Yazou je te cite:
...je rêvais d'avoir une arme que je puisse tuer le maximum que je puisse...
qui me pousse a déduire que peut etre que celui qui pardonne, a ete loin de cette horreur..
suis-je capable d'oublier ?
J'aurai pu écrire tes mots, ajouté à cela les visages des orphelins qui ont grandit sans père ou sans mère, des veuves, des parents meutris par la perte d'un enfant, des amis et connaissances disparu comme ça du jour au lendemain, les têtes humaines que l'on retrouvais le matin en bas de chez soi en allant travailler..... le sang, les corps déchiquetés par les bombes...
l'odeur de la poudre... l'odeur de la mort qui rode dans tous les coins de rue... la terreur... et tous ces jours et ces nuits ou l'on se demandait qui allait encore mourir et de quelle manière (égorgé, tué par balles ou déchiqueté par une bombe) et si on allait y passer nous aussi... la vie avait des allures d'un film d'horreur interminable...
sans parler du banal voisin ou ancien camarade de classe ou connaissance qui du jour au lendemain prend le visage d'une tueur style jack l'éventreur! qui tue de sang froid...
Je ne peux pas lire un livre qui décrit ses horreurs, elles sont toutes écrites dans un coin de nos mémoires, pas sous forme d'un roman, qu'on lit tranquillement devant sa cheminée bien au chaud, mais sous forme de cauchemar vécu qui a laissé des blessures indélébiles.
...je rêvais d'avoir une arme que je puisse tuer le maximum que je puisse...
qui me pousse a déduire que peut etre que celui qui pardonne, a ete loin de cette horreur..
suis-je capable d'oublier ?
J'aurai pu écrire tes mots, ajouté à cela les visages des orphelins qui ont grandit sans père ou sans mère, des veuves, des parents meutris par la perte d'un enfant, des amis et connaissances disparu comme ça du jour au lendemain, les têtes humaines que l'on retrouvais le matin en bas de chez soi en allant travailler..... le sang, les corps déchiquetés par les bombes...
l'odeur de la poudre... l'odeur de la mort qui rode dans tous les coins de rue... la terreur... et tous ces jours et ces nuits ou l'on se demandait qui allait encore mourir et de quelle manière (égorgé, tué par balles ou déchiqueté par une bombe) et si on allait y passer nous aussi... la vie avait des allures d'un film d'horreur interminable...
sans parler du banal voisin ou ancien camarade de classe ou connaissance qui du jour au lendemain prend le visage d'une tueur style jack l'éventreur! qui tue de sang froid...
Je ne peux pas lire un livre qui décrit ses horreurs, elles sont toutes écrites dans un coin de nos mémoires, pas sous forme d'un roman, qu'on lit tranquillement devant sa cheminée bien au chaud, mais sous forme de cauchemar vécu qui a laissé des blessures indélébiles.
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