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Non à l'oubli, non à l'impunité!

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  • #31
    posté par l imprevisible

    La responsabilité des massacres des Algériens durant la décennie noire ne se limite pas à ceux qui ont égorgé, assassiné, posé des bombes, mis des bébés dans les fours, décapité des êtres humains, éventré des femmes enceintes, violé, pillé, etc. Mais elle touche toute personne ayant apporté son soutien moral ou en nature à la nébuleuse islamiste. Toute complicité active ou passive est condamnable pour ma part. Alors s'agissant des têtes du mouvement islamiste il n'y a aucun débat à avoir à ce sujet.

    Donc OUI DHINA est un assassin, Oui DHINA est un islamiste-criminel responsable au même titre que les égorgeurs du peuple algérien, c'est lui qui a fourni l'arme et l'idéologie.

    Yattik assaha !


    cette tragédie du à ces zombies , leurs fonctions c était de faire couler du sang à flot en Algérie au nom d une hérésie wahabbite ...

    *ils sont vomit à jamais en Algérie ...
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #32
      Dhina est encore là pour être présenté comme "un bon père de famille"

      Mais :

      Nabila Djehnine est morte.
      Katia Ben guana est morte.
      Tahar Djaout est mort.
      Djilali liabes est mort.


      Non; pardonnez moi. Je dis des bêtises.

      Nabila Djehnine a été assassinée.
      Katia Ben guana a été assassinée.
      Tahar Djaout a été assassiné.
      Djilali liabes a été assassiné.

      Ce sont les visages effacés derrière ce sinistre personnage
      Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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      • #33
        Dhina doit payer : Justice pour les victimes de la Bête !!

        La compagne de dénonciation de l’arrestation de Mourad Dhina s’amplifie. Des personnalités historiques se joignent aux chœurs éplorés qui couinent la fable du bon père de famille arbitrairement ciblé et indument poursuivi. Un opposant, prétendument démocrate, qui ne parle de la démocratie, de la liberté, et des droits de l’homme, qu’en ce qu’ils ouvrent « à tous » la voie de l’accession au pouvoir, sans aucun souci du sort qui pourrait être fait, à toutes ces généreuses valeurs, une fois que la toile de la nébuleuse islamiste sera étendu sur l’Etat et la société.


        Il n’y a plus que du Docteur par-ci, du Docteur par-là! Comme si cela pouvait suffire à adoucir son image. Docteur…, Goebbels aussi l’était. Et, Dhina porte ce titre de manière aussi sinistre que l’autre. L’histoire regorge, malheureusement, d’esprits brillants qui ont mis l’intelligence, l’érudition et le savoir au service de la dévastation et de la mort. Le passé de son père, combattant et de commis de l’Etat, est mobilisé à la rescousse pour détourner de la seul chose qui compte dans le dossier de ce monsieur : Sa responsabilité de chef du fis, et l’implication personnel qu’il a pu ou pas avoir dans des actions terroristes en Europe ou en Algérie.


        Tout est fait pour faire accroire à l’arrestation d’un pauvre opposant expatrié. D’un prisonnier « politique ». Alors qu’à l’évidence l’interpellation de Dhina ne peut tenir que de la conviction des autorités judiciaires françaises d’être face à des éléments suffisants pour le confondre dans son activité de chef terroriste.


        J’ai la « naïveté » de croire que la justice française ne s’actionne pas selon le bon vouloir des princes. Ceux qui forcent la caricature, pour masquer la différence entre une justice instituée en pouvoir séparé, et une autre aux ordres, en l’occurrence les soutiens de Dhina, ne font qu’étaler leurs propres rapports fallacieux à la démocratie, aux valeurs républicaines et à la défense des droits de l’homme. Ils excellent dans les procédés qui procèdent d’une maitrise éprouvée des techniques de désinformation, de conditionnement des opinions, et d’intimidation des acteurs politiques.


        Sans des charges sérieuses et largement documentées, il est inenvisageable (toujours cette même « naïveté »), que les juges antiterroristes français engagent leur notoriété et leur crédibilité dans une telle affaire. S’il y a des aspects politiques qui peuvent se rattacher à ce dossier, ils ne peuvent être, sommes toutes, que mineurs et ne se rapporter qu’à l’opportunité de l’entame des poursuites et du choix du moment de le faire; mais certainement pas de la consistance du dossier en lui-même.


        Ma naïveté, par contre, ne va pas jusqu’à croire que ce dossier soit de confection récente ; qu’il n’ait pas été utilisé, d’abord, comme moyen de pression, ou encore qu’il soit unique en son genre. La vocation de ces dossiers, qui doivent moisir dans les tiroirs des antichambres politiques ou de services, ne devrait pas être de servir dans des tractations honteuses et obscures mais d’amener devant leurs juges tous les responsables de la guerre d’agression qui nous a été menée.


        Dhina, pour en revenir à lui, tout fière qu’il fût de ses « martyres » nous rayait de pleurer nos victimes, et de ne pouvoir les désigner par autre chose que cette sombre et presque honteuse désignation de « victimes ». Il disait : « Que ces intellectuels de gauche aient le courage d’assumer leur action. Qu’ils disent : nous nous sommes engagés dans une guerre et certains d’entre nous l’ont payé de leurs vies. Qu’ils en fassent des martyrs pour eux. ». « Qu’ils en fassent des martyrs pour eux. » !!!


        Nos morts, que Dhina nous conseille d’élever au rang de martyrs, le sont non seulement pour l’Algérie, mais pour l’humanité tout entière. Ils le sont parce qu’ils ont fait face à la Barbarie. Ils l’ont fait avec leurs plumes, leurs paroles, leurs combats d’idées. Ils n’ont payé de leurs vies que leurs déterminations à demeurer debout et de faire face à la Bête sanguinaire. Ils ont résisté, de cette résistance quotidienne qu’était le refus de porter un accoutrement gommeur d’individualité et de féminité, ou le refus de cesser de dispenser des cours dans une école, ou encore de refuser à se faire porteur de bombe malgré soi.


        Mais il n’y a pas que les intellectuels, les femmes ou les simples citoyens. Il y a aussi ceux qui, militaire, membres des forces de sécurités, ou Algériens volontaires, qui les armes à la main ont contenu la déferlante islamiste et réduit ses prétentions. Les calculs des officines, et des clans, s’ils ont compromis la finalité de cette résistance, n’en ont pas changé l’essence humaniste, ils ne pouvaient, ils ne pourront le faire.


        Il faut aussi rappeler ce qu’était cette Bête, cette armée d’assassins, que Dhina a pu armer, soutenir et orienter. Ces monstres étaient des enfourneurs d’enfants, des égorgeurs de vieillards, des violeurs, des criminels de guerre.


        Et tant pis pour ceux qui, par démocratisme de pacotille, se laissent aller à l’oubli ou à la dénégation et associent leurs noms à cette pétition qui demande à soustraire un bourreau à la justice, d’Algérie ou d’ailleurs.
        Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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        • #34
          Je veux bien qu'il ait un proces juste et equitable mais d'un autre cote, des emirs sont en liberte, des anciens du GIA ont ete amnisties, Abderrezak el Para est juge par contumace et nul ne sait ce qu'il est devenu, et personne parmi les services de securite qui ont procede a des arrestations, detentions, tortures voir pire en dehors de la justice ne sera jamais inquiete.

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          • #35
            Nabila Djehnine est morte


            on ete au polyvalent

            elle a fait quoi
            pour mourrir sous la la loi des laches
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #36
              moi la seule chose que je sais, c'est qu'il y a eu beaucoup de mort, beaucoup ont fui le pays et beaucoup ont connus la terreur.
              pour le reste je ne sais plus quoi penser sans tomber dans le piège de l'un ou de l'autre.

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              • #37
                Si on jete à la mer toute personne qui a fait une déclaration, il ne restera plus personne en Algérie ...

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                • #38
                  J'ai l'impression qu'il y a quelqu'un, qu'il y a une personne qui connait bien... qui connaissait bien Lyabess, Flici, Tahar Djaout, Sanhadri, Boucebci, tout le monde, qui devait bien connaitre le destin de ces gens là et qui a bien choisi ses victimes. C'est un choix très réfléchi et qui répond peut-être en plus à un besoin psychique pour cette personne. Il y a un cerveau quelque part qui choisit. Peut-être que les exécutants, ceux qui tuent, sont recrutés parmi les petits tueurs islamistes, chez les intégristes. Mais moi, je pense qu'il y a des gens qui choisissent. Ces choix sont faits très froidement. C'est mon sentiment.

                  Page 34, Saïd Mekbel, une mort a la lettre, Entretiens, par Monika Borgmann


                  PS: L'ouvrage complet est facilement trouvable sur le net.
                  http:// algeria channel .net/documents/said_mekbel.pdf
                  (ôtez les espaces)
                  Dernière modification par okba30, 07 février 2012, 01h19.
                  وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                  • #39
                    A propos de l'assassinat d'intellectuels et autres personnalités publiques dans les années 90, la piste islamiste a surtout été suggérée par un presse notoirement connue pour être infiltrée et manipulée par les services. Déjà, dès 1999, le MAOL avait donné une toute autre version des faits. Je renvoie, par exemple, à leur dossier intitulé "L'Hécatombe et la Presse ou les démons du mensonge". On y entendra un autre son de cloche...
                    Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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                    • #40
                      C'était bel et bien les islamistes qui tuaient, ce qui est triste c'est que la plupart d'entre-eux ce sont marginaliser de leur propre familles pour devenir des monstres !
                      khouya imposs, balek dans ta région, ce que j'ai vu et j'ai connu et bel et bien diffèrent, les meurtres étaient commis des deux cotés!!!!!!!! je parle des meurtres commis contre des civiles, ceux entre les islamistes armés et les agents de sécurité et autre chose!!


                      pour hadik ellé hassba rouha tefhem ktar men ennass: w gatlek fin des échanges:

                      apprends a respecter le jeu démocratique, le choix de l'autre (surtout le peuple) puis tefelssfi ala ennass!!!

                      et au prochain élections libres,s'il y'aura, épargnez nous l'ancien scénario
                      Dernière modification par naw08, 07 février 2012, 09h07.

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                      • #41
                        صم بكم عمي فهم لا يبصرون ولا يعقلون


                        خداعين

                        ils nous assassinaient, nous menaçaient, nous ont exilé et ils n'ont même pas le courage d'assumer !!!

                        Une véritable cinquième colonne, rien d'autre!!

                        C'est l'islamisme qui tuait, qui tue et qui tuera tant qu'il n'est pas disqualifié.
                        Dernière modification par mob_dz, 08 février 2012, 07h36.
                        Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

                        Commentaire


                        • #42
                          naw08

                          tu défend le diable et c'est injustifié..

                          Juste une question, t'avais quel âge quand Tahar Djaouat a été assassiné ?

                          Commentaire


                          • #43
                            Et Ismail Yefsah ? Qu'a fait Ismail pour qu'on l'assassine ?

                            Et Mourad Chebbine ? celui qui invitait le criminel Abbassi Madani pour débattre son programme à la TV

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                            • #44
                              Le retour de l'ANP

                              Le retour de l’armée sur le devant de la scène ![

                              Par Hakim Laâlam


                              La neige oblige Belkhadem et Djaballah à annuler des meetings.
                              J’adoooooooooore la neige !

                              Mon Dieu ! Qu’est-ce que j’apprends à l’instant ? Que l’armée a fini par céder ? Que l’armée va intervenir ? Que l’armée est déjà intervenue ? Qui plus est, sur la demande expresse des pouvoirs civils, comme à chaque fois ? Je suis effondré ! Tout ce cheminement, tous ces événements, toutes ces souffrances, pour revenir aujourd’hui quasiment à la case départ, l’irruption en force de l’ANP. Maintenant, je peux vous en faire l’aveu. Je sentais bien ces dernières heures que nous n’allions pas y couper. Je sniffais fort la pression faite sur l’armée algérienne, un corps républicain avant tout. Je pressentais que les choses en se précipitant allaient contraindre la grande muette à sortir de sa réserve. Il est vrai aussi que la situation s’était fortement dégradée. Ça ne pouvait plus durer. Le pouvoir civil était littéralement débordé, assailli de toutes parts et incapable de faire face à la furia. Mais tout de même ! Pour nous qui savons ce que le retour de l’ANP sur le devant de la scène veut dire, ce qu’il implique comme lectures, de bonne ou de mauvaise foi, ce qu’il induit comme réactions, ici, mais surtout à l’étranger et les dégâts collatéraux qu’il peut provoquer sur l’institution, nous pensions sincèrement ne plus avoir à revivre ce genre de scénarios. Hélas, c’est fait ! L’armée est intervenue. Massivement. Rapidement. Avec tous ses moyens. Elle s’est déployée sur le terrain en un rien de temps. Comme l’autre fois ! Et depuis cette irruption bis, je suis assis face à mon ordinateur, à guetter fébrilement les réactions internationales. Je suis d’ailleurs quelque peu étonné qu’elles ne se soient pas manifestées plus tôt, ces voix habituellement si promptes à dégainer contre les généraux algériens, à les affubler de tous les clichés et poncifs, à les accuser d’être derrière tout et n’importe quoi. Mais au fond, je ne suis que partiellement étonné, car je sais que les critiques, les levées de boucliers et les campagnes féroces contre l’ANP vont se déclencher tôt ou tard. Comment allons-nous réagir cette fois-ci ? Quelles parades pour éviter de vivre ce que nous avions déjà vécu lors de la première intervention de l’armée et sa prise en main des affaires relevant en temps normal de la gestion civile ? J’avoue ne pas trop savoir. Je suis juste sûr d’un truc. Il va nous falloir des trésors de pédagogie, des montagnes de patience pour expliquer à l’opinion internationale qu’il est tout à fait normal qu’un wali, un préfet, en l’occurrence celui de Béjaïa, fasse appel au concours de l’ANP pour venir en aide aux populations isolées par la neige, coupées du reste du pays, sans vivres et sans chauffage. Il va nous falloir beaucoup de persuasion pour leur démontrer que cette intrusion-là n’a rien à voir avec la précédente. Qu’il ne s’agit pas de l’arrêt de quoi que ce soit. Mais bien au contraire, de la reprise d’un processus. Celui de la circulation routière, de l’acheminement des vivres grâce aux chasse-neiges et aux gros engins de l’ANP et du retour à la vie normale. Un truc banal. Un machin qui ne durera pas 20 ans. Et qui ne fera aucune victime. Inch’Allah ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
                              H. L.
                              Elle est partout, heureusement.

                              En 2010, à Taghit( Béchar), des innodations exceptionnelles, Oued Zouzfana, a tout enmporté sur son passage, routes palmeraies, poteux telephoniques, electriques.

                              L'ANP a commencé par ravitailler les ksours par hélicoptéres, avant de s'attquer, avec un bataillon du génie civil, à une portion de dunes du grand erg occidental, pour CREER UNE ROUTE , et désenclaver ces mêmes ksours.
                              15 jours ont suffi pour que de nouveau , les véhicules ravitailleurs rejoignent la population isolée.
                              Des moyens colossaux ont été mis en oeuvre .

                              Voilà une armée qui assassine ses enfants .
                              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                              • #45
                                Et Mourad Chebbine ?
                                Mourad Chebbine est toujours vivant, à ma connaissance. Il fait partie de ceux qui n'ont pas marché dans les combines du système, au même titre que Khedidja Benguenna et d'autres, et qui ont eu la présence d'esprit d'aller faire valoir leurs talents sous des cieux plus cléments...
                                Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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