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Creche ou pas creche?

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  • #46
    Creche ou pas creche?
    Je suis contre,à cet âge la les petits ont besoin de leur mère.

    Puis ca coute cher,tu ne sais pas quelle éducation on leur dispense!

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    • #47
      Bonjour,

      Je suis maman d'un petit bout de 15 mois maintenant et il va en garderie familiale (assistante maternelle) depuis ses 10 mois. C'est vraiment difficile de faire un choix je te comprend. Je sais pas quels âges ont tes petits mais moi je te dirais de les mettre chez une nounou dans un environnement familiale surtout si ils sont petits (moins de 18 mois) et surtout ne culpabilise pas d'aller travailler. Au moins tu sera épanouie et mieux dans ta tête pour profiter à 100 % du temps que tu auras avec tes enfants. Je sais que de nos jours c'est pas facile de rester à la maison pour des raisons d'argent en premier et aussi de société (femme au foyer mal vu). Fait comme tu le sens et surtout ce qui te rendra heureuse. Pour ma part, mon fils et de 9h à 15h30 chez sa nounou. Il devient très vite autonome et lorsque je viens le chercher il me saute dans les bras. Il sait très bien que c'est moi sa maman. Je m'occupe de lui par la suite à 100 % (papa étant au travail), et on profite l'un de l'autre jusqu'au coucher. Alors moi je te dirais n'hésite pas, la nounou est une bonne solution, la garderie par contre si sont trop petit j'attendrais car y a beaucoup trop d'enfants et de microbes surtout en cette saison.
      Sinon comme d'autre te l'ont dis, tu peux voir l'option de la Halte-garderie pour un jour/semaine ou quelques heures histoire d'avoir du temps pour toi.
      J'Espère de tout coeur que tu trouveras la solution qui convienne le mieux à tout la famille.
      pas encore trouvé de signature...

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      • #48
        Je balance ma paie a la nounou ...
        Mes enfants sont ma priorité évidement mais mon autonomie financière est importante, mon travail c'est ma liberté et puis comme on ne sais pas ce que la vie nous réserve (b3idechar), je dois être en mesure de subvenir aux besoins de mes enfants seule sans avoir a dépendre de personne. Ça n'est pas toujours facile de concilier boulot, enfants, maison...etc mais par expérience, on s'adapte et j'insiste sur le fait que l'éducation n'est en aucun cas compromise, un enfant a besoin d'amour, de tendresse, d'encadrement et de rigueur et c'est possible de combler ses besoins tout en étant active professionnellement.
        kikoz un jour, koz toujours.

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        • #49
          Je balance ma paie a la nounou ...
          Je préfère balancer la paie de mon mari à la nounou...

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          • #50
            bsibsa

            Vu comme cela...je suis d'accord avec toi ...et puis après tout, ce qui est a moi et a moi, ce qui est a lui...est a moi
            kikoz un jour, koz toujours.

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            • #51
              Et puis en cas de résistance, on dégaine l'arme secrète algérienne, la phrase que toute femme prononce une fois dans sa vie :
              "Yaw !!! je les ai faits toute seule nagh amek ???"

              khaaaaaaa qu'est-ce qu'on apprend à myriam

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              • #52
                les filles je vous adore
                ¸.¤*¨¨*¤.¸¸...¸.
                \¸.♥ ALGERIE ♥.¸¸.
                .\¸.¤*¨¨*¤.¸¸.¸.¤
                ..\

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                • #53
                  myriam,

                  je pense que tu le sentiras quand les petites seront prêtes à aller en collectivité! et alors tu ne te poseras plus la question..

                  Je me rappelle pour la mienne, vers un an j'ai senti que ça lui ferait du bien, et à 15 mois elle me semblait tout à fait prête (elle était bcp moins collée à moi, était plus tournée vers l'extérieur, plus curieuse des autres enfants, etc...). J'ai quand même attendu ses 18 mois, car c'est l'âge minimum pour entrer en halte-garderie.

                  Elle y va quelques matinées par semaine, ça nous fait du bien à tous! et puis ça la prépare à l'école (septembre prochain).
                  c'est sûr qu'au début c'est dur, pleurs et compagnie, mais elle a fini par s'y faire et par aimer.

                  Donc attends encore un peu, je pense que tu sentiras bien ce moment où tes filles seront "mûres" pour aller vers l'extérieur, et tu seras plus rassurée.
                  Et dis-toi que quel que soit ton choix, y aura tjs une petite dose de gêne ou de culpabilité de ton côté, c'est normal pour une maman! une fois passé ce cap, ça ira mieux, tu verras!
                  Bon courage!

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                  • #54
                    Une nounou a aussi de l'affection à donner.

                    Je trouve injuste les hommes qui disent "Pas question que madame travaille, il faut qu'elle s'occupe des enfants".

                    Tout dépénd du salaire de madame ou de monsieur, si madame ou monsieur gagnent à peu près la même chose voir un salaire pas trop loin du cout de la nounou, je trouve naturel de s'occuper de ses enfants.

                    Le top est de travailler à mi temps.

                    Je serais content de rester à la maison pour m'occuper des petits
                    «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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                    • #55
                      Bonjour

                      Je partage la vision de yazou : rester avec les enfants jusqu'à l'âge d'aller à l'école. Avant ça, ils peuvent aller à la garderie de temps en temps, pour donner un moment de répit à la maman et une occasion de socialiser pour les enfants, mais pas avant un certain âge.

                      Les garderies en milieu familiales, ou ce que vous appelez nounous, je m'en méfie. Les enfants sont chez la personne et on ne sait pas ce qui s'y passe, alors que dans une garderie, c'est un milieu où il y a plusieurs éducateurs et où circulent beaucoup de parents... et encore ! J'ai déjà travaillé dans une garderie et je sais ce qui s'y passe : l'éducatrice qui crie comme une malade sur un enfant de 2 ans et prend un air doux à l'arrivée de la maman, rudesse, ...etc. Et dans ce milieux, il est très facile de perdre la tête pendant un moment, avec plusieurs gosses du même âge, même pour les plus douces...

                      Une mère est sacrée ; elle a un lien privilégié avec son enfant, qu'aucun père ne pourrait avoir avec son enfant, dans les premières années. Pour moi, c'est un privilège pour la maman et l'enfant, dont il faut profiter, même si ça peut être très dur pour la maman. Ces années là passent trop vite.
                      Dernière modification par absente, 20 janvier 2011, 15h34.

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                      • #56
                        Une mère est sacrée ; elle a un lien privilégié avec son enfant, qu'aucun père ne pourrait avoir avec son enfant, dans les premières années


                        L’importance du lien affectif avec le père


                        Cet article fait partie de notre grand dossier “Un papa ça sert à quoi ?
                        L’apport du père, dès le plus jeune âge, ne semble plus être un sujet de débat. Par son portage, ses jeux, son dialogue avec bébé, il contribue à son développement psychomoteur. Surtout, il renforce l’estime de soi.

                        Un portage différent


                        L’enfant reconnaîtrait immédiatement qui le tient à la manière dont il est porté. Le père a plutôt tendance à le placer contre son cou et à le soulever en l’air, quand la mère le garde contre elle. L’homme semble également bercer plus fréquemment verticalement quand la femme berce plutôt à l’horizontale.

                        Développer sa motricité


                        Très vite le papa a besoin de tester la tonicité de son bébé. Il a à cœur de vérifier qu’il tient bien sa tête, qu’il parvient à se mettre en position assise ou à se tenir debout sur ses jambes. Dès qu’il est mobile, la mère sera davantage préoccupée par les accidents, pourra se montrer trop protectrice, quand le père l’encouragera davantage à explorer son environnement (1).

                        Une étude a démontré que les enfants dont le père était très présent avaient un meilleur quotient de coordination vision-préhension, utilisaient mieux leurs jambes et leurs bras pour résoudre des problèmes concrets (2).

                        Favoriser le développement cognitif


                        Le psychologue Jean Le Camus observe que les pères encouragent plus et gratifient moins que les mères, en ayant moins tendance à intervenir pour résoudre les difficultés à la place de l’enfant (3). Ils lancent plus de défis, créent davantage d’incidents, glissent des taquineries qui inciteraient l’enfant à s’adapter davantage.



                        S’agissant du langage, le vocabulaire n’est par le même que celui de la mère. Le père est souvent plus technique et il a davantage recours aux clarifications, incitant l’enfant à soigner son expression. J. Le Camus souligne également que la mère est, naturellement, plus encline à un dialogue « tonico-émotionnel » : la communication privilégie plus l’enveloppement physique et affectif quand le père est plus dans un dialogue « phasique » : il est plus imprévisible, plus saccadé, plus brusque.
                        Encourager la sociabilité


                        La présence du père durant les deux premières années semble sociabiliser davantage l’enfant. Il sera plus confiant et plus entreprenant en présence d’une personne étrangère (4). Par le jeu, voire du combat simulé pour les garçons, le lien développé avec son père lui donne confiance et renforce l’estime de soi.

                        Pour le pédiatre Philippe Grandsenne (5), le père est celui qui indique la voie de la sociabilité. Du fait de sa position extérieure à l’atome mère/bébé, il fait la transition entre famille et société.


                        (1) « Le père et son enfant », Fitzhugh Dodson, éditions Marabout.
                        (2) « Elever bébé », Marcel Rufo, éditions Hachette.
                        (3) « Comment être père aujourd’hui », Jean Le Camus, éditions Odile Jacob.
                        (4) «The role of the father in the development of stranger sociability during the second year », S. Kromelow, American Journal Orthopsychiatry 1990.
                        (5) « Bébé dis-moi qui tu es », Philippe Grandsenne, éditions Marabout.



                        La rédaction de BébéVallée

                        Les papas se lèvent peu la nuit
                        Les papas s’impliquent de plus en plus auprès des jeunes enfants, mais leur participation est sélective. Selon une étude TNS Sofres (*), seuls 27% des pères se lèvent la nuit pour consoler bébé. Leur investissement est surtout dirigé vers les jeux et les sorties (60% d’entre eux). Mais ils contribuent également largement aux repas (51%), aux changements des couches (51%) et au bain (37%).
                        (*) Etude réalisée en janvier 2007 pour le magazine Parents auprès de 1000 mères ayant des bébés âgés entre 0 et 24 mois.
                        Dernière modification par mehdi-amazigh, 20 janvier 2011, 18h43.

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