Salut à tous,
Je suis Claude Henri, né en 1942 à Texenna prés de Jijel, de suis pére et grrand père. Retraité je vis à NICE sur la Côte d'azur. Depuis ma retraite je suis auteur d'un livre. Sportif, intéressé par tout et tous je suis toujours trés attaché à mon pays natal. Mon arrivée sur votre site me permettra je l'espére un contact de plus avec mes origines en échangeant avec tous les hommes et les femmes de bonne volonté étant persuadé que seule des échanges ouverts, francs et courtois non seulement ne peuvent que nous enrichirent mais aussi rapprocher les peuple et comme en plus je me sens "de ce peuble" alors Inch'Allah.
Je viens de lire un article sur le retour des pieds noirs dans leur pays natal je connais bien le probléme puisque je suis retourné chez moi en 1990 puis il y a deux ans accompagné de mon fils ainé agé de 41 ans. Ce fût un vrai, grand et réel bonheur. Je n'ai vécu que dans le bled et à El Milia pour la plus longue partie de ma vie de 1942 à 1962. Ma scolarité, mes relations familiales, mes vacances, les activité professionnelles de mon père m'ont conduit à CONSTANTINE, à BELLAA, A EL EULMA, A SETIF, GUELLAL ET MEZLOUD, à KERRATA, à BEJAIA JIJEL et enfin El Milia et biensur toutes les petites localités de cette belle région du Nord Constantinois. J'ai réconté d'ailleurs ma vie dans le livre
SECRETS D'ENFANCE
Algérie 1942- 1962
qui raconte tout ce que j'ai vécu dans ce pays merveilleux, ce que ce pays m'a donné, comment je suis, gràace et par lui devenu l'homme que je suis, l'époux, le pére le grand pére et tout le reste. Alors ces deux voyages ont été une épreuve extrêmement émouvante mais magnifique. Lre premier en 1990 un peu difficile. L'Algérie semblait rocroquevillées sur elle même comme lorsque nous nous enfermons avant une tempête prévue et prévisible. Certains de mes copains ai bled n'ont pas osé se rapprocher trop de moi. J'étais revenu tout seul avec un sac à dos. Pour vous diree la vérité quelques temps avant ce voyage mon pére était décedé. C'était un homme de la nature, chasseur et pêcheur. Il connaissait les moindres coins, les endroits ou nous avions vécu, les points de chasse, de pêche etc...etc... Aussi ce premier voyage était pour moi, c'est peut être idiot mais ..... Je reveniais en Algérie pour retrouver l'àme de mon pére qui sûrement était revenu dans son pays qu'il n'avait quitté que quelques mois aprés l'indépendance, désespéré de ne pas pouvoir rester dans son pays, comme il le disait. Je suis sur que mon pére était alors prés de moi pendant les quinze jours que j'ai passé à El Milia, JIJEL El Hancer, Belghemouz et Constantine. La seconde fois, il y a trois ans, je suis donc retourné chez moi avec mon fils ainé qui voulait tant découvrir le pays de son pére, ce pays dont il m'avait entendu parlé tant de fois, trop de fois même. Ce fut un grand bonheur que ce second voyage. J'ai trouvé une Algérie changée certes mais un Algérie qui me paraissait revivre. J'ai pu retrouver mes copains au village, leurs familles pour certains, mon village avec ses changements bien sur mais globalement le même. J'ai pris aussi conscience du mouvement de la population, la nouvelle organisation administrative du pays, mais toujours son soleil, ses couleurs, ses éclairages, ses hommes et ses femmes, ses campagnes, ses montagnes, ses oueds. J'avais la sensation que tous me disaient"Bienvenue chez toi mon Fils ou mon Frére" Mon fils......Mon Frère....Cà alors quel bonheur si vous saviez. Moi je suis revenu seul chez moi, puis accompagné par mon fils mais tous les pieds noirs qui sont venus ou revenus dans ce qui a été leur pays quel bonheur lorsqu'ils parlent de leur voyage, de l'accueil qui leur est réservé par tous. Alors à vous qui êtes au Bled Merci a vous. Que dire de plus.
Je suis Claude Henri, né en 1942 à Texenna prés de Jijel, de suis pére et grrand père. Retraité je vis à NICE sur la Côte d'azur. Depuis ma retraite je suis auteur d'un livre. Sportif, intéressé par tout et tous je suis toujours trés attaché à mon pays natal. Mon arrivée sur votre site me permettra je l'espére un contact de plus avec mes origines en échangeant avec tous les hommes et les femmes de bonne volonté étant persuadé que seule des échanges ouverts, francs et courtois non seulement ne peuvent que nous enrichirent mais aussi rapprocher les peuple et comme en plus je me sens "de ce peuble" alors Inch'Allah.
Je viens de lire un article sur le retour des pieds noirs dans leur pays natal je connais bien le probléme puisque je suis retourné chez moi en 1990 puis il y a deux ans accompagné de mon fils ainé agé de 41 ans. Ce fût un vrai, grand et réel bonheur. Je n'ai vécu que dans le bled et à El Milia pour la plus longue partie de ma vie de 1942 à 1962. Ma scolarité, mes relations familiales, mes vacances, les activité professionnelles de mon père m'ont conduit à CONSTANTINE, à BELLAA, A EL EULMA, A SETIF, GUELLAL ET MEZLOUD, à KERRATA, à BEJAIA JIJEL et enfin El Milia et biensur toutes les petites localités de cette belle région du Nord Constantinois. J'ai réconté d'ailleurs ma vie dans le livre
SECRETS D'ENFANCE
Algérie 1942- 1962
qui raconte tout ce que j'ai vécu dans ce pays merveilleux, ce que ce pays m'a donné, comment je suis, gràace et par lui devenu l'homme que je suis, l'époux, le pére le grand pére et tout le reste. Alors ces deux voyages ont été une épreuve extrêmement émouvante mais magnifique. Lre premier en 1990 un peu difficile. L'Algérie semblait rocroquevillées sur elle même comme lorsque nous nous enfermons avant une tempête prévue et prévisible. Certains de mes copains ai bled n'ont pas osé se rapprocher trop de moi. J'étais revenu tout seul avec un sac à dos. Pour vous diree la vérité quelques temps avant ce voyage mon pére était décedé. C'était un homme de la nature, chasseur et pêcheur. Il connaissait les moindres coins, les endroits ou nous avions vécu, les points de chasse, de pêche etc...etc... Aussi ce premier voyage était pour moi, c'est peut être idiot mais ..... Je reveniais en Algérie pour retrouver l'àme de mon pére qui sûrement était revenu dans son pays qu'il n'avait quitté que quelques mois aprés l'indépendance, désespéré de ne pas pouvoir rester dans son pays, comme il le disait. Je suis sur que mon pére était alors prés de moi pendant les quinze jours que j'ai passé à El Milia, JIJEL El Hancer, Belghemouz et Constantine. La seconde fois, il y a trois ans, je suis donc retourné chez moi avec mon fils ainé qui voulait tant découvrir le pays de son pére, ce pays dont il m'avait entendu parlé tant de fois, trop de fois même. Ce fut un grand bonheur que ce second voyage. J'ai trouvé une Algérie changée certes mais un Algérie qui me paraissait revivre. J'ai pu retrouver mes copains au village, leurs familles pour certains, mon village avec ses changements bien sur mais globalement le même. J'ai pris aussi conscience du mouvement de la population, la nouvelle organisation administrative du pays, mais toujours son soleil, ses couleurs, ses éclairages, ses hommes et ses femmes, ses campagnes, ses montagnes, ses oueds. J'avais la sensation que tous me disaient"Bienvenue chez toi mon Fils ou mon Frére" Mon fils......Mon Frère....Cà alors quel bonheur si vous saviez. Moi je suis revenu seul chez moi, puis accompagné par mon fils mais tous les pieds noirs qui sont venus ou revenus dans ce qui a été leur pays quel bonheur lorsqu'ils parlent de leur voyage, de l'accueil qui leur est réservé par tous. Alors à vous qui êtes au Bled Merci a vous. Que dire de plus.
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