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L'énergie solaire en Algérie

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  • #61
    Long terme ou midi à sa porte ? 2

    Il y a dans votre réponse plusieurs éléments qu'il me semble possible de sérier pour aller dans le détail. Je propose une entrée plus simple : la mise en place d'une filière doit-elle et est-elle immanquablement lié à une notion de compétitivité sur de marchés ?
    Le sujet de la capacité énergétique en est un qui peut permettre de répondre facilement : non, pas forcément.
    Cette réponse peut vous paraître catégorique, elle l'est à un stade ultime de "survie". Certes, un filière industrielle intégrée suppose - tant que l'on n'est pas en état de risque de vie ou de mort d'un groupe (c'est symbolique) économique et social - la prise en compte de réalités "bassement" économiques.
    Et nous n'en sommes effectivement pas encore là ... mais les événements vont vite dans ce domaine.
    Simple indication (sans aucun complexe ethnocentriste ou autre), voir le phénomène Allemagne + Japon : à eux deux, ces pays absorbent plus de 50 % de la production de modules solaires photovoltaïques mondiale. Cela ne vous fait pas ... "tilt" ?!
    La "déplétion" des ressources fossiles (et y sont incluses les ressources d'uranium naturel contenues dans le sous-sol) est pour demain quasiment. L'installation d'une sécurité d'approvisionnement garantissant le fonctionnement des sociétés est à commencer maintenant. Certes, l'Algérie a de quoi voir venir (bien qu'il faut se rappeler le rendement de production des filières de production d'électricité par thermique, y compris les meilleurs cycles combiné gaz), mais à l'échelle globale, ce n'est pas énorme non plus (d'après les sources indépendantes ASPO - Association for the Study of Peak Oil, à voir).
    Il vient un jour où l'on n'a plus le choix, ce jour-là, il vaut mieux être équipé, non ? Les investissements concédés par les pétroliers, je n'en n'ai pas les chiffres exacts, ils sont très importants, c'est sûr. Mais leur capacité financière est essentiellement mise sur des capacités de production et sur des technologies maitrisées. Le seul problème mondial actuel, c'est l'Investissement fondamental : matériau de base. Or, parmi les acteurs majeurs mondiaux, seuls quelques peuvent se le permettre, justement du fait de leur position... L'Algérie en fait partie...

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    • #62
      à tous les abonnés au sujet "energie solaire en algérie"

      bon je vous annonce que j'avais abondonné le sujet d'energie solair pour mon mémoire mais je l'abondonnerai plus dans ma vie c'est un défi
      alors pour l'enrgie solaire en algerie il existe depuis les années 80 et même leurs suivie mais c'est la jendarmerie national qui ont profite et même les douaniers car à leurs niveaux il doit pas y avoir de coupure de courant electrique
      alors je devait avoir de données et comme ce type de données sont confidanciels j'ai préferé de changer de sujet avant que ça soit trop tard j'ai commencé mon nouveau sujet le 02/01/2006

      ils existent des installations pour 20 villages au sud algerien mais 2 entre eux ont quitté c'est des nomadiens et pour les utre (18) leur mode de vie améliore
      je m'intéresse actuellement à la quantification et a l'etude de l'evolution des gaz a effet de serre qui proviennent de la production electrique a fin que l'entreprise doit prendre ces préquautions envers l'environnement et surtous pour le payement des taxes (les nouvelles lois) maximiser son bénéfice.
      donc je dois etudier la dynamique et le comportement de la serie de la production et la serie des gaz , voir la relation qui existe entre eux et d'autre facteurs mais principalement ces deux la ,puis faire une prévision sur leurs quantités et voir de combient ces gaz vont polluer l'air et automatiquement de combient l'entreprise va payer de taxes aprés je ferai une étude micro economique sur "est ce qu'il sra préferable d'ameliorer le rendement des centrales electrique (polluer moins) ou bien payer des taxes (du coté cout)" car l'entreprise veut bien améliorer sa valeur ajouté donc pour pollurer moins l'etat n'a qu'a jouer sur les taxes
      voila la moitié du travail a etait faite et il me reste l'annalyse micro
      a bientot

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      • #63
        Le PDG de New Energy Algeria (NEA) l’a annoncé hier au forum d’El Moudjahid
        Un technopôle solaire à Hassi R’Mel cette année
        Par : Tahar Mohamed AL ANOUAR Le : mercredi 22 mars 2006

        Apparement des responsables algériens sont conscients de l'importance de l'utilisation de l'energie solaire et même de sa généralisation.
        Voici un article qui en parle :


        Le Centre de presse d’El Moudjahid a reçu, hier, le président-directeur général de la New Energy Algeria, filiale de Sonatrach et de Sonelgaz, M. Tewik Hasni.
        La New Energy Algeria constitue aussi un bel exemple de partenariat public-privé national pour le groupe agroalimentaire SIM, qui est actionnaire pour 10% dans l’entreprise.

        Concernant les énergies renouvelables, objet de la conférence du P-DG de NEA, on note que les études prospectives se multiplient. L’on constate aussi que la mutation envisagée est d’une telle ampleur qu’elle doit franchir encore de gros obstacles avant de devenir une réalité économique rentable.

        Des choix sociétaux de grande ampleur

        Ces sentiers énergétiques doux, comme les surnomment les spécialistes, ne peuvent être envisagés que dans le cadre de choix sociétaux de grande ampleur. Tout le problème est alors de savoir si les forces contraignantes du marché sont suffisantes pour enclencher les transformations structurelles nécessaires. Les bio-industries sont-elles viables économiquement ? Le P-DG de la New Energy Algeria a, si l’on s’en tient à son analyse, de bonnes raisons de le croire pour le compte de notre pays en tout cas.
        Un des points fondamentaux d’évaluation d’une stratégie en la matière, relève M. Tewfik Hasni, pour l’évaluation des potentialités en matière d’énergies renouvelables est la présence d’outils très adaptés, entre autres les satellites. Le travail ici en Algérie a commencé avec la constitution d’un groupe de travail où l’on retrouve l’Agence spatiale allemande en tant que partenaire extérieur.

        Un potentiel national important

        M. Tewfik Hasni souligne que le potentiel d’énergies renouvelables algérien est le plus important dans le Bassin méditerranéen, selon les évaluation de l’Agence spatiale allemande. Trois projets ont été évalués : pour le solaire thermique, ce sont 169.000 Twh/an ; pour le solaire photovoltaïque, 13,9 Twh/an et pour l’éolien, 35 Twh/an. La consommation du pays entre pour 25 à 30 Twh/an. L’Europe prévoit de consommer à fin 2006, près de 300 Twh/an. Si l’on évalue leurs possibilités, il faut aussi parler des contraintes qu’impose le développement d’énergies renouvelables, connues comme une réponse à un problème écologique.

        Le problème est dans les surcoûts

        L’orateur évoque alors le problème des surcoûts au stade de la production. Ces surcoûts sont liés au caractère nouveau de toute technologie nouvelle qui apparaît sur le marché. Le choix de la solution hybride (gaz et solaire) est conçu comme un moyen de réduire ces surcoûts, relève M. Tewfik Hasni. C’est un choix partagé par beaucoup d’autres pays, ajoute-t-il.
        Cette technologie de l’hybride permet de maintenir le surcoût à un niveau de 80% du prix de l’électricité provenant d’un cycle combiné gaz. Ce surcoût devrait se réduire encore dans les dix prochaines années. La technologie hybride cycle combiné offre, selon l’orateur, l’avantage d’optimiser la synergie gaz-solaire. Cette technologie, selon le P-DG de la NEA, est utilisée avec succès depuis 1980 aux Etats-Unis. Elle permet, souligne-t-il, de donner une flexibilité plus grande à la valorisation du gaz, ainsi qu’une économie du gaz qui aurait été utilisé dans la production d’électricité aussi bien pour les besoins nationaux qu’à l’exportation. Les objectifs annoncés pour les énergies renouvelables dans les consommations énergétiques mondiales, évaluées aujourd’hui à 6%, devraient se situer à hauteur de 12% d’ici à 2020.
        Pour les exportations en direction de L’Europe par câble, soit près de 2.000 mégawatts, 4% de cette capacité (75 MW) pourrait provenir de centrale hybride-solaire-gaz d’une capacité de 400 MW.

        Un programme visant les Hauts Plateaux

        Le programme national est un projet intégré. Il vise au développement des Hauts Plateaux, d’autant que le rendement des technologies solaires est plus intéressant au sud des Hauts Plateaux. L’autre paramètre retenu dans ce choix, selon l’orateur, d’implantation des projets au Sud va à la disponibilité de superficies requises. Selon le P-DG de la NEA, le projet de 150 MW nécessitera près de 60 ha.
        L’autre projet, situé à Meghaïer, devrait permettre par la mise à disposition aussi bien de l’électricité que de l’au, la structuration en termes de développement durable de la région du Souf. Ce projet permettra de tester l’utilisation du réservoir albien pour le transfert d’eau vers les Hauts Plateaux. Le réseau de transmission électrique national intégrera ces grands transferts, selon l’orateur, dans le sens est-ouest et sud-nord.
        Le programme intègre aussi la constitution d’un technopôle solaire autour du projet de Hassi R’Mel avec l’assistance de l’Institut des énergies renouvelables de Ghardaïa.

        Un technopôle d’ici à la fin de l’année

        Le technopôle devrait voir le jour d’ici la fin de l’année entre Sonatrach-Sonelgaz, la NEA, le centre du développement des énergies renouvelables, les universités de Ghardaïa et Laghouat, l’Agence spatiale algérienne (ASAL).
        Participent à ce projet l’agence spatiale allemande et le Centre espagnol de recherche sur le solaire (CIEMAT). L’objectif est la constitution d’une base industrielle et technologique algérienne à même de contribuer à la réalisation des capacités de production d’électricité à partir du solaire et qui sont estimées à plus de 6000 MW d’ici à 2015.
        Pour l’orateur, le positionnement des énergies renouvelables est en train d’augmenter. Il y a un problème d’optimisation des réseaux pour pouvoir installer des projets. En Europe, cette contrainte de terrain est particulièrement grande.
        Comment cerner ce marché chez nous, s’interroge le conférencier, quels sont nos besoins futurs en énergie et comment les satisfaire, comment assurer la protection de l’environnement qui est aujourd’hui incontournable dans la faisabilité de tout projet.
        Quel sera le taux démographique, économique ?
        C’est à toutes ces questions qu’il faudra très vite répondre.

        Un élément stratégique

        Ce qui est sûr, c’est que l’énergie demeurera un élément stratégique de toute politique de développement, ce qui explique souligne M. Tewfik Hasni, les conflits présents dans le monde. Ce qui ressort des études actuelles, c’est que pour la période horizon 2020, la consommation aura doublé entre 2000 et 2020.
        Il faudra trouver une optimisation pour l’utilisation des ressources. Les énergies renouvelables doivent se positionner à un niveau suffisamment important.

        Le solaire, c’est l’équivalent de 10 gisements de gaz découverts

        Le potentiel solaire, c’est 37.000 milliards de mètres cubes chez nous, soit l’équivalent de 10 gisements de gaz qui auraient été découverts à Hassi R’mel. Mais à la différence du gaz, cet équivalent en solaire à une durée de vie éternelle. Cela dit pour relativiser la question des surcoûts, souligne l’orateur, qui ne sont présents qu’à la production. Il est possible de réduire ces surcoûts, car l’énergie solaire est assurée pour toujours, tandis que le gaz, lui, reste à découvrir pour ce qui reste à découvrir. Les possibilités d’exportation à l’horizon 2020 sont évaluées à 6000 mégawatts à horizon 2020, soit l’équivalent de 12 milliards de m3/an de gaz. Le gaz lui devra être cherché au sud de Hassi R’mel avec des coûts de transport pouvant se chiffrer en milliards de dollars. Dans un contexte de relative déséquilibre, on se trouve bien positionné par rapport aux différents marchés fait remarquer M. Tewfik Hasni, d’où la nécessité d’avoir plus de flexibilité vis-à-vis de nos différents ressources pour profiter des opportunités offertes.

        Le choix en faveur du solaire

        Le choix a été fait pour le développement du solaire et l’on travaille sur la technologie correspondante en nous assurant de l’expertise nécessaire.
        En évoquant une nouvelle fois le technopôle, l’orateur rappelle qu’il sera produit en son sein de l’hydrogène à partir du solaire. L’hydrogène, c’est le carburant de demain, souligne M. Tewfik Hasni. Cela se traduira en programmes pour, d’une part pour toutes ces ressources, satisfaire les besoins locaux et se positionner à l’export.
        20 % de l’électricité produite vient des énergies renouvelables pour l’Europe, dans une perspective à moyen terme.
        En Algérie à horizon 2010, il est prévu la production de 500 MW d’électricité à partir de l’énergie solaire.
        En 2015, 1000 MW et exportation possible de 400 MW. En la matière, nous nous fondons sur les perspectives offertes par les câbles installés entre l’Algérie et l’Espagne et l’Algérie et l’Italie en matière de transport et envisager d’étendre plus tard les transports sous-marins.
        Le P-DG de la NEA a rappelé également les projets en matière de dessalement de l’eau de mer et leur importance.

        La recherche, un élément stratégique

        En matière de recherche, il a rappelé, là aussi, que c’est un élément stratégique pour les développements futurs que nous prévoyons en matière d’énergie renouvelableavec la création du technopôle de Hassi R’Mel, dont on prévoit une production de 6.000 mégawats d’ici à 2015, d’importantes ressources vont être mises à contribution.
        Pour nous positionner en matière d’énergie solaire thermique, il y a d’importants programmes qui son prévus à Béchar, Adrar, Tindouf, Timimoun Béchar, évalués à plus d’un milliard de dollars. Il s’agit de programmes qui nécessitent l’appel à des investisseurs étrangers. L’orateur souligne que les pays développés portent un grand intérêt aux énergies renouvelables en Algérie et aux programmes prévus.

        Source ; elmoudjahid

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        • #64
          merci pour l'info
          ça me réconcillie un peu avec El-Moudjahid que je hais (celui des années 70).

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          • #65
            Tres bonnes nouvelle...L’Algérie représente le potentiel solaire le plus important de tout le bassin méditerranéen”, d’après l’évaluation effectuée par satellites par l’Agence spatiale allemande (DLR), le centre espagnol de recherche sur le solaire (CIEMAT) et le Centre de développement des énergies renouvelables .
            Des perspectives et un potentiel d’exportation vers l’Europe tjrs d'apres eux.

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            • #66
              @ zoubir

              ça me réconcillie un peu avec El-Moudjahid que je hais (celui des années 70).
              Consoles-toi.T'es pas le seul...

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              • #67
                Solaire versus Éolienne

                En Amérique du Nord, c'est la carte éolienne qui est préférée.

                Raisons ?

                -Le vent souffle 24x24 et 7x7 à longueur de l'année
                -Le coût initial et le maintien des éolienne est plus intéressant
                -On peut parquer les éolienne dans un endroit qui ne convient pas à l'agriculture et en dehors des villes, leur durée de vie est plus impressionante.

                J'ai visité un parc éolien et je me suis rendu voir les concepteurs de ces monstres dans le sud de la Province Canadienne de l'Alberta.

                Après une demi journée parmi ces gens, je reste convaincu que l'éolienne est de loin supérieure au solaires.

                Incidemment: Une ville française du Nord (dans un récent reportage) montrait les blocs appartement avec des panneaux solaires brisés qu'on ne s'est pas donné la peine de réparer, et pourquoi ? On avait dit "trop cher" ......

                En ALgérie toutes les collines rocheuses et incultes ... comme dans les Hauts Plateaux ... ce sera l'idéal d'autant plus qu'on sait qu'il vente beaucoup chez nous !

                EN PLUS la technologie éolienne est plus simple à fabriquer, et je ne pense pas qu'on aura besoin d'investissement étrangers non plus pour le faire....
                Dernière modification par Avucic, 23 mars 2006, 12h47.
                L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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                • #68
                  Effectivement l'algérie a des projets de parc d'éoliennes pour les régions de tindouf, timimoun et bechar.
                  Pour les hauts-plateaux, c'est prévu mais aprés les trois régions citées.
                  Moi perso, je suis plus attaché au solaire....

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                  • #69
                    a tizinissa

                    bonjour mes amies
                    j'ai une question a vous poser
                    pourquoi est ce qu'on convertit les gaz à effet de serre du ch4 au co2 et pour quoi pas l'inverse ie: du co2 au ch4.
                    j'espere que je vais recevoir la réponse le plutot possible

                    Commentaire


                    • #70
                      Envoyé par shevamania
                      pourquoi est ce qu'on convertit les gaz à effet de serre du ch4 au co2 et pour quoi pas l'inverse ie: du co2 au ch4.
                      j'espere que je vais recevoir la réponse le plutot possible
                      SALUT S:

                      Je crois que ne semblez pas savoir exactement ce que sont les les gaz à effets de serre.

                      Il y a un grand nombre de gaz qui forment cette catégorie dont
                      -la vapeur d'eau H2O considérée comme gaz
                      -le gaz carbonique CO2
                      -le méthane CH4
                      ...........
                      et toute une série (je ne veux pas citer) qui sont formés durant des opérations d'industrie ou combustion de moteurs.

                      Pour répondre à la question: On peut bruler le méthane (CH4) et la réaction avec l'oxygène (O2) et CH4+nXO2 donnera de la Chaleur (énergie) + de l'eau H2O et du gaz carbonique CO2

                      La réaction est relativement simple.

                      Pour partir du CO2 et arriver au CH4, c'est faisable, mais les coûts de l'opération sont tellement élevés que ça ne vaut pas la peine..

                      C'est un peu comme si vous demandez à quelqu'un de fabriquer du Pétrole à partir du Charbon.

                      C'est faisable, mais alors le prix du barril serait TROP élevé... et c'est plus pratique de creuser des puits avec espoir d'en découvrir....
                      L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

                      Commentaire


                      • #71
                        Bonjour shevamania,

                        comment va ton projet !!

                        Pour repondre a ta question:
                        "pourquoi est ce qu'on convertit les gaz à effet de serre du ch4 au co2"

                        et on plus de ce que a dit Avucic ! je dis qu'il ne m'est pas connu qu'il y a uen tendance a convertir les gaz-serre en CO2 pour un but ecologique ou autre !! je veux dire qu'on n'utilise pas les gaz-serre dans cette reaction parcequ'ils sont des gaz-serres (par exemple pour les reduire en l'atmosphere) mais si on le fait ca serait uniquement pour un but commercail et du fait que ses gazes ont la componente C qui rendrait la production de CO2 possible!!

                        Le Co2 est un poduit comme les autres a grandes utilisation dans la vie courantes !! on en fait par exemple :

                        - Des galcons, ou les grandes barres de glace solide qu'on appele aussi glace sec qui est differente des glaces a base d'eau et ne se liquidifie pas facillement !!

                        - des gazes nebuleux qu'on trouve par exemple dans les spectacles, les boites de nuit ....etc

                        - le produit qu'on trouve dans les extincteur contre les incendie !! tres utiles par exemple dans le cas ou l'eau peut creer des probleme comme dans le cas d'incendie dans des centres elctrique, reseaux d'Ordiinateur ....

                        - l'eau gazeuse

                        - mediacament aussi

                        - dans l'agroalimentaire ou il prend le nom de E 290

                        - des gaz de refrigeration aussi pour les climatiseur et machine de froid

                        ...etc

                        Je sais pas si c'etait le but de ta question !! sinon dis moi ce que tu veux exactement savoir a travers cette question !! etales ton probleme explicitement !!

                        Voial a Bientot docn !!

                        PS: si tu veux je suis un ami mais pas une amie
                        Dernière modification par Invité, 12 juin 2006, 12h58.

                        Commentaire


                        • #72
                          Energie solaire

                          De par sa situation géographique, l’Algérie dispose d’un des gisements solaire les plus élevés au monde.
                          La durée d’insolation sur la quasi totalité du territoire national dépasse les 2000 heures annuellement et peut atteindre les 3900 heures (hauts plateaux et Sahara). L’énergie reçue quotidiennement sur une surface horizontale de 1m2 est de l'ordre de 5 KWh sur la majeure partie du territoire national, soit prés de 1700KWh/m2/an au Nord et 2263 kwh/m2/an au Sud du pays.

                          Régions Région côtière Hauts Plateaux Sahara
                          Superficie (%) 4 10 86
                          Durée moyenne d’ensoleillement (Heures/an) 2650 3000 3500
                          Energie moyenne reçue (KWh/m2/an) 1700 1900 2650
                          Ce gisement solaire dépasse les 5 milliards de GWh.

                          Commentaire


                          • #73
                            panneaux photovoltaiques

                            Voulons-nous implanter une usine de production des panneaux photovoltaiques en Algérie?

                            Commentaire


                            • #74
                              merci

                              merci pour vos réponses mes amis
                              je m'excuse tizinissa,

                              Commentaire


                              • #75
                                Isola

                                Isola, isolé sa maison et mettre des panneaux solaires, c'est super pour le développement durable.

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