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Bouteflika dénonce la "barbarie" de la colonisation française en Algérie

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  • #46
    assia djebbar. En visite dans les Corbières, elle a déclaré à Midi Libre qu'elle était kabyle.

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    • #47
      moi aussi quand je veux me faire bien voir je deviens kabyle et parfois même breton.
      mais a djebbar est peut être une émigrée kabyle auquel cas je retire ce que j'ai dit.mais je suis sur que non.
      sur *********** justement on lui reproche de s'être présentée comme la seule femme arabe à être admise dans cette coupole.pour préciser la géographie
      Dernière modification par job-trotter, 05 juillet 2006, 07h23.

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      • #48
        N'est pas Kabyle qui veut, ni français, ni breton.
        Il y a mille exemples pour vous prouver cette maxime.
        Le fait de dire que Assia est kabyle est malsain et non dénué d'arrière pensée.

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        • #49
          Job trotter

          Alors tu as tort car Assia Djebbar ou plus exactement Fatima-Zohra Imalayène est bel et bien kabyle. Si beaucoup de gens de Cherchell ne sont pas kabyles cela est justement du à la colonisation française qui a vu la déportation de villages entiers vers la Nouvelle Calédonie ou le sud du pays et ces villages ont été réhabités par des personnes plus en accord avec les colons. Mais il en reste et la famille d'Assia Djebbar en fait partie. De plus elle n'est pas née à Cherchell comme beaucoup l'affirme mais au douar Ouled Hamou à Ain Bessem dans la wilaya de Bouira où son père était instituteur (confirmé par son oncle maternel Mohand Tahar Sahraoui). Voici un extrait d'une de ses interwiews qui te le confirmera et t'expliquera pourquoi elle ne vient pas en Algérie :

          Assia Djebar à El Khabar
          L’écriture : un moyen de quête identitaire
          Dans un entretien accordé au quotidien ‘’El Khabar’’ (édition du jeudi 2 février), réalisé à partir de la ville italienne de Turin, la femme de lettres algérienne et membre de l’Académie française, Assia Djebar, s’est attardée sur la vision et l’idée qu’elle se fait de l’acte d’écrire, les circonstances de son élection à l’Académie française et sa conception de l’écriture de l’histoire en tant que mémoire du peuple.

          À la question de savoir pourquoi elle est absente de la scène culturelle algérienne, Assia Djebar répond que depuis son obtention du prix de la Paix lors de l’exposition du livre de Frankfurt en 2000, elle a eu plusieurs échos venant d’Algérie sur un hommage qui devrait lui être rendu, mais aucune invitation officielle ne lui a été adressée à ce jour. Dans ce domaine, l’académicienne ne veut pas s’accommoder d’une quelconque improvisation d’autant plus, affirme-t-elle, qu’elle a beaucoup d’engagements liés à ses activités professionnelles et, de ce fait, son calendrier est très chargé.
          Elle continue aussi à donner des cours à l’université de New York. "Je suis obligée de travailler pour gagner ma vie ; mes déplacement entre Paris et New York ne sont pas du tourisme". Elle explique son absence au dernier Salon du livre d’Alger par l’impréparation qui a caractérisé un tel rendez-vous. ‘’Ce genre de manifestation exige au moins deux mois de préparation et non une invitation à la dernière minute’’, ajoute-t-elle.
          Au sujet du projet de traduction de ses œuvres en langue arabe, Assia Djebar affirme avoir proposé à l’Entreprise nationale des arts graphiques (ENAG) de faire traduire une série d’œuvres littéraires appartenant à plusieurs écrivains francophones algériens, mais elle n’a reçu aucune réponse. Elle garde un mauvais souvenir des péripéties ayant émaillé son roman ‘’Loin de Médine’’. L’écrivaine dit avoir demandé à la maison d’édition Albin Michel d’exempter l’Algérie des droits d’auteur et elle informa l’ENAL qu’elle accepterait de recevoir ses droits en dinars algériens.
          "Je tenais à ce que mon livre soit publié en Algérie en raison de la montée du péril intégriste à cette époque. Lorsqu’on m’a transmis le contrat, on m’y a adjoint une demande d’autorisation de la traduction du livre en arabe. Je m’y étais opposée en expliquant aux responsables de la maison d’édition qu’il y a lieu d’abord de réaliser l’édition en français, puis je réfléchirai à la traduction.
          Moi, je veux suivre personnellement le travail de traduction. Je sais que je ne suis pas experte en langue arabe, mais j’ai des amis qui maîtrisent bien l’arabe qui pourront m’aider dans la révision des travaux traduits.". Malgré ces précautions, Assia Djebar reçut par la suite une autre copie du contrat qui comporte une clause qui stipule la traduction en arabe. Elle avait refusé de la signer. Mais le livre sera quand même édité en Algérie. "Moi, je tiens beaucoup à la qualité de traduction de mes œuvres et je ne m’opposerai jamais à un projet de traduction sérieuse", ajoute-t-elle.
          "J’écris en français, parce que c’est la langue que j’ai apprise à l’école. Mais le français que j’utilise baigne dans une atmosphère arabe (…) J’ai dit aux Français que je suis contre l’unicité de la langue comme cela a prévalu du temps du colonialisme. J’ai aussi décidé de quitter l’Algérie lorsque le module d’histoire que j’enseignais à l’Université d’Alger a été arabisé. Je continue à m’opposer à toute orientation qui voudrait consacrer l’usage d’une seule langue", explique-t-elle.
          Dernière modification par zwina, 05 juillet 2006, 13h03.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #50
            Honnêtement joandemilan, ça te plait ce clivage arabo-kabyle et tu en meurs d'envie qu'il prenne un peu plus d'intensité... ?

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            • #51
              Algerois

              Faut juste rendre à César ce qui lui appartient
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

              Commentaire


              • #52
                Faut juste rendre à César ce qui lui appartient
                Je vois pas le rapport...

                Commentaire


                • #53
                  Algerois

                  Que Cherchell a connu elle aussi les affres de la colonisation......
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                  Commentaire


                  • #54
                    J'en doute pas zwina...

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                    • #55
                      La population chenouie (région de Cherchell) est berberophone, du moins en partie, la qualifier de kabyle n'est un abus de language.
                      Cordialement.

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                      • #56
                        restons les amis
                        sur les barbares lumineux
                        algerois16 bonne replique sur les clivages

                        assia djebbar est algerienne avant tout meme si a sa place j aurais prefere le parti des mortels mais bon...

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                        • #57
                          J'aime lire Zwina et je partage ses dires mais c'est un jeu, jeu de mots ou jeu de scrables, je ne me pose pas ce genre d'exister en tant que tel ou pas.
                          Je suis natif de Gde Kabylie, les 90% de mes amis sont algériens de cette région, je me sens bien avec eux pcque nous réagissons sur le même tempo, mais à part ça, je ne fais aucun distingo entre kabyle ou pas.
                          Les algériens (berbères) ont subi le même effet avec l'arrivée des arabes.
                          Je dis souvent que la Kabylie, camp retranché, reste la mémoire de toute l'Algérie. Ce qui énerve un "kabyle", c'est de le confondre à un arabe autre qu'algérien. Le mal dure depuis trop longtemps et le remède est presque périmé. Parler algérien gêne moins.
                          Un ami libanais, araphone, me disait: si la France était restée encore 2 ou 3 générations, plus aucun algérien ne parlerait arabe.
                          Je lui est répondu: fort possible. Mais en Kabylie ils parleront toujours berbère.
                          Je suis fier qu'Assia ait reçu tout cet honneur.
                          Alors, relativisez! si vous le pouvez et si vous le voulez.

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                          • #58
                            Si j'ai bien suivi cette affaire je crois que assia a été récompensé parce qu'elle était bonne en français.Qu'elle écrivait ds la langue de molière.Alors un peu de retenue si possible.
                            Maintenant qu'elle soit d'origine berbèrophone ou arabophone ce n'est pas trés important.D'ailleurs pendant la colonisation elle a été éxilée au maroc pour enseigner à la fac de rabat je crois.Elle est revenue chez elle aprés l'indépendance.
                            Effectivement elle rêvait de vivre ds son pays librement et fièrement mais d'autres ont pensé autrement d'où son éxil intérieur dans ce qu'elle connait le mieux : la langue de hugo et rousseau.

                            Pour le kabyle, effectivement presque toute la cote d'alger jusqu'à mosta beaucoup parlent bien ou baragouinent le kabyle.Y compris ds les montagnes de l'ouarsenis entourant ain defla, chlef et tissemsilt.Je parle de ce que je connais puisque j'ai de la famille ds ces régions.Particulièrement ds une région entre ténès et cherchell il y a des villages où il n'y a que des blonds aux yeux bleux (en majorité).D'aprés eux, ils sont descendants de vikings échoués avec leurs bateaux.Des vikings parlant kabyle et arabe maintenant.
                            D'ailleurs ils ont une journée chaque année où ils fêtent l'arrivée de la femme blonde échouée avec son bateau et marié à un gars du coin.On l'appelle mama qque chose.
                            Je ne sais pas si c'est une légende ou pas mais en tout cas, eux y croient et sont sûrs de ce qu'ils disent.
                            Il y a même un cinéaste de là-bas qui a fait des reportages sur cette histoire et la région de beni-haoua et alentours.
                            Pour en revenir à mme djebbar, aprés cette virée bienfaitrice au large, disons que cela mérite considération.
                            Dernière modification par tiziplus, 05 juillet 2006, 16h51.

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                            • #59
                              Honnêtement joandemilan, ça te plait ce clivage arabo-kabyle et tu en meurs d'envie qu'il prenne un peu plus d'intensité... ?
                              c'est le fond du probleme.
                              amirouche aussi c'était un kabyle.mais un "mauvais" kabyle.

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                              • #60
                                Job trotter

                                Pourquoi Amirouche serait un mauvais kabyle ??????
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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