"t 'as des chefs d'etat responsables qui usent de ce qu on appelle la diplomatie pour le bien de leur peuple et t 'as d autres chefs d etats qui se donnent de fausses postures pour flatter l'ego de la populace bouteflika en est la parfaite l'illustration" (Kaiser)
Bouteflika a échoué dans sa gouvernance de l'Algérie, mais force est de lui admetre qu'il a réussi à remettre sur rails l'Algérie au plan international.
Ce qui fait que le Président algérien s'est peut-être fourvoyé (du moins a sali son épopée) en voulant venger son éviction de 1979 en tant qu'héritier naturel de Boumediène.
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L'ex-ministre des Affaires étrangères de Boumediene avait été adoubé en 1999 par la hiérarchie militaire avec pour mission de redorer le blason de l'Algérie, terni par des années de «sale guerre».
«Il y avait un accord. Il était là pour améliorer l'image de l'Algérie à l'extérieur et appliquer la trêve négociée avec l'Armée islamique du salut [AIS, le bras armé du FIS, NDLR]. Mais il ne devait pas aller au-delà, ni s'occuper de la gestion interne de l'institution militaire ni intervenir dans sa chaîne de commandement», dit Chafik Mesbah.
Bouteflika va remplir son contrat: l'Algérie, peu à peu, redevient un pays fréquentable.
Bouteflika a échoué dans sa gouvernance de l'Algérie, mais force est de lui admetre qu'il a réussi à remettre sur rails l'Algérie au plan international.
Ce qui fait que le Président algérien s'est peut-être fourvoyé (du moins a sali son épopée) en voulant venger son éviction de 1979 en tant qu'héritier naturel de Boumediène.
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L'ex-ministre des Affaires étrangères de Boumediene avait été adoubé en 1999 par la hiérarchie militaire avec pour mission de redorer le blason de l'Algérie, terni par des années de «sale guerre».
«Il y avait un accord. Il était là pour améliorer l'image de l'Algérie à l'extérieur et appliquer la trêve négociée avec l'Armée islamique du salut [AIS, le bras armé du FIS, NDLR]. Mais il ne devait pas aller au-delà, ni s'occuper de la gestion interne de l'institution militaire ni intervenir dans sa chaîne de commandement», dit Chafik Mesbah.
Bouteflika va remplir son contrat: l'Algérie, peu à peu, redevient un pays fréquentable.
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