pour ramener le sultan fugitif à son palais. Mais il resta inébranlable dans sa décision et mourut quelque temps plus tard sur son rocher dans l’isolement et le silence.

                            Quant à la prédiction de Sidi Mohammed-el-Touati, elle ne sembla pas devoir se réaliser de sitôt : pendant de nombreuses années, la ville de Béjaïa connut une grande prospérité commerciale ; son port passait pour le mouillage le plus sûr du littoral. Les marchands européens entretenaient des rapports étendus et suivis avec les successeurs de Nacer. Ces relations prirent même une importance politique telle qu’un traité d’alliance fut conclu entre le sultan Abou’1-Baka-ben-Zekeria et les rois d’Aragon. Mais ces relations commerciales de Bejaïa n’excluaient pas la piraterie. Selon Ibn Khaldoun, l’habitude de faire la course contre les Chrétiens s’établit à Béjaïa dès le milieu du XIVe siècle. Elle s’organisait ainsi : une société de corsaires était fondée ; ses membres faisaient construire un vaisseau, choisissaient des marins d’une bravoure éprouvée qui partaient en mer pour attaquer les navires des rivaux ou pour arriver à l’improviste sur les côtes ou les îles et enlever tout ce qui leur tombait sous la main. Ils rentraient chargés de butin et de prisonniers, dont le taux de rachat était souvent si élevé qu’il était difficile et même impossible de l’acquitter.
                            Dernière modification par zwina, 24 juillet 2016, 18h18.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • j'ai vue ..Walagh

                              Défendre le patrimoine traditionnel ne veut pas du tout dire qu'on est contre la modernité!
                              dz(0000/1111)dz

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                              • Bonjour horizon...c est qui tarwa oumazigh stp ? Ils ne sont plus Algeriens ???

                                Cordialement...teo
                                "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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