Reportage de ennaharTv sur les résidences universitaires filles - vidéo

[ibn ahmed]

Ou est le mal d'avoir un copain? Ou est le mal de sortir diner ou passer du temps dehors? Les esprits tordus ces journalistes qui voient la débauche partout, même en s'habillant en jean, ou en fumant une cigarette

continues sur ta lancée!
ou est le mal de s'envoyer des bierres entre copines?
ou est le mal d'aller a l'hotel avec son petit copain?
ou est le mal de vendre son corps , apres tout il leur appartient?!!

mechants algeriens qui voient le mal partout!!

[naw08]

Et après on critique les Algeroises, alors que tout le monde sait ce sont des personnes men bara

voila une perle

je connais des choses , mais j'aime pas nahdar fi ardh enness

[Massnsen]

Pourriture

Ennahar fait comme d'habitude dans le terrorisme audiovisuel. Je n'ai pas regardé ce reportage et je ne le regarderai jamais.

Si on prend un échantillon de 100 filles d'une cité U, et 100 filles lors d'une prière de Tarawih dans une mosquée on tombera à peu près sur la même proportion de filles de moeurs légères.

La vie de ces filles, majeures et vaccinées ne regardent qu'elles.

[Elysium]

ou est le mal d'avoir un copain? Ou est le mal de sortir diner ou passer du temps dehors? Les esprits tordus ces journalistes qui voient la débauche partout, même en s'habillant en jean, ou en fumant une cigarette.

+1000

[altivo]

Peu importe les réactions et les avis divers à l'encontre de ce reportage , ENNAHAR TV à réussi son coup et est parvenue à faire le buzz autour de son reportage , elle marque des points et ceci peu importe la qualité de ce reportage

Vous avez voulu de l'ouverture sur l'audiovisuel !?, alors voila à peu prés à quoi ca ressemble

[Elysium]

Pauvre makhzani, comme d'habitude, tu es complètement hors sujet.

[Elysium]

Si on prend un échantillon de 100 filles d'une cité U, et 100 filles lors d'une prière de Tarawih dans une mosquée on tombera à peu près sur la même proportion de filles de moeurs légères.

[Risk]

en parlant d'Onou service.

quand j'étais à la fac, tout les étudians de la même université que la mienne et qui habitaient dans mon sécteur (Alger Est) devaient prendre le même Bus universitaire. nous n'en avions qu'un qui faisait deux fois le voyage, si tu le rates t'es sur d'arriver en retard. le jeudi le conducteur ne bossait que la demie journée, et bons nombres avaient des cours jusqu'à 17 heur, il nous est arrivé de taire le trajet Chevaley sahét chouhada à pied (8km env) parce qu'en hiver les bus même privés arrêtent vers 17H.

hormis cela, le nombre d'étudiants qui empruntaient ce bus étaient bien supérieur à 400 étudiants, nous avons entrepris donc de demander auprès des services concernés deux autres bus, on nous dit de faire une liste de tout les étudiants avec signature et N° du badge, si le nombre était supérieur à 100 nous aurions droit à un autre bus.

on a rédigé des tableaux et on faisait passer la feuille pendant le trajet là où tout le monde serait au même endroit au même moment, certaines fiches ne revenaient tout simplement pas, d'autres étaient retrouvées déchirées, ou avec des gribouillis, certains dessinaient des obscénités ou mettaient hammoud boualem, abdeka secteur à la place de leur nom....bref, ca nous avait pris 1 semaine pour réussir à obtenir les 330 signatures, qu'on a remis aux concernés, après le délais qu'ils ont demandé nous sommes allés les voir et ils le bonhomme nous informe que les listes avaient été perdues.

affaire z'kara ... on refait la même chose, recueillit un peu moins de signatures qu'avant (300 à peine) et cette foi-ci nous avions fait des photocopies, au bout d'un mois walou.

alors des copains sont venus me retrouver pour me dire qu'un sit-in allait avoir lieu, depuis l'arrêt de bus universitaire, quelques gars d'une autre fac nous ont retrouvé et nous avaient assuré de leur soutien parce qu'eux aussi prenaient notre bus quand ils rataient le leur, aia ok

tôt le matin on s'est tous retrouvés devant les arrêts de bus, on avait pris la peine de rédiger une lettre avisant les service de la cité dortoir de nos intentions, quelque gars que nous ne connaissions pas sont venus de mettre avec nous dans la foule et commençaient à gueuler, on leur a demandé de partir, c'était pendant un hiver particulièrement froid.

comme on s'entendaient bien avec les conducteurs de tout les bus (zwawla kima hnaya lol) personne d'entre eux ne s'est interposé (tahkout iroh ichouf yemmah) aucun bus ne démarre, c'était le mot d'ordre. j'étais un peu retissant de faire payer aux autres étudiants la factures, mais je ne pouvais pas m'en aller.

des filles d'une autre université sont venu se plaindre, on m'a mis en face d'elles, je leur expliquais longuement et avec hchouma la situation, qu'on étaient pas en période d’examens, que quand elles auront des soucis avec l'administration ou un truc du genre, elles pourront compter sur nous.

des heures se sont écoulées et la police anti émeute est arrivée, casque, matraques (des batte de baseball plus tot), ils se sont mis en face de nous, à une quarantaine de mètres environs, l'un d'eux installait une caméra sur un tri-pieds, le brigadier chef se tenait les mains dans le dos, sa douara bien mise en évidence.

on a mis les costaud en première ligne, les filles étaient derrière, certaines insistaient pour rester dans le groupe, le brigadier discutait avec un des policiers en casque et celui ci s'est approché et a crié "chkoun idji yahki m'3ana", on était trois à y aller, on a expliqué au brigadier le pourquoi de cette "manif" (à 500 à peu près) il n'a rien voulu entendre, "chouf ya w'lidi, ana khedémti l'ordre, hadja wahdakhra ma 3labalich", il avait raison.

il nous a lancé un ultimatum, 5 min pour déguerpir.

on est retourné dans la foule, décidez vous, on pars wella lala? "néb9aw h'na!" (on reste!!) , et c'est parti.


quelques secondes après, je ne sais comment ca s'est fait, j'ai vu un copain se faire "kidnapper" par trois anti émeute, ils l'ont soulevé comme un enfant, il avait beau s'agiter rien n'y faisait, ca hurlait de partout, on scandait "hagarine" mais bon ... même sur le coup je me sentais ridicule... plus tard, ils ont piqué un autre copain, moi et d'autres on tentait de l’extirper de leur mais, je n'ai réussis qu'a sauver la manche de son blouson (que je lui ai remit dans la soirée à sa sortie de la garde à vue), il y avait un semblant d'unité dans les rangs mais ca à éclaté quand ils nous ont chargé, tag 3la men tag.

une fille s'est faite renverser dans le mouvement de panique, j'ai pris un coup au bras, les autres se sont regroupés un peu plus loin, et des hommes du quartier sont apparu, des vieux et des retraités pour la plus part, le calme est revenu, et des journaliste d'el khabar se sont mis à noter, ils m'ont interrogé (heureusement qu'il n y avait de chaine el khabar à l'époque) j'ai refusé (échoh'ra)

les vieux se sont entretenus avec les service du transport estudiantins qui nous invité à une discussion sérieuse (enfin!), quelques minutes plus tard on nous accorda 3 bus pour nous transporter jusqu'à la direction de l'Onou à ben aknoun, beaucoup n'y sont pas monté. arrivé à la fac de droit, on s'est amassé devant la porte, on gueulait à l'unisson, 1 heure plus tard on nous pria de déléguer trois personnes, j'ai refusé d'y être surtout que je ne faisais pas l'unanimité, j'étais sensé entrer là bas avec deux autres individus que je n’appréciais pas beaucoup, (ch'3ar m'piki serwoual tayah ou kilouta t'bane).

ils sont entré dans l'établissement, il s'est mis à pleuvoir peu de temps après, j'ai pris 20 sandwitch garantita pour les copains et on s'est réfugiés comme on a pu. on délirait bien, enfin ils ... quand les trois gars sont ressortis l'air triomphal "on a gagné!" criait l'un d'entre eux du haut des marches menant à l'entrée, les deux bras soulevés... nous sommes rentrés comme on a pu.

la semaine d'après, aucun nouveau bus ne s'est pointé, on attendait le notre, le seul qu'on avait... il n'est pas venu. on est allé voir l'agent de sécurité qui le connaissait bien, ils nous dit qu'ils nous retiraient le bus que nous avions.

depuis, on est devenus tout sages.

[AS-DE-PIQUE]

Risk,

J'adore comment tu ecris. J'ai tout lu d'un trait!

Fakartni fi yamate el cous...

Eh oui, triste fin.

[Risk]

hola! aspika

ihh l'yamat

[katiaret]

Vous avez voulu de l'ouverture sur l'audiovisuel !?, alors voila à peu prés à quoi ca ressemble

ou cette une menace d'un clan prémis analphabete qui veux algerie reste toujour dans l'obscurité et en retad vis avis le dévlopement scientifique et téchnologique el la libération des média et le G4 aussi des droits de homme ...Algerie va dans le bon sens de démoratisation ...
tinquite pas les algerien save comment s'adapter et résister aux manupulation et propagonde d'un systeme pouré corompu jusquaux dont

[bel-court]

Barthez

ما لم تكشفه قناة النهار في تخريرها السري جدا

Noureddine N. Hamouda a soulevé un vrai problème-- 4000 DA c'est l'équivalent de 30 euros pour 3 mois et ils se demandent des questions..Bien avant ca on avait 2700 DA, tu achètes une paire Reebok mderha en plus chez les trabendistes, et khlas..tu souffres 3 mois à demander aux parents de l'argent..

[Elysium]

Hors sujet..... ceux qui ont pris la peine de voir le reportage sauront que ça ne vise que ça perçoit comme débauche (sortie, copain, etc).

[Iberius]

Ces résidences sont des lieux de déperdition pour certaines filles, les parents doivent prendre garde à leurs enfants, ensuite c'est à chacun de rendre compte à Allah...

[simplenova]

Ennahar est une chaine pourrie et un journal pourri

Mais le reportage a le droit d'être fait et d'être diffusé à mon avis.

Deux faits désolants : démission de la famille (éducation) et démission de l'état (aucun contrôle sur des agents extrêmement corrompus).

Ce que ne dit pas le reportage c'est qu'une partie mineure des filles. Une cité c'est des centaines de lits, combien de filles agiraient de la sorte, des dizaines ? c'est visible mais heureusement peu représentatif car la majeure partie sont des filles de familles qui ne sont là que pour les études.

Il ne faut que ce reportage renforce des clichés pré-établis bien avant