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Qui se souvient de bleu Shanghai des années 1960 et 1970 à Alger?

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  • #31
    Essayes maintenant Jasmyne
    Parfait Alouette!Merci
    Il est génial ce 3ami Mourad! Pour lui c'était la classe!

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    • #32
      N'est-ce pas plutôt une expression d'un look recherché, une sorte de dandysme ? : )
      Salut Sidi Noun,
      Un certain dandysme modeste ou qui se veut modeste. Presque un oxymore.

      Sinon, ailleurs, le bleu Shanghaï, appelé aussi "bleu Marseille", était porté indiférement par les travailleurs dans divers domaines (pêcheurs, débardeurs, menuisiers, maçons, etc.) et n'avait aucune expression particulière.
      C'est vrai. Finalement ce ne sont que des constructions qui finissent par se cristalliser. Tu as raison de démonter un peu ces stéréotypes qui vont souvent plus vite que la réalité.

      Le bouhi des années 1980 a remplacé le hozzi?
      peut-être bien oui.
      El bouhi essaye d'allier tradition hoziste et jeunesse branchée.

      les Rim etaient pour les nanas a la fac..car elles contenaient de la menthe me semble-il
      C'est plutôt Ilham qui avait le gout menthe. Quand les Ryms sont sorties, un autre nom féminin, tout le monde croyait que c'est comme Ilham. On l'a vite catalogué comme étant "ta3 madamat" (comme dirait Gatlato ) Finalement non ! Tout le monde s'est rabattu sur elles (les cigarettes Rym). Mais un hozzi b'shaghai il fumerait plutôt des Nassim, voire des ALGERIA, et de temps en temps c'est lui même qui fabrique sa propre "cigarette".
      Dernière modification par elfamilia, 16 août 2015, 07h47.
      "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
      Socrate.

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      • #33
        Elfamilia non je n'ai pas vu Mohoo en Shanghai, il ne faut pas voir en ma remarque une quelconque provocation. Je dis juste ce que cela évoque dans mon esprit.
        Les stéréotypes ne correspondent pas toujours à la réalité. J'avais un voisin drabki, ami Mohammed Allay yerehmou, il etait comme je l'avais décrit, son souvenir m'avais sûrement marquée.

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        • #34
          C'est plutôt Ilham qui avait le gout menthe. Quand les Ryms sont sorties, un autre nom féminin, tout le monde croyait que c'est comme Ilham. On l'a vite catalogué comme étant "ta3 madamat" (comme dirait Gatlato ) Finalement non ! Tout le monde s'est rabattu sur elles (les cigarettes Rym). Mais un hozzi b'shaghai il fumerait plutôt des Nassim, voire des ALGERIA, et de temps en temps c'est lui même qui fabrique sa propre "cigarette".

          pourtant il me semble que les plus anciennes cigarettes etaient Affras brune et 2AA blonde..quand a omar il avait une particularite bien precise qui se mettait une dose de beton (chema) dans la bouche et crachait chaque minute en contemplant les maadamats de passage..mais ça c'était avant..aujourdh'hui Omar pleurerait son sang quand il voit ce que sont devenues les rues de Belouizdad,Salembey lhusseindey etc etc..des madamats bachees accompagnees par des uluberlus en khamis baskets

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          • #35
            Je ne fume pas mais je me souviens d'une marque Craven A.

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            • #36
              Le bouhi des années 1980 a remplacé le hozzi?
              Le Bouhi quant à lui il avait la moustache, portait une veste cuir et avait une dent en or

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              • #37
                Je ne fume pas mais je me souviens d'une marque Craven A.

                avec le paquet rouge et une tete de chat ? j'ai fume les sans filtre pdt 10 ans..mais c'était en France

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                • #38
                  A Propos

                  Le Shanghai est-il un patrimoine algérien ou chinois ?

                  Un Algérien, qui a séjourné durant plus de huit mois à Shanghai, nous a confirmé qu’on ne trouve pas le bleu de Shanghai dans cette ville chinoise.

                  En effet, El-Hadi Boumaza qui fut responsable du pavillon algérien à l’expo universelle de Shanghai, explique que notre pavillon national avait abrité une exposition de ce costume.
                  «Le bleu de Shanghai a été exposé avec un texte d’explication (…) Ce qui a suscité l’intérêt des visiteurs chinois, notamment les plus âgés d’entre eux qui ont connu le vêtement. Des journalistes lui ont également consacré quelques articles», avait rapporté Boumaza au quotidien du Soir d’Algérie. «J’ai personnellement porté le bleu de Shanghai et j’ai eu l’occasion d’en expliquer l’origine à de nombreux Chinois intrigués par ma tenue», ajouta-t-il.
                  Dans le texte d’explication, il est dit que le bleu Shanghai a été introduit en Algérie, entre les deux guerres mondiales, par des marins chinois. Des opérations de troc s’étaient développées entre les dockers algériens et ces marins qui venaient pour la plupart du port de Shanghai. Les marins chinois prenaient des produits locaux et donnaient, en échange, leurs costumes de travail. Avec le temps, les dockers algériens ont pris l’habitude de porter le bleu de Shanghai qui constituait pour eux un vêtement nouveau et presque luxueux pour la période.
                  Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la ******tte américaine avait remplacé ce bleu de travail. Mais des couturiers ont continué à le fabriquer et à le commercialiser dans la région pour «fixer» un marché en plein essor. Ce phénomène s’est également répandu dans les autres ports de la Méditerranée où l’on voyait la mode du bleu de Shanghai se développer à partir des années cinquante. C’est aussi à cette époque que le costume «bleu de Shanghai» a commencé à être fabriqué dans la région de Marseille pour être commercialisé de façon régulière jusqu’à nos jours.
                  Cela explique pourquoi certains l’appellent aussi le «bleu Marseille ». Aussi étrange que cela puisse paraître, on ne trouve plus le bleu Shanghai à Shanghai. Ce costume est-il un patrimoine algérien ou chinois ?
                  K. B.
                  Source :
                  1. Le Soir d’Algérie du 4/07/11

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                  • #39
                    Un Algérien, qui a séjourné durant plus de huit mois à Shanghai, nous a confirmé qu’on ne trouve pas le bleu de Shanghai dans cette ville chinoise.
                    J'ai réalisé mon premier stage au temple de Shaolin situé au centre de la Chine et j'ai visité Shanghai et le sud de la chine jusqu'a Hong-Kong en 1989.
                    Les Chinois portaient à l'époque des Vestes de costume à col Mao un peu proche de bleu de Shanghai.
                    Dernière modification par mohoo, 16 août 2015, 10h19.

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                    • #40
                      Mon père Allah yarehmou portait le Shanghai
                      Le tissu est confortable et frais
                      Ca n'a rien à voir avec le fait d'être hozi wala fel miziriya




                      .
                      Dernière modification par sabahe, 16 août 2015, 10h48.

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                      • #41
                        Anitakan,
                        Je n'y ai vu aucune provocation. rana ndiskitiw berk.

                        bendz,
                        Oui, les AFRAS étaient là bien avant toutes les autres.
                        Celles-ci étaient lancés à la veille de la conférence Afro-Asiatique d'Alger de 1965. Leurs nom n'est que l'acronyme de cette conférence.

                        Les Tarek, Safi, Hoggar, Chilia c'était bien plus tard.

                        sabahe,
                        Wallah el 3adim !oeilfermé
                        ana rani ndour b'eta3 echeikh.

                        mohoo,
                        Craven c'était des américaines, non ?
                        On les trouvait avec les Winston.
                        "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                        Socrate.

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                        • #42
                          mohoo,
                          Craven c'était des américaines, non ?
                          On les trouvait avec les Winston.
                          Craven A est une marque anglaise qui s'est d'abord appelée "Black cat" proposée par la société Carreras établie dans City road à Londres depuis 1788. L'histoire raconte que le Comte de Craven patron de Carreras avait donné le nom de "Black cat" à ces cigarettes en raison de la présence d'un chat noir qui rodait dans la manufacture. Les "Black cat" devinrent les Craven A à partir de 1860 mais ont conservé jusqu'à aujourd'hui une tête de chat noir sur leur paquet.
                          Les premières Craven A étaient sans filtres, vendues dans une boîte en métal vert. Puis vinrent les célèbres "Cork Tipped" cigarettes sans filtre mais dont un bout était entouré d'une fine bande de liège, ce qui permettait de ne pas mouiller le papier. C'est la Craven A sans filtre telle qu'elle était vendue jusqu'à aujourd'hui, au départ dans une boîte rouge en métal, puis en paquet cartonné rouge reprenant le design de la boîte métallique.
                          Enfin sont apparues les Craven A filtre dans un paquet rouge et blanc.

                          Ces cigarettes ont une particularité, elles ne comportent aucun agent de saveur ou de texture (peu de cigarettes ont cette particularité à l'instar d'American Spirit, ou certaines Benson&Hedges, JPS, Dunhill...). Elles sont composées autrement dit de tabac pur (94 % de tabac et 6 % de papier à cigarette). Contrairement à d'autres marques de cigarettes, elles ne sont élaborées qu'à partir d'une seule variété de tabac, le Virginia.
                          Avec filtre ou sans filtre, les valeurs de nicotine et de goudrons pour une cigarette, sont respectivement de 1 mg et 10 mg mais de façon surprenante la qualité "sans filtre" ne contient que 6 mg de monoxyde de carbone contre 10 mg pour les cigarettes avec filtres.
                          Pendant la seconde guerre mondiale, le Général de Gaulle en exil à Londres avait beaucoup de mal à se procurer ses habituelles cigarettes brunes françaises de marque "Gitane". N'ayant pas vraiment le choix, il se met à fumer des Craven A et apparemment prend goût au tabac blond jusque là rare dans la France occupée.
                          Le nom de cette marque est repris de façon anecdotique dans la chanson Les Bêtises par Sabine Paturel ainsi que dans Le Chien de Léo Ferré (1969).
                          À noter que selon son biographe, Jean Gabin était un fumeur régulier de Craven sans filtre qu'il alternait avec ses Gitanes. Dans le film Le Pacha, un paquet de Craven est visible sur le bureau du « commissaire Louis Joss », Gabin ainsi que dans le cave se rebiffe..
                          La source Wikipédia

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                          • #43
                            Désolé pour le doublon!
                            Dernière modification par mohoo, 16 août 2015, 13h06.

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                            • #44
                              Je portais des bleus de Shangaï , parceque cela faisait trés chic,.

                              Ils étaient frais , amples et d'une belle couleur .

                              Pour ne pas déteindre , ma mére ( allah arhamha) le lavait dans de l'eau vinaigrée .

                              Rien à voir avec les djeans
                              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                              • #45
                                elfamilia

                                Bssahtek le Shanghai de ton père
                                Rabi itawel oumrou inchallah

                                Iska
                                Ma mère aussi utilisait le vinaigre

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