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  • #16
    je n'ai pas de texte mais juste la chanson irakien kadhem Essaher dont les paroles sont du poete Nizar Kabani:
    http://www.dailymotion.com/visited/s...lsaher-ahebini

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    • #17
      Je dirai Abdelhalim Hafez

      Ahwak wa atmana law anssak
      Wa anssa rouhi wayek

      J'adore aussi kariât el finjane
      Rissala tahte el maâ

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      • #18
        un poeme que j'aime beaucoup.


        عذبيني بالأماني واهجريني




        إن أَمُتْ ما بين عينيك اصلبيني


        بدمي عشتِ زماناًُ وانقضى




        عهدُنا الزاهي وأيامُ الحنين


        دربنا ما زال مرسوماً على




        صفحة الماضي وفي وجهِ السنين


        لا تلومي لم أزل طفلَ الهوى




        وبلا عينيك عمري كالسجين


        رُبَّ يومٍ مَرَّ لم نَرْعَ الهوى




        فغرقنا في متاهات السكون


        ما هوانا غيرَ ذكرى مُرَّةٍ




        عذبَتْنَا بين بوحٍ وأنين


        نحن عشنا في احتراق عارمٍ




        لمْ نَعدْ نُدْرِكُ أسباب الشجون











        دارنا أمست حكاياتٍ مَضَتْ




        كيف أَضحَتْ بعد موت الياسمين


        يا حياتي يهتفُ الروضُ لنا




        رُبَّما عدتِ إليهِ فاذكريني



        Dernière modification par HADJRESS, 22 novembre 2006, 20h11.
        وألعن من لم يماشي الزمان ،و يقنع بالعيش عيش الحجر

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        • #19
          Et la traduction, c dommage que vous ne nous en faites pas profiter.........
          "La femme est le calme et l’apaisement de l’homme, elle est sa conjointe, la mère de ses enfants, l’endroit périlleux de son coeur et la clef de ses secrets"

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          • #20
            il est mieux celui là

            FLEUR DES ADORATEURS D’ABÎME

            Tarafa B. Al Abd en son 27eme anniversaire

            “Jusqu’à ce que la tribu se mette entière contre moi
            et m’isole comme un chameau galeux”

            Pourquoi es-tu, monde, aussi songeur
            Pendant que le feu
            S’embrase dans le col de ton manteau
            D’herbe et de rivières ?
            Pourquoi parais-tu aussi navré
            Qu’un homme par le hasard jeté
            Au milieu d’un enterrement ?
            Alors que tes cierges
            Dans l’écurie des destins
            Guident les troupeaux de vent
            Dans une protestation d’obscurité contre le matin ?

            Comme te voilà perclus, impuissant
            Et vain !

            Toi seul sais que je ne suis qu’une erreur
            Dans le Livre de l’Univers
            Un carnier de péchés
            Sur un épouvantail en marche
            Les années de ma vie ne furent
            Que graffitis de gamin
            Sur la porte des toilettes de l’école
            Et mon ciel
            Couvert de la poussière des déconvenues
            Une erreur suis-je, ô monde
            Erreur
            Je vins à 7 heures du matin
            En ce noble dimanche
            D’août 1970

            Vous, années pressées
            Passées
            Comme des trains fous qui ne bifurquent jamais
            Laissant mes premiers manteaux
            Ronfler dans le tiroir de ma vie
            Vous souvenez-vous de cette année saphique 1995 ?
            Qui a ouvert mes volets
            Sur de tristes demeures et des vestiges de femmes
            Sur des vents débauchés et des hasards étranges
            L’ignoble, elle m’a démembré
            Et voici mes rendez-vous souffrant les déceptions
            Dans un album mort
            Tous desséchés

            Plusieurs batailles me viennent en mémoire
            Cadavres, ambulances
            Étagères vides de métier
            Violons sourds
            Enfants qui arrachent leurs racines
            A coups de pioches résolues
            Samedi, lundi, mardi
            Un kiosque vend des cigarettes à des morts
            Deux bras crucifiés sur un nuage nomade
            Et des lits d’hospice noirs
            J’ai perdu mes doigts dans les entrailles
            D’une guitare
            Ils n’ont pas repoussé
            Et maintenant j’ai renoncé à jouer
            Je me contenterai de cris
            D’exercices de souffles dans la matrice du repos
            Je vais crier à ton visage, rose
            De granit
            Et vous mes années qui dans le secret
            A un précipice, me menez
            Je vous lancerai davantage de sang
            Et d’abîmes

            A jamais suis épuisé
            Porteur des bûches du regret
            Les ténèbres me guident vers leur lumière
            Dans l’espoir d’une douce cécité
            J’ai besoin de charbon, de lambeaux, de restes
            De sabres
            Pour enterrer ces deux crevasses
            Béantes dans mon visage
            Ah !
            Si j’étais venu au monde clôturé
            Le monde n’aurait pu pénétrer mon intérieur

            Je suis las du monde
            Las de vivre au détail
            Las de serrer la main des autres
            Las de dire bonjour, las du froid
            Et des bavardages creux
            Las de marcher derrière ce cercueil
            Lourd
            Qu’on nomme “vie” pour se consoler
            Las de huit heures du matin
            De la rose
            Du confort électrique
            Et ne suis plus capable d’aimer

            Où es-tu séisme ami
            Où es-tu
            Que j’assoie mon droit à ce désespoir
            Et que nous enterrions ensemble
            Ce fer noir
            Dans les profondeurs vivantes du foie de la terre ?
            Où es-tu séisme
            Que je t’offre mon aide
            Où es-tu, projectile de la miséricorde
            Que je te plante en mes entrailles
            Et m’endorme ?

            Divers cadavres grandissent dans mon esprit
            Alors je bois sans cesse
            Dors les yeux ouverts
            Sur l’épaisse respiration
            Je fiche l’immense dague de la surdité
            Dans la chair des cloches
            Et je déteste les amis

            Monde, je n’ai pas ton indifférence
            Je suis seulement affligé


            Dès que mon pied bat
            Le rocher
            Que ma démarche approche le matin de l’onde
            Pourquoi le sable coule t-il de mes os et de ma chair ?
            Et le feu ?
            Puis en ma gorge se dessèchent des sons verts ?


            Des nuages gris et épais m’emplissent
            Tout entier
            (Tous ces nuages
            Et rien ne pleut
            Encore en moi ?)


            La table dressée pour la soirée est déserte
            Ni eau
            Ni verdure
            Ni l’immense cadavre bleu
            La vermine agile et vaine
            Erre entre mes côtes
            Pendant que mes yeux sont étendus sur le
            Désœuvrement du Temps
            Oh !
            Jeune désert
            Qui naît entre mes yeux

            Je suis assoiffé et banni
            Tordu de faim
            Loin du café des amis à Marrakech
            Tout près de ce vers de Tarafa
            Amer destin, ne m’as-tu trouvé d’autre demeure ?

            Et toi, spleen au visage tout froissé
            De rides
            Pourquoi engraisses-tu tes pourceaux châtrés
            Dans le pré de ma vigueur
            Je ne suis ni cimetière abandonné
            Ni champ de pavot
            Mais une soif violente et farouche
            Sur mon poumon grossissent des
            Sentiments de sable
            Et des sens
            Anémiés
            En mes mains s’unissent des mares
            D’angoisse alanguie
            Et pousse une herbe noire


            Ah ! Mes mains sont obscures
            Et nulle clarté
            Pour éclairer les corridors de mes paumes

            Je suis égaré
            Au milieu de ce sablier
            Arrêté
            Vous aiguilles des montres
            Laissez-moi atteindre le port rocheux
            Laissez-moi à mon destin obscur
            A mes mystères
            Et ne mordez pas la couche de mon essoufflement
            Car je pourrais exploser
            A tout moment, comme grenade, loin
            De l’amour des vivants pour la musique


            Voici le désert, seigneur en son fief
            Et mes côtes
            Peuplées de grenailles et de fusils
            Et de fleurs du zénith

            C’est le désert
            Et nul mirage pour exciter mon souffle
            Mais je revêtirai un moulin à sable
            Brodé de volcans
            Ainsi je partirai en toutes directions
            Et contrairement aux oracles
            De tes devins
            Demain, je t’envahirai, monde
            Je suis désert
            Soif immense Je suis
            Prends garde à moi
            Et ne te joue pas de mes cloches


            L’ultime éclat de rire est revenu
            Avec profonde blessure et cautères
            De son triste voyage
            En ma gorge
            Comme un râle devenu
            Sec
            Comme une plante que l’eau n’approche plus
            Il est revenu pour me rappeler
            (L’ai-je oublié ?)
            Que cette ville est de roc
            Et de fer
            Et que la vie ne souffre plus la verdure
            Et les ailes
            Et les badineries du vent

            Malheur...
            Âme ancienne, où es-tu, toi qui
            Riais comme une enfant
            Dans mes premiers poèmes ?
            Où êtes-vous
            Mélodies bleues ?


            Ah! miel corrompu
            Des métaphores
            Délite-toi loin de mon verre
            Je désire un poème amer
            Comme café d’ivrogne
            Pour qu’il inscrive dans l’obscurité de ses yeux
            Cette migraine atroce
            Qui anéantit mon désir de vie
            Et vous autres
            Préparez-vous à disparaître
            Car la descendance est suspendue dans les profondeurs
            Un cancer dans leur mémoire
            Se propage
            Entre leurs cuisses un abcès se rompt


            Laissez-le se rompre directement dans l’air
            Loin de l’interlude
            Laissez-le dans le dehors misérable
            Laissez-le
            Là où la fin est crucifiée sur
            L’écran d’aujourd’hui
            Où le pistolet est querellé par les balles
            Et où gisent la tempête et le désert
            Où la porte de la quiétude est grande
            Ouverte
            Avec candeur
            Et où les chamelles de la vie ruminent
            Les mêmes illusions
            Et l’une après l’autre
            Dans le tréfonds de l’âme
            S’éteignent


            Heureusement il y a les traductions......
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #21
              Quais & Layla

              Tu vois Zwina ! il faut juste chercher

              Sans les amants et l'histoire d'amour la plus celebre dans la litterature et la societé arabo-musulmane "

              Quais et sa Layla !! dit le fou de layla !

              Commentaire


              • #22
                Tizi

                Tu es prié d'écrire correctement les noms des poètes pour me faciliter les traductions
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                Commentaire


                • #23
                  merci tizi pour le poeme de majnoun leila, je l'ai adoré quand on l'a étudié à l'ecole

                  Commentaire


                  • #24
                    C'est magnifique

                    J'adore le fou de Layla

                    Commentaire


                    • #25
                      Ok zwina alors ce dernier est : ou bien Quais ou Kais ou bien et tout simplement le fou de layla

                      on ecrit aussi laila pour layla y peut remplacer le i aussi dans kais et quais !!

                      C'est asser clair je suppose

                      Commentaire


                      • #26
                        Lood traduis le moi please, celui là m'interesse
                        Mais Layla s'écrit mieux comme cela je trouve : ""Leïla""
                        "La femme est le calme et l’apaisement de l’homme, elle est sa conjointe, la mère de ses enfants, l’endroit périlleux de son coeur et la clef de ses secrets"

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                        • #27
                          un les chansons de majda eroumi que j'adore en particulier kalimat, si je la trouve je la poste en attendant je vous met koun sadiki:

                          http://www.youtube.com/watch?v=7ZOOO...elated&search=

                          Commentaire


                          • #28
                            Loo
                            encore une fois je confirme ton goût musicale ! j'aime bien Klimat et Majda Roumi encore plus

                            Oui Sagefemme on ecrit aussi Leila

                            Commentaire


                            • #29
                              je suis nul pour traduire un texte si beau, j'ai peur de faire n'importe quoi
                              j'avoue qu'elle à l'ecole je ne comprennais jamais les poemmes en arabe avant d'entendre les explications du prof, ils sont des fois si compliqués mais telement beaux
                              mais je crois que zwina s'en occupe;

                              Commentaire


                              • #30
                                @ tizinissa oui c beau je trouve,

                                @zwina peux tu traduire please?
                                "La femme est le calme et l’apaisement de l’homme, elle est sa conjointe, la mère de ses enfants, l’endroit périlleux de son coeur et la clef de ses secrets"

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