Il a émis une fetwa moyenâgeuse contre la KabylieLe terroriste Abou Tourab exige une ''djizia'' des KabylesUne fetwa appelant les sbires d’El Qaïda au pays du Maghreb islamique à exiger le paiement d’une Djizia, "impôt" aux Kabyles, vient d’être émise par le terroriste islamiste Abou Tourab El Djazaïri. C’est ce qu’a rapporté le quotidien arabophone Ennahar, sur son site Internet, hier. Selon cette même source, cette fetwa "probable source de financement pour les groupes terroristes ; Abou Tourab El Djazaïri demande à El Qaïda d’exiger le paiement d’une Djizia aux Kabyles". Cette fetwa appelée" "Essarim, El Batir, âala rikab Naçara El Djazaïr", vient encore une fois prouver le caractère criminel, raciste et délictueux du projet des groupes islamistes. Cette haine innommable des islamistes, qu’ils soient politiques ou terroristes, de la Kabylie et de son projet démocratique et laïc n’est pas nouvelle. On se souvient des prêches incendiaires des chefs islamistes à l’encontre de la Kabylie dès les débuts de l’ouverture démocratique. Alors que les chefs islamistes crachaient leur fiel contre cette région, leur aile armée a tenté, des années durant, de convaincre la région de la justesse de leur guerre contre les forces progressistes, dont la Kabylie est la locomotive.
Après la série noire des kidnappings qui a ciblé les richissimes hommes d’affaires de la région, voila que les cohortes de Droudkel "improvisent" une nouvelle forme de racket, afin de renflouer leurs caisses. Cette nouvelle façon, de racketter sous le couvert de la djizia, renforce davantage la Kabylie dans sa position vis-à-vis du projet islamiste. Une position qu’elle assume depuis l’apparition du "fascisme vert", qu’est le fondamentaliste religieux.
L’appel en lui contre cette région frondeuse du pays est un acte barbare condamnable. Ainsi, exiger des habitants de cette région le paiement "d’impôts" pour des assassins serait le comble de la déraison. Après de vaines tentatives de récupération de la colère de la rue kabyle au profit des islamistes, ils reviennent, dans un nouvel épisode, drainer, de force, la région derrière leur coupe. Abou Tourab, informe encore le même quotidien, considère que, "la Kabylie est une région chrétienne" à qui il faut imposer cet impôt. Plus loin encore, Abou Tourab souligne dans sa fetwa moyenâgeuse qu’il a nommé "le tranchant, le coupant sur le coup des chrétiens d’Algérie" que, "ce que je propose n’est pas dans le but de dénoncer ce que ces derniers font, mais pour vous informer que Dieu nous autorise à exiger le tribut "djizia" de ces chrétiens et de leur interdire de montrer les signes de leur religion." Etant la cible privilégiée des extrémistes de tout bord, la Kabylie dérange par ses aspirations, ses projets et son refus du totalitarisme.
Le délire d’Abou Tourab ne s’arrête pas là, puisqu’il tente de convaincre l’exigence de la Djizia "même si cela oblige à tuer, justifiant leurs christianité par l’existence de débits de boissons alcoolisées dans les régions de Béjaïa". Cet appel à la guerre contre la Kabylie nous rappelle, tristement, la terrible période des années 90, où les appels à la guerre prétendue sainte contre l’Algérie fusaient de partout. La Kabylie qui s’est engagée dans la résistance citoyenne contre l’islamisme barbare ne saurait être atteinte par l’épée, elle qui récuse le projet d’un khalifat en Algérie.
Abou Tourab ajoute, par ailleurs que, "les habitants de la Kabylie ont été très influencés par le Christianisme et ont fuit l’Islam à cause de l’existence de nombreuses églises, ce qui autorise la demande de la djizia à ses habitants puisqu’ils sont en terre d’Islam. "
Après la série noire des kidnappings qui a ciblé les richissimes hommes d’affaires de la région, voila que les cohortes de Droudkel "improvisent" une nouvelle forme de racket, afin de renflouer leurs caisses. Cette nouvelle façon, de racketter sous le couvert de la djizia, renforce davantage la Kabylie dans sa position vis-à-vis du projet islamiste. Une position qu’elle assume depuis l’apparition du "fascisme vert", qu’est le fondamentaliste religieux.
L’appel en lui contre cette région frondeuse du pays est un acte barbare condamnable. Ainsi, exiger des habitants de cette région le paiement "d’impôts" pour des assassins serait le comble de la déraison. Après de vaines tentatives de récupération de la colère de la rue kabyle au profit des islamistes, ils reviennent, dans un nouvel épisode, drainer, de force, la région derrière leur coupe. Abou Tourab, informe encore le même quotidien, considère que, "la Kabylie est une région chrétienne" à qui il faut imposer cet impôt. Plus loin encore, Abou Tourab souligne dans sa fetwa moyenâgeuse qu’il a nommé "le tranchant, le coupant sur le coup des chrétiens d’Algérie" que, "ce que je propose n’est pas dans le but de dénoncer ce que ces derniers font, mais pour vous informer que Dieu nous autorise à exiger le tribut "djizia" de ces chrétiens et de leur interdire de montrer les signes de leur religion." Etant la cible privilégiée des extrémistes de tout bord, la Kabylie dérange par ses aspirations, ses projets et son refus du totalitarisme.
Le délire d’Abou Tourab ne s’arrête pas là, puisqu’il tente de convaincre l’exigence de la Djizia "même si cela oblige à tuer, justifiant leurs christianité par l’existence de débits de boissons alcoolisées dans les régions de Béjaïa". Cet appel à la guerre contre la Kabylie nous rappelle, tristement, la terrible période des années 90, où les appels à la guerre prétendue sainte contre l’Algérie fusaient de partout. La Kabylie qui s’est engagée dans la résistance citoyenne contre l’islamisme barbare ne saurait être atteinte par l’épée, elle qui récuse le projet d’un khalifat en Algérie.
Abou Tourab ajoute, par ailleurs que, "les habitants de la Kabylie ont été très influencés par le Christianisme et ont fuit l’Islam à cause de l’existence de nombreuses églises, ce qui autorise la demande de la djizia à ses habitants puisqu’ils sont en terre d’Islam. "
Mohamed Mouloudj- la dépêche de Kabylie
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