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MErci zac, ça m'en bouche un coin ............. et ça prouve bien mes immenses lacunes dans certaines matières ..... à combler donc ...... pour être "comblé" !!
Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain
La mort, j'y pense tous les jours. Et elle me fait peur, non pas pour moi, mais pour mes proches.
J'imagine que tu vis dans l'angoisse permanente... Comme moi par rapport à mes parents, je ne peux pas imaginer les perdre... Je me refuse même à y penser!
Envoyé par scootie
Perso je suis totalement désihinibé face à la mort; en ce sens que sachant qu'elle est inéluctable, il est inutile de faire une fixation permanente dessus.
Et donc, la mort est une évidence et n'a aucun effet sur toi? Comment tu peux l'expliquer? Peut-on comprendre par là, que ta relation avec la vie n'est pas assez forte pour s'y opposer?
Envoyé par Scootie
Je dirais même que je suis fasciné par le visage des morts qui, une fois éteints, dégagent paradoxalement une lumière de paix et de plénitude qui m'étonnera toujours.
Envoyé par Djamy
je reste calme ,j'arrive a gérer mais la mort d'autrui m'affectes surtout si c des gens que je connais ,mnt bcp plus depuis de le décès de mon pere .
Ta relation avec la mort est donc d'ordre psycologique, elle agit sur ta mémoire de la souffrance...
Envoyé par Fatun
Une relation trop étroite malheureusement . .
Etroite comment?
Zac, mille mercis pour ces beaux passages... Je suis enchantée de les lire dans un topic comme celui ci...
Dernière modification par Argelina, 20 mai 2010, 19h08.
Il faut sans cesse se rappeler de la mort car Dieu Al Aziz Al Hakim nous a mis un terme et personne ne peut y échapper. Notre relation avec la mort, même si on en à aucune, elle en a une avec nous.
La Ghâleb ila Allah.
Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir
Une renaissance plus paisible, la paix de l'ame inchallah aux paradis, je ne la crains pas, je n'en ai pas peur, ce que je crains c'est le chagrin que je laisserai ici bas quand mon jour viendra , par rapport à mes proches ce qui mon aimé : amis, parents....
_ Votre manière d'aborder votre mort à vous, inéluctable.
étant passé souvent tout prés, je me suis habitué un peu a la sensation de peur qui m'est devenu presque familière
ce ci dit la mort m'inspire beaucoup de chose, surtout qu'il existe une fin pour tout, c'est pour cela y a pas que la mort des proches qui me touche mais tout ce qui m'entoure a forcement une valeur sentimentale, bien sur la mort d'un proche c'est la plus pénible car souvent ces personne on l'ai connu toute notre vie, ils ont une place et un role dans tout ce que nous somme devenu, notre personnalité, notre comportement, notre raisonnement et notre éducation, alors perdre une personne c'est en quelque sorte mettre un terme a l'échange ( rapport entre donner et recevoir ) on ne pourra plus rien recevoir et on pourra plus rien lui donner, c'est dur de l'accepter
mais reste que le premier pas pour comprendre la mort c'est de l'accepter qu'elle est une partie intégrante de la vie aussi, et comme certains qu'on voit mourir, nous aussi on va mourir, peu importe de quelle manière, alors il faudra accepter, il est vrai que si j'imagine ma mort le seul truc qui me chagrine ( enfin je serais mort je pourrais rien ressentir mais c'est une projection en tant que vivant ) c'est bien la réaction de mes proches, leurs tristesse et leurs chagrin, sinon le reste je m'en moque, l'argent, les biens etc etc
j'aime bien la mort enfin de compte, dans le sens je ne l'a fuit pas, le fait d'évoqué la mort ne me fait rien, j'ai pas peur de partir, j'aime bien vivre mais j'en fait pas une fixation non plus car la vie éternelle n'existe pas et en plus elle ne m'intéresse pas, ca doit etre ennuyant une vie qui ne se termine pas surtout si on est maudit comme moi
J y pense beaucoup, et elle me fait moins peur qu'avant, j'ai réussi à l'apprivoiser, et cela en m'intéressant non délibérément à elle. En revanche ce qui m'effraie c'est la maladie, la souffrance et ses apparentes. Quand mon heure viendra je voudrai m'en aller paisiblement sans incommoder personne.
Il n'existe pas de temps perdu, juste du temps vécu...
Il faut sans cesse se rappeler de la mort car Dieu Al Aziz Al Hakim nous a mis un terme et personne ne peut y échapper. Notre relation avec la mort, même si on en à aucune, elle en a une avec nous.
La Ghâleb ila Allah
La foi aide beaucoup à accepter la mort. Elle nous permet d'admettre la fatalité. On est vivant temporairement et si on est vivants c'est que ça nous a été permis et donc à tout moment on peut nous l'enlever. Et c'est une philosophie de vie qui est trés sécurisante si l'on observe bien les choses. Elle se fond sur notre consentement.
Envoyé par Traks
de toute façon on crois toujours que ça n'arrive qu'aux autres...donc...pas de cassement de téte de ce coté
C'est ce qu'on appelle l'évitement de la mort. Ce n'est pas si grave mais s'il est motivé il peut se transformer en déni. Le danger du déni c'est le choc probable à la perte d'un trés proche qui nous fera réaliser que la vie est périssable et que la notre aura une fin inévitable...
Cependant, pour revenir à l'évitement, on peut dire qu'il y a une conscience de la menace et une peur profonde! L'évitement est une réaction de défense inconsciente.
Envoyé par Selma
Une renaissance plus paisible, la paix de l'ame inchallah aux paradis, je ne la crains pas, je n'en ai pas peur, ce que je crains c'est le chagrin que je laisserai ici bas quand mon jour viendra , par rapport à mes proches ce qui mon aimé : amis, parents....
Réfléchhir à "l'aprés mort" peut aider effectivement à apprivoiser la mort en elle même. Mais comme tu l'as décrit, c'est le parallèlisme entre le monde habituel et le monde ou l'on sera aprés la mort qui peut soulever des inquiétudes, des angoisses...
Dernière modification par Argelina, 20 mai 2010, 20h37.
étant passé souvent tout prés, je me suis habitué un peu a la sensation de peur qui m'est devenu presque familière
Tu nous racontes?
Envoyé par not me
ce ci dit la mort m'inspire beaucoup de chose, surtout qu'il existe une fin pour tout, c'est pour cela y a pas que la mort des proches qui me touche mais tout ce qui m'entoure a forcement une valeur sentimentale, bien sur la mort d'un proche c'est la plus pénible car souvent ces personne on l'ai connu toute notre vie, ils ont une place et un role dans tout ce que nous somme devenu, notre personnalité, notre comportement, notre raisonnement et notre éducation, alors perdre une personne c'est en quelque sorte mettre un terme a l'échange ( rapport entre donner et recevoir ) on ne pourra plus rien recevoir et on pourra plus rien lui donner, c'est dur de l'accepter
La mort de l'autre est synonyme de perte. Cette perte est plus ou moins surmontable... C'est pour cela que la période de deuil peut se révéler nécessaire, et transitoire.
Envoyé par not me
mais reste que le premier pas pour comprendre la mort c'est de l'accepter qu'elle est une partie intégrante de la vie aussi, et comme certains qu'on voit mourir, nous aussi on va mourir, peu importe de quelle manière, alors il faudra accepter, il est vrai que si j'imagine ma mort le seul truc qui me chagrine ( enfin je serais mort je pourrais rien ressentir mais c'est une projection en tant que vivant ) c'est bien la réaction de mes proches, leurs tristesse et leurs chagrin, sinon le reste je m'en moque, l'argent, les biens etc etc
La mort est un défi de la vie comme on dit. Etre vivant est avant tout accepter de ne plus l'être. Pour l'accepter, ce n'est pas évident bien sûr. Chacun doit se choisir une méthode pour y arriver... D'où le défi.
Envoyé par not me
j'aime bien la mort enfin de compte, dans le sens je ne l'a fuit pas, le fait d'évoqué la mort ne me fait rien, j'ai pas peur de partir, j'aime bien vivre mais j'en fait pas une fixation non plus car la vie éternelle n'existe pas et en plus elle ne m'intéresse pas, ca doit etre ennuyant une vie qui ne se termine pas surtout si on est maudit comme moi
Ce que tu dis là est la réplique parfaite de la bonne approche de la mort. On retrouve les trois éléments essentiels pour l'acceptation de la mort: L'abondon de l'illusion, la négociation et le consentement.
Envoyé par candiline
J y pense beaucoup, et elle me fait moins peur qu'avant, j'ai réussi à l'apprivoiser, et cela en m'intéressant non délibérément à elle. En revanche ce qui m'effraie c'est la maladie, la souffrance et ses apparentes. Quand mon heure viendra je voudrai m'en aller paisiblement sans incommoder personne.
J'ai trouvé là une contradiction.
Dernière modification par Argelina, 21 mai 2010, 10h03.
La Mort pour moi est une fatalité , une source de peur ,d'incertitude
quelque chose de non définie et d'absurde ! elle me met en face de Mon moi fragile et démuni .... c'est elle qui peut freiner ma colère, mon ambition et mes folies les plus folles !
Votre attitude face à la mort d'autrui.
Celle des proches me coupe les pieds
Pour les autres de la compassion peut être ,enfin je ne sais pas trop
Votre manière d'aborder votre mort à vous, inéluctable.
Je me remets a mon créateur ! ceci me donne de la sérénité
« Celui qui ne sait pas hurler , Jamais ne trouvera sa bande " CPE
Votre relation avec la mort ? Recharger cette page Répondre à la discussion
Pourquoi se plaindre, la mort n'est rien pour moi...un jour je serai mort sans doute et puis si je vécus tanpis .......je ne peut pas penser a ma mort car la mort est surprise.....
je suis déjà mort
Quand on aime, ou bien l’on n’a point de peine, ou bien l’on aime jusqu'à sa peine. Saint augustin
_ Votre manière d'aborder votre mort à vous, inéluctable.
la mort m'inspire à multiplier au maximum les actes de bonté et de generosité,faire du bien,diversifier les methodes ,les moderniser,les faire intelligemment,pour s'assurer de leurs continuité,et tout ca ce fait dans cette vie.
mon attitude face à la mort d'autrui: c'est d'accepter ce sort que nul ne s'en échappera, avec foi ,et soumission à dieu.
ma maniére d'aborder ma mort:22: des tas de questions ?????
comment ca va m'arriver? dans la maison ? accident ? dans un hopital? arret cardiaque ? mais la mort est la.et il faut se preparer,c'est tout.
p.s/ la plus drole declaration que j'ai lus sur la mort,elle est d'un grand acteur de cinema j'ai oublié son nom : il à dis je n'ai pas peur de la mort,mais je n'aimerais pas etre la l'orsque ca sera mon tour
J y pense sereinement et sans en pour autant faire une fixette obsessionnelle.
Nulle contradiction, car, dans le cadre de mon cursus, on doit inéluctablement s'interesser à cela, du moins pr un certains temps !
Il n'existe pas de temps perdu, juste du temps vécu...
bah entre les accidents, la maladie, les bêtises c'est une longue histoire ou plutôt des histoires
La mort de l'autre est synonyme de perte. Cette perte est plus ou moins surmontable... C'est pour cela que la période de deuil peut se révéler nécessaire, et transitoire.
puisque tu évoque la période de deuil, je fais juste la relation avec la religion qui recommande aussi une période de deuil qui ne doit pas s'éterniser car après tout la vie reprend ses droits sans pour autant vouloir dire cultivé l'oubli
La mort est un défi de la vie comme on dit. Etre vivant est avant tout accepter de ne plus l'être. Pour l'accepter, ce n'est pas évident bien sûr. Chacun doit se choisir une méthode pour y arriver... D'où le défi.
y a plusieurs chemin qui mène a l'acceptation, certains sont plus long que d'autre car face a l'inconnu beaucoup préfère faire marche arrière et se réfugier dans le déni que d'affronté la peur mais en y arrivant non seulement on accepte mieux la mort et on est en symbiose avec nous même et par conséquent on apprecie mieux chaque instant de la vie
Ce que tu dis là est la réplique parfaite de la bonne approche de la mort. On retrouve les trois éléments essentiels pour l'acceptation de la mort: L'abondon de l'illusion, la négoiation et le consentement.
on retrouve là une fan de la philosophie
j'aime bien ta façon d'analyser certains concept ou idée
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