@Lars
... j'aurai dû préciser que le sujet ici était la langue arabe en Algérie. parce que, bien entendu la langue arabe n'est pas morte dans les pays arabes ...
Là, je crois qu'une certaine tendance à l'entêtement commence à t'éloigner du bon sens. Ce n'est pas bon signe généralement, mais je vais tout de même donner suite à ce que tu affirme là : il se trouve que l'Algérie de nos jours compte parmi les "pays arabes". Cela ne semble pas plaire à tous, mais il faut se faire une raison et se dire que tout dans la vie n'est pas forcément comme on le souhaite.
... et bien non cher ami, en Algérie, combien utilisent l'arabe classique dans leur quotidien ? ...
Il suffit d'additionner le nombre de lecteurs des journaux arabophones et auditeurs d'Al-Jazeera avec celui du peuple des écoles et universités et ceux des administrations publiques et tu aura déjà une partie des usagers ordinaires de cette langue en Algérie, au même titre que dans tous les autres pays arabes.
... je n'avais pas affirmé qu'aucune université à Alger n'utilisait l'arabe, mais elles sont minoritaires et concernent la littérature ...
Tu commence sérieusement à m'inquiéter LARS. J'avais bien lu "aucune univestité", et le sens de "aucune" ne concorde pas ce que tu viens de rectifier là. Sinon, ce sont toutes les filières Sciences Humaines qui sont enseignées en arabe, et cela ne fais pas "minorité".
... tu voulais dire "quand bien même" je présume ...
C'est "sans cela-même" que j'ai utilisé, mais si j'avais cru que ça poserai problème pour que tu comprenne j'aurais opté pour plus simple. Mea culpa !
... n'importe quelle langue ne né pas de rien, toute les langues ont emprunté à d'autres langues ... une langue est une langue même si elle importe des mots à d'autres. L'algérien, n'est donc pas arabe ...
Là, tu te repète sans vraiment y mettre d'ajout. On a déja expliqué la différence entre l'emprunt d'une langue à l'autre, et l'évolution dialectale qui émane d'une langue X. Les parlers arabes algériens (il y en a pas qu'un seul) sont des variantes des parlers arabes maghrébins, qui émanent eux-mêmes de deux formes d'arabe : les parlers citadins descendent en droite ligne de l'arabe classique tel que pratiqué du 8e au 10e s., et les parlers campagnards émanent de l'arabe tel que pratiqué par les nomades dits hilaliens au 11e s. C'est donc de l'arabe, et c'est pour cela qu'ils sont définis comme tels : dialectes arabes du Maghreb.
... je t'ai demandé de me donner des exemples de ces parutions ...
Non, tu m'a demandé de te citer les dernières œuvres en arabe qui auraient eu une "renommée internationale", et j'ai demandé clarification sur quel est le lien entre cette donnée et la qualité de langue morte ou de langue vivante ? Est-ce a-dire que toute langue qui ne pond pas une œuvre avec prix Nobel est déclarée morte au bout de cinq ans ?
Autrement, si tu veux une liste exhaustive de tout ce qui est annuellement publié en langue arabe à travers le monde, il faudra faire des recherches. L'information doit bien se trouver quelque part, moi je ne suis pas Wikipédia !
... et comme, je sais que toute pratiquement sont dans le domaine religieux ou de la littérature arabe, j'ai ajouté "mondiale" ...
Retour à la case départ : dans la définition que tu a posté plus haut du concept de "langue morte", figure-t-il une liste de domaines de publications sans lesquels la langue est considérée comme morte ?
... nous sommes deux à discuter voyons ...
Deux à discuter du sujet. Pour ce qui est de l'utilité de la discussion ou non, cela relève de l'appréciation de chacun.
... j'aurai dû préciser que le sujet ici était la langue arabe en Algérie. parce que, bien entendu la langue arabe n'est pas morte dans les pays arabes ...
Là, je crois qu'une certaine tendance à l'entêtement commence à t'éloigner du bon sens. Ce n'est pas bon signe généralement, mais je vais tout de même donner suite à ce que tu affirme là : il se trouve que l'Algérie de nos jours compte parmi les "pays arabes". Cela ne semble pas plaire à tous, mais il faut se faire une raison et se dire que tout dans la vie n'est pas forcément comme on le souhaite.
... et bien non cher ami, en Algérie, combien utilisent l'arabe classique dans leur quotidien ? ...
Il suffit d'additionner le nombre de lecteurs des journaux arabophones et auditeurs d'Al-Jazeera avec celui du peuple des écoles et universités et ceux des administrations publiques et tu aura déjà une partie des usagers ordinaires de cette langue en Algérie, au même titre que dans tous les autres pays arabes.
... je n'avais pas affirmé qu'aucune université à Alger n'utilisait l'arabe, mais elles sont minoritaires et concernent la littérature ...
Tu commence sérieusement à m'inquiéter LARS. J'avais bien lu "aucune univestité", et le sens de "aucune" ne concorde pas ce que tu viens de rectifier là. Sinon, ce sont toutes les filières Sciences Humaines qui sont enseignées en arabe, et cela ne fais pas "minorité".
... tu voulais dire "quand bien même" je présume ...
C'est "sans cela-même" que j'ai utilisé, mais si j'avais cru que ça poserai problème pour que tu comprenne j'aurais opté pour plus simple. Mea culpa !
... n'importe quelle langue ne né pas de rien, toute les langues ont emprunté à d'autres langues ... une langue est une langue même si elle importe des mots à d'autres. L'algérien, n'est donc pas arabe ...
Là, tu te repète sans vraiment y mettre d'ajout. On a déja expliqué la différence entre l'emprunt d'une langue à l'autre, et l'évolution dialectale qui émane d'une langue X. Les parlers arabes algériens (il y en a pas qu'un seul) sont des variantes des parlers arabes maghrébins, qui émanent eux-mêmes de deux formes d'arabe : les parlers citadins descendent en droite ligne de l'arabe classique tel que pratiqué du 8e au 10e s., et les parlers campagnards émanent de l'arabe tel que pratiqué par les nomades dits hilaliens au 11e s. C'est donc de l'arabe, et c'est pour cela qu'ils sont définis comme tels : dialectes arabes du Maghreb.
... je t'ai demandé de me donner des exemples de ces parutions ...
Non, tu m'a demandé de te citer les dernières œuvres en arabe qui auraient eu une "renommée internationale", et j'ai demandé clarification sur quel est le lien entre cette donnée et la qualité de langue morte ou de langue vivante ? Est-ce a-dire que toute langue qui ne pond pas une œuvre avec prix Nobel est déclarée morte au bout de cinq ans ?
Autrement, si tu veux une liste exhaustive de tout ce qui est annuellement publié en langue arabe à travers le monde, il faudra faire des recherches. L'information doit bien se trouver quelque part, moi je ne suis pas Wikipédia !
... et comme, je sais que toute pratiquement sont dans le domaine religieux ou de la littérature arabe, j'ai ajouté "mondiale" ...
Retour à la case départ : dans la définition que tu a posté plus haut du concept de "langue morte", figure-t-il une liste de domaines de publications sans lesquels la langue est considérée comme morte ?
... nous sommes deux à discuter voyons ...
Deux à discuter du sujet. Pour ce qui est de l'utilité de la discussion ou non, cela relève de l'appréciation de chacun.
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