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  • #31
    pour avoir un programme, il faut des mois ou plutot des années de travail.ca se fait pas comme ca.

    regardez le parti socialiste en france, ca fait 10 ans qu'on attend son programme.....il sortira le 5 avril.

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    • #32
      regardez le parti socialiste en france, ca fait 10 ans qu'on attend son programme.....il sortira le 5 avril.
      Tu es sérieux ?

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      • #33
        Qui vous dit qu'ils n'ont pas de programme? Qui vous dit qu'ils n'étaient pas entrain de préparer ce parti depuis des années? Pourquoi les Algériens sont toujours négatifs?
        Ils ont annoncé qu'une conférence de presse sera donnée d'ici la mi-avril (interview de l'un des membres fondateurs sur le site de forum démocratique). Peut être faut-il apprendre à juger sur pièce et non pas briser les initiatives avant de les jauger!

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        • #34
          attention quand même au systematisme

          cette maniere de discrediter systematiquement les nouveaux, les inconnus et l'ancien qui a été aux fonctions ...perdra l'Algerie


          Comment voulez vous que dans le paquet de nouveaux , les algeriens soient en mesure de tirer profit des bons parmi les nouveaux et ce dans tous les domaines si systematiquement le novice, nouveau venu est à l'avance jugé non credible ?


          on va aller loin comme ça avec :

          d'une part, .... nouveau venu = pas credible systematiquement

          et d'autre part ,...... ancien en politique ou ayant pu à un moment faire partie d'un gouvernement = pas credible systematiquement
          Dernière modification par Sioux foughali, 02 avril 2011, 21h17.

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          • #35
            @ sioux!
            C'est notre drame. On refuse l'ancien mais on casse systématiquement le nouveau...
            Il est clair que dans le paysage politique algérien, il y a beaucoup de flou... On ne sait pas toujours d'où les gens arrivent... Mais il ne faut pas sombrer dans la paranoïa. Sans être naïf, il faut suivre les gens et essayer de voir où ils veulent aller. S'il y a des Algériens qui s'engagent dans la politique (et c'est loin d'être qq chose de facile) alors il faut les encourager. Maintenant, s'ils font ou racontent n'importe quoi, alors il faudra les sanctionner politiquement!

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            • #36
              Pour la précision: j'ai cherche sur google Soufiane Djilali (apparemment c'est la bonne orthographe). Il a beaucoup écrit (sur agoravox, sur forum démocratique et sur beaucoup de titre nationaux - Le Soir d'Algérie, El watan...). Personnellement, je trouve que ses positions sont courageuses et ses analyses plutôt intéressantes...

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              • #37
                crée un nouveau parti en algerie ou pas crée c kif kif

                pour moi et mon personnel je ne fait confiance pas au parti politique parce que ces parti politique 99% intérêt personnel ect comme les autres parti

                moi je je suis contre tous les parti politique algerien c du khorti
                La vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.
                Alain Prochiantz

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                • #38
                  Salut Roukhou

                  Je te comprends mais à un moement il faut être optimiste et croire ...

                  Moi je refuse de mettre tout le monde dans le même pacquets j'attends de voir ce qu'ils proposent et en suite les juger
                  ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

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                  • #39
                    lamia bonjour

                    je suis pas contre ce nouveau parti mais malheureusement jai perdu confiance au pays surtout ces jours les jeu,es l'ansej et les crédit avec les banque rien que du provisoire (politique provisoire ) tu sais que le nouveau dispositif ansej cnac et la banque on accorder un délais de credit sur 8 ans dont 04 ans différé c a dire que le jeune commence a rembourser a partir de la 4 eme année c a dire après 2014 tout est calculer dans ce bled
                    La vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.
                    Alain Prochiantz

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                    • #40
                      Roukhou, tu es comme tous les Algériens, blasés et dégoûtés de la politique. Pourtant, si changement il doit y avoir, il faut bien des hommes et des femmes qui apparaissent? Et toi-même que fais-tu pour que les choses changent? Tu attends que quelqu'un le fasse à ta place? Nul n'est parfait mais on n'a pas le droit de mettre tout le monde dans un même sac. As-tu suivi ces gens? as-tu une idée de ce qu'ils disent? Tout ce qui est nouveau n'est pas forcément bon. D'abord, es-ce que ces gens ont la capacité sérieuse de créer un parti politique? Jusqu'à présent, il y a eu un périscoop sur lequel nous discutons... Mais ne soyons pas nihiliste. Donnons la chance aux gens de s'exprimer avant de les condamner!

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                      • #41
                        Roukhou, tu es comme tous les Algériens, blasés et dégoûtés de la politique. Pourtant, si changement il doit y avoir, il faut bien des hommes et des femmes qui apparaissent? Et toi-même que fais-tu pour que les choses changent? Tu attends que quelqu'un le fasse à ta place? Nul n'est parfait mais on n'a pas le droit de mettre tout le monde dans un même sac. As-tu suivi ces gens? as-tu une idée de ce qu'ils disent? Tout ce qui est nouveau n'est pas forcément bon. D'abord, es-ce que ces gens ont la capacité sérieuse de créer un parti politique? Jusqu'à présent, il y a eu un périscoop sur lequel nous discutons... Mais ne soyons pas nihiliste. Donnons la chance aux gens de s'exprimer avant de les condamner!
                        Nouvel esprit jai condamner personne et je fais confiance a personne et pour le changement y'aura jamais un changement en algerie même parce que il y'a des poulpou dans ce bled comme ouyahya belkhadem ect et les généraux tous un cercle
                        si tu te rappel des année 88/92 lorsque le fis a gagner ils ont les pieds et les mains pour que ce parti ne gagne ect............ je suis pour le changement mais il faut un grand sacre fisse ya sahbi
                        La vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.
                        Alain Prochiantz

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                        • #42
                          SOUFIANE DJILLALI AU SOIR D’ALGÉRIE : «Le pouvoir a fait le vide autour de lui»




                          Soufiane Djillali, intellectuel et ex-dirigeant du PRA, ne cache pas sa colère suite aux événements de ces derniers jours et à l’incapacité des gouvernants à apporter une réponse sérieuse à la mal-vie des Algériens. «Il s’agit de nos enfants, bon Dieu !» s’écrie-t-il. Entretien avec un démocrate qui ne mâche pas ses mots.

                          Le Soir d’Algérie : Les Algériens ont renoué avec les émeutes. Que vous inspirent ces jeunes qui se révoltent ? S’agit-il vraiment d’une réaction à l’augmentation des prix du sucre et d’autres denrées alimentaires ?
                          Soufiane Djillali : Il est incontestable que les augmentations des prix ont été l’étincelle qui a fait exploser la rue. Mais c’est aussi trop simple de penser que seule cette cause peut mener à une telle déferlante. Il y a un désespoir profond chez les laissés- pour-compte. La fracture entre ceux qui s’en sortent et le reste est trop visible, trop béante. Les jeunes appellent au secours depuis des années mais les pouvoirs publics n’arrivent pas, apparemment, à les entendre. Dans la vie, tout a une limite. La patience aussi.
                          Quelle est alors la nature de ces événements ?
                          Elle est fondamentalement politique. Il n’y a plus aucune médiation entre le pouvoir en place et le reste de la population. Le pouvoir à fait le vide autour de lui, il reste seul face au peuple. Malheureusement pour l’Algérie, un pouvoir absolu corrompt absolument. Et je vous le dis tout de suite : la répression n’est pas la solution.
                          Il y a eu mort d’hommes, malgré tout, la répression a été moins dure que lors des événements d’Octobre 88 ?
                          Incontestablement, les services de sécurité ont montré une bien meilleure discipline et maîtrise que lors de 88 ou même 2002. Ils sont mieux équipés et surtout ils ont une bien plus grande expérience avec ce type de situation. Il faut dire qu’ils ont eu l’occasion de s’entraîner durant toute l’année ! Ce sont eux qui finalement payent pour l’incompétence politique. Cependant, il serait illusoire d’attendre d’eux qu’ils viennent à chaque fois à la rescousse. J’ai bien peur qu’ils soient assez vite dépassés à l’avenir si un traitement politique très sérieux ne vient pas remettre de l’ordre dans le pays. Les Algériens ont été jusque-là gérés par la carotte et le bâton. Lorsque le pétrole ne sera plus là, croyez-vous sérieusement que le bâton suffise à maintenir la paix civile ? Personnellement, j’en doute fort.
                          Cependant, les choses semblent rentrer dans l’ordre, les dernières décisions concernant le prix du sucre et de l’huile ont permis le retour au calme...
                          Le retour au calme est de surface. Le danger avec de telles situations, c’est que ça peut dégénérer de nouveau au moindre faux-pas. Quant à la réduction des prix du sucre et de l’huile sur le marché, permettez-moi de douter qu’il s’agisse là d’une solution sérieuse. Ce n’est pas 300 millions de dollars consacrés à la baisse du prix de ces produits au profit des 35 millions de consommateurs mais un plan spécifique à cette frange de la population qui aurait dû être la réponse du gouvernement. Quand je pense que l’organisation de la rencontre sur le gaz à Oran a nécessité 800 millions de dollars pour quelques jours je deviens hypertendu ! Non ! Messieurs du gouvernement, il aurait fallu un plan d’au moins dix milliards de dollars sur 3 à 5 ans et destiné à cette frange de jeunes désœuvrés !
                          C’est une somme faramineuse...
                          Ce n’est même pas 7% de nos réserves qui agonisent dans les banques étrangères au profit des autres nations. C’est de nos enfants dont il s’agit ici, Bon Dieu ! Ne valent-ils pas cette somme ? Si l’argent de notre pétrole n’est pas utilisé pour former et éduquer notre jeunesse, lui donner du travail et surtout protéger sa dignité, à quoi sert-il de pomper encore notre sous-sol ?
                          Mais un tel investissement demande beaucoup de temps pour donner des résultats, or il y a urgence.
                          Il y a des choses qui peuvent être faites rapidement. Nos villes sont sales, les espaces verts mal entretenus, les aires de jeux abandonnées… Nos communes pourraient recruter sur l’ensemble du territoire plusieurs milliers de ces jeunes peu formés mais qui trouveraient là une occupation rémunérée pour embellir nos villes. N’est-ce pas mieux que la casse ? Bien sûr, il s’agit là d’un geste plein de symboles, pas une solution définitive, entendons- nous. Celle-ci aurait dû être préparée depuis longtemps. Elle passe par une véritable formation, plutôt professionnelle que théorique. Les besoins dans le bâtiment et dans d’autres secteurs peuvent être immenses. Il faut penser à relancer le textile qui a été laminé par un libre échangisme excessif. La pêche, l’artisanat, le tourisme, la PME/PMI, etc, tous sont des secteurs qui pourraient absorber de la main-d’œuvre. L’agriculture est un autre secteur vital qui pourrait offrir d’autres issues. Le territoire est presque inoccupé. Les espaces ne manquent pas. Il y a tellement de choses à faire bien plus intéressantes que de livrer les trottoirs à ces jeunes transformés en masse en gardiens de parking ! Bien sûr rien n’est facile, et c’est pour cela que l’établissement de l’Etat de droit et un retour au processus démocratique sont vitaux. Ils donneront de la patience et du souffle au pays. Mais avant tout, il faut parler directement à ces jeunes et surtout les écouter.
                          Ces jeunes ont agi comme leurs aînés d’Octobre 88, alors qu’au vu de leur âge, ils n’étaient même pas nés à cette date. Comment expliquez-vous ce comportement ?
                          Vous savez, il y a une forme de déterminisme. Lorsque vous subissez trop de pression vous finissez par réagir, ensuite, c’est la culture ambiante qui détermine vos modes de réaction. Dans notre culture, il y a, ne l’oubliez pas, une forme de nihilisme et d’apologie de la violence. Et surtout, le terrorisme des années 90 a laissé de profondes traces. Les années du parti unique puis de la décennie rouge ont brisé beaucoup de repères et de référents. Pour gérer toutes ces séquelles, il aurait fallu un pouvoir plus protecteur pour la nation, plus apaisant. Il aurait fallu une politique sociale plus soutenue et surtout plus juste. Malheureusement, nous avions eu droit durant cette décennie, d’abord à un discours exubérant et déstabilisant, puis dans une deuxième phase à un silence déprimant, qui est perçu par la population comme du mépris. Notre jeunesse souffre de beaucoup de maux. Mal instruite, elle est trop souvent la proie des maux sociaux. La drogue fait des ravages. La délinquance n’est pas toujours très loin. Il est clair que cette jeunesse est en souffrance. Le phénomène de harga, qui est bien évidemment une forme de suicide, est un appel au secours. Le sentiment d’abandon est très fort. Mais en face, que fait-on ? Les jeunes ont montré leur ras-le-bol, nos dirigeants ont regardé leurs doigts ! Pourtant, cette jeunesse pourrait trouver son chemin. Elle a de grandes qualités. Ces jeunes aiment leur pays. Ils peuvent être valeureux. Ils nous l’on prouvé à plusieurs reprises, lors des inondations à Bab-El-Oued ou plus récemment à Omdourman.
                          Qu’y a-t-il lieu de faire alors ?
                          Il faut que les gouvernants s’occupent du pays. Il faut que la corruption et la prédation cessent. Il faut que l’économie tourne à la hauteur de nos ressources. Et puis je vais vous dire, au fond, pour diriger ce pays, il faut aimer son peuple !
                          Vous insinuez que les dirigeants actuels n’aiment pas leur peuple ?
                          Je ne sais pas ce qu’il y a au fond de leur cœur, mais je peux vous dire qu’ils ne donnent pas l’impression d’avoir beaucoup de sentiments sincères envers lui et encore moins de l’affection. En tout état de cause, le sort de notre jeunesse est triste. Il faut vraiment étouffer sous son narcissisme ou avoir un cœur blindé pour ne pas avoir de compassion pour elle.
                          N’y a-t-il pas un relent populiste dans ce discours ?
                          Vous avez été longtemps secrétaire général du PRA, et vous défendiez alors le libéralisme. Non, ce n’est pas du populisme. Ce que je dis est profondément sincère. J’ai mal de voir tant de gâchis. L’Algérie aurait pu mieux faire, beaucoup mieux faire. Dans les années 90, l’Algérie était sans le sous, les hommes politiques ne se bousculaient pas au portillon, les risques étaient trop élevés peut-être ? Dans les années 2000, l’Etat était redevenu riche grâce au pétrole et les hommes politiques furent remplacés par une noria de prédateurs. Ce sont eux qui portent la responsabilité de ces derniers événements qui ne seront pas, à l’évidence, les derniers. Tant que des réformes profondes ne sont pas mises sur les rails tant dans la vie politique qu’économique, les choses empireront.
                          Et pour le libéralisme ?
                          Libéralisme. Socialisme. Vous savez, ce sont des étiquettes. Ces notions ont peu de prise sur notre réel. La vérité est que notre économie est dirigée selon des normes inconnues ailleurs. Les mêmes ont d’ailleurs prôné le socialisme en son temps puis sont devenus de féroces néolibéraux. Ils peuvent appliquer avec zèle les directives du FMI ou vous faire l’économie de guerre : pourvu qu’ils restent aux commandes !
                          Où est alors le problème ?
                          La problématique de l’Algérie est ailleurs : les dirigeants de ce pays ont-ils la volonté de mettre en place une économie autonome, équilibrée dans ses échanges avec l’extérieur, capable d’innover, de produire et d’exporter ? L’Algérie peut-elle se passer de ses hydrocarbures ? Peut-elle nourrir ses enfants par ses propres moyens ? Peut-elle améliorer le niveau de vie de sa population ? Je suis heurté de voir comment l’argent de la nation part dans la quincaillerie que nous importons. La législation algérienne a été conçue pour favoriser l’importation des produits finis en lieu et place de la production nationale. Je peux vous donner des centaines d’exemples. L’impression que j’ai est qu’il y a une politique délibérée pour que l’Algérie reste dans cette dépendance. Jusqu’à quand ?
                          Quelle va être la suite des événements d’après vous ?
                          Ma crainte est que rien ne change fondamentalement encore pour un temps. Le pouvoir va balbutier quelques regrets, marmonner quelques menaces, sévir à l’ombre et c’est tout. En attendant que tout reprenne de nouveau. Mais, ne soyons pas totalement pessimistes. Si le président de la République voulait bien faire, il gérerait alors une véritable transition démocratique pour aboutir en 2014 à une élection présidentielle authentique. Mais, on peut penser que cela ne fait pas partie de son programme. Alors, les jeunes imposeront, à n’en pas douter, leurs règles du jeu !
                          Propos recueillis par H. M.
                          La vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.
                          Alain Prochiantz

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                          • #43
                            lamia algerian voir le lien

                            c'est an aout 2009

                            voici les principaux fondateur

                            Cette première déclaration porte la paraphe de cinq membres : l’ancien secrétaire général du RND et de la CNEC, Tahar Benbaïbèche, l’ancien député Haïder Bendrihem, les deux représentants de l’Est ainsi que Cherifi Mohamed (le Centre) Kehlouche Jabir (l’Oranie), Mekkhalet Mohamed (le Sud). «D’autres militants nous rejoindront bientôt», nous confiera Haïder Bendrihem. Il s'agit notamment de Sofiane Djillali, Abdeselam Ali-Rachedi et bien d’autres.

                            http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=138250
                            Dernière modification par roukhou, 02 avril 2011, 15h25.
                            La vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.
                            Alain Prochiantz

                            Commentaire


                            • #44
                              Il ne sert à rien d'avoir une voiture si il n'y a pas de route

                              Commentaire


                              • #45
                                @ Roukhou, Autant Abdesselam Ali Rachedi que Soufiane Djilali avaient démenti leur participation à ce parti (voir également dans forum dz). D'ailleurs, ils n'étaient pas signataires. propos de journalistes en mal d'info? Soufiane Djilali était sur la scène politique jusqu'à l'arrivée de l'actuel Président en 1999. A ma connaissance, il avait démissionné du PRA lorsque Boukrouh est entré au gouvernement. Il n'a à ma connaissance jamais occupé de fonctions avec le pouvoir. Soit il n'est pas capable soit il n'est pas "récupérable"?

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