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Ces enfants d'immigrés maghrébins qui font la France
Les algériens de France ont un sacrée complexe, je ne sais pas pourquoi ils ne développent pas leur business tranquillement, ils ont besoin d'amour et de respect.
Faut suivre l'exemple chinois.
Le truc c'est que les algériens se sont fait avoir, ils ont toujours occupé en majorité des petits boulots. Le problème c'est qu'ils ont un besoin presque obsessionnel de reconnaissance, il leur manque de l'organisation, un vrai looby, mais le souci c'est qu'ils ne se font pas confiance entre eux.
Le "Ils" contient "je", je veux dire "moi".
C'est vrai que ce n'est pas facile de construire avec toutes les barrières mises par la France, surtout avant, mais il y'a moyen. Je ne reproche rien aux algériens, parce qu'ils sont dans la normalité, mais je leur reproche le manque de l'excellence.
Dernière modification par MisterOver, 12 janvier 2011, 09h51.
Motif: a
«Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..»Oscar Wilde
Ou Daniel Prevost
Parait qu'il a fait une depression quand il a appris que son pere etait algerien.
Daniel Prévost, la fierté d’être Kabyle
Depuis la découverte de ses racines kabyles, Daniel Prévost a toujours brandi sa kabylité avec une fierté sans bornes. L'histoire de cette découverte il l'a racontée dans son livre, intitulé : Le Pond de la révolte, où l'authenticité événementielle est traversée, de bout en bout, d'une émotion indescriptible, tellement la souffrance, la douleur, la joie, alternent dans le cœur d'un homme (Daniel Prévost) qui assiste à la naissance de sa propre identité, alors que lui-même est né il y a plus de quarante ans.Le récit de son voyage en Kabylie, avec sa femme et ses enfants, leur séjour mémorable, au sein des « leurs », est d'une sensibilité à vous nouer la gorge.
Denis Forestier, (alias Daniel Prévost) jubile.
Les billets d'avion en main, il veut crier sur tous les toits de France son bonheur d'aller, enfin, retrouver, en Algérie, ses racines kabyles.
Sa joie explose, sans retenue : malgré la nuit avancée, il trépigne, hurle comme un possédé : « La Kabylie… La Kabylie… »… Il aurait voulu même pousser des youyous, et pourquoi pas ? chanter, faire la fête, là, tout de suite, dans sa chambre, si son jeune fils ne l'avait rappelé à l'ordre :
« Papa, il est 11 heures ! Arrête ton cirque kabyle ! Demain j'ai un contrôle d'anglais ! »
Anglais ? Denis ne voyait sur terre qu'une seule langue digne d'être étudiée, parlée : celle de son père, Mohand Aït-Salem, la sienne, maintenant.
Son fils se trompe. Il devrait dire : un contrôle de Kabyle !
Calmement, Denis explique au petit Guillaume, ensommeillé :
« L'Anglais n'est pas la langue de l'avenir, mon fils ! Désormais, c'est le kabyle qui va devenir la première langue du monde (…) Le monde entier parlera Kabyle ! Même la reine d'Angleterre aura un chapeau kabyle… »
Merveilleusement écrit, ce livre, émouvant de bout en bout, Daniel ne l'a pas rédigé avec sa plume, mais avec sa voix et son cœur. Sa verve célèbre y est imprimée. Tout au long des pages, les mots raisonnent, les confidences murmurent ; des secrets s'ouvrent, des vérités éclosent dans un « flot » de liens, les liens du sang…
Il avait plus de quarante ans, quand sous l'exhortation d'un ami, Denis Forestier décide de chercher après son véritable père. La chose n'est pas aisée, d'autant que sa mère a toujours observé sur la question un silence absolu… Comme si le passé – qu'elle refusait – n'a jamais existé.
Mais Denis, alias Daniel, ne se décourage pas. Sa détermination et les coups de pouce du hasard finissent par lui ouvrir les portes de ce passé mystérieux. Sa quête identitaire s'avère fructueuse. Par bribes, par pièces, il reconstruit le puzzle familial séquestré par les mémoires fermées.
Peu à peu, à l'insu de sa mère, Louise, des langues se délient, l'édifient.
La cousine Emma est formelle : « Ton père est algérien… » Marguerite, la mère d'un ami, est plus précise : « Ton père est algérien Kabyle… » La tante Marthe donne enfin le nom : « Tu t'appelles Aït-Salem… »
Non, son père ne les a pas abandonnés, lui et sa mère. C'est son oncle et sa grand-mère maternels qui s'étaient opposés au mariage de ses parents. Pour des raisons… raciales.
Qu'importe le passé ! Pour Denis, c'est l'avenir qui compte. Et l'avenir s'appelle « Aït-Salem ». Il lui faut découvrir les « siens », ceux de la race de son père, sa race.
L'annuaire téléphonique est plein des Aït-Salem. Mais la chance est au bout du fil. Patiemment, mais persévérant, Denis lie des contacts avec la proche famille paternelle. Il se découvre même des demi-frère et sœur.
Da Youcef, un cousin à son père, Mohand, décide naturellement d'emmener Denis en Kabylie, à Taghzout, le village de son géniteur, mort, hélas, en 1954. Denis c'est le fils deMohand Aït-Salem. Et cela suffit pour qu'il soit l'un des leurs. Là-bas, on l'attend en tant que tel : on attend son retour au « bercail ».
Denis est immergé dans le terreau kabyle, au point de se demander s'il n'y a pas toujours vécu : les atavismes ancestraux sont tellement présents dans sa manière d'être, et des termes kabyles lui collent naturellement… à la langue.
Fasciné par la montagne de Djurdjura, adopté par Taghzout, Denis ne s'est jamais senti aussi heureux et libre que sur le sol de sa Kabylie, cette terre des hommes libres.
Le pont de la révolte, au-delà de l'histoire bouleversante d'un homme, Daniel Prévost, en quête de ses racines, ce sont les valeurs profondément humaines de la société kabyle, avec sa langue et sa culture millénaires que l'auteur étale, avec fierté, au regard du monde entier.
Pour s'en convaincre, il suffit simplement de lire l'ouvrage !
And ye shall know the truth and the truth shall make you free.
Peut-on imaginer un nom qui sonne plus français" Daniel Prévost est algérien. Enfin, à moitié algérien. C'est adulte qu'il a appris la nouvelle, la bonne nouvelle.
«Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..»Oscar Wilde
La France n'offre pas des conditions convenables aux immigrés maghrébins pour progresser. Ils sont toujours considérés comme des indigènes par les Français.
L'exemple des maghrébins qui sont partis dans d'autres pays ont réussi plus que ceux en France :
- Mouna Hamitouche (algérienne) maire de la circonscription d’Islington, au nord de Londres. Même si l'immigration algérienne est récente en grande Bretagne!
En France on ne trouve même pas de maire d'origine maghrébine à Aubervilliers, Villeurbanne ou les quartiers nord de Marseille!
- Ahmed Aboutaleb (Marocain du rif) : est maire de Rotterdam au pays bas.
- Elyes zerhouni : était directeur de l’I.N.H (Institue National of Heath ) aux USA, Et pour rappel le budget de cet institut a atteint pour l’année 2007: 29 milliards $ us et gère 27 entreprises et centres de recherche et emploie 18 000 chercheurs et il est en contact et en relation directe avec 3 000 universités dans le monde. Ce savant n’est autre qu’un cadre formé par l’université algérienne.
Pour ne citer que ceux la! sans parler des chercheurs dans les grandes universités américaines, britanniques, japonaises....
Dernière modification par Nomad7, 12 janvier 2011, 10h13.
"If you can't say anything nice, don't say anything at all."
vas demander au pouvoirs de te donner ton droit,ce n'est pas a la France qu'on doit demander,en plus en as même pas le droit de le faire,nos bien son occulter par nous frères pas par des Français qu'on considère toujours comme des ennemis, mais c'est normal de dire ça,ils ont réussi a graver dans nous esprits le nationalisme pour s'occuper de la France et ne pas d'eux,ils faut essayer de changer les choses dans notre payé,c'est ou dirigeants qu'il faut demander pas pour la France.
@ Nomad:
Il faut aussi dire que l'immigration algerienne en France et en Amerique du Nord est differente. En France, c'etait une immigration d'ouvriers c'est a dire d'une main d'oeuvre non qualifiee alors que dans les pays anglophones, c'est generalement une immigration de diplomés.
@ Nomad:
Il faut aussi dire que l'immigration algerienne en France et en Amerique du Nord est differente. En France, c'etait une immigration d'ouvriers c'est a dire d'une main d'oeuvre non qualifiee alors que dans les pays anglophones, c'est generalement une immigration de diplomés.
Oui mais les enfants des immigrés ( je ne sais pas à quelle génération on en est aujourd'hui) ont fait l'école Française. Je ne parle pas des ouvriers.
momo,
pensent qu'a faire la teuf ces maghrebins
Et fumer la chicha!
"If you can't say anything nice, don't say anything at all."
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