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4 enseignants kabyles victimes de racisme à Adrar

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  • #46
    Ca permettra aussi a nos frères kabyles de voir le vrai visage de ses monstres si l'info est fausse,ce n'est qu'une benediction pour le gouvernement.
    tes frères Kabyles connaissent en tous cas sur la toile le vrai visage du MAK, et crois moi, ils haissent cette secte à un point que tu ne saurais imaginer. Quand aux Kabyles au pays, beaucoup d'entre eux n'ont jamais entendu parler du MAK.
    “Le cours évolutif du progrès européen pendant ces trois cents dernières années pourrait se résumer à seulement quatre mots: égoïsme, massacres, impudeur et corruption.” Yan Fu

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    • #47
      depuis 3 siècle après la chute de l'Andalousie les judeo chrétien en algerie ont tout tenter pour mettre le feu entre les tribus mais ils n'ont jamais réussi ..

      vous croyez que les kabyle est un peuple qui vient d'hier..il est ancré ici depuis des millénaires impossible de le faire traine ni le faire bouger..ils sont raisonnable, bien éduquer, des croyants, des droits, des musulmans et plus musulmans que les autres....la seule choses qu'ils ont raté c'est l'établissement chez eux des écoles et grande écoles et polytechnique de l'horticulture...avec ce créneaux ils vont devenir la Californie de l'Afrique en terme de production scientifique technique et richesse...dommage
      Dernière modification par zaki123, 06 octobre 2013, 21h44.

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      • #48
        tu va leur apporté le savoir jusqu'a ce trou perdu au milieu du desert et c'est comme ça que tu est reçu, ça ne m'étonne pas du tout, ce genre d'affaire est présente partout en algérie et depuis fort longtemps, on en parle pas bark, c'est de l'anti-kabylisme qui est est une forme de racisme, et après on te dit que c'est les kabyles les racistes. boumedien a bien forgé son peuple c'est lui qui affichait un antikabylisme décomplexé comme ça
        Dernière modification par Djigo, 07 octobre 2013, 09h16.
        "Win yeččan tayazit' n Iflissen, iheggi-d tin-is"

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        • #49
          ya rbi salama

          les anti kabyles sont comme des mouches sur ce topic!
          wada mou tella tayri g tassa, ar yalla !!

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          • #50
            Arretez vos fausses accusations,je n'ai vu aucun anti-kabile dans ce topic.
            My will is strong,it's my won't that is weak.

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            • #51
              tu va leur apporté le savoir jusqu'a ce trou perdu au milieu du desert et c'est comme ça que tu est reçu,

              Toi, tu apportes le savoir ?

              Tu ne sais même pas ou se trouve Adrar, si ce n'est grâce à google .

              Pour ta gouverne ADRAR ? A ET est un centre de rayonnement intelectuel .

              Son Université s'appelle Université Africaine, car des étudiants de tous les pays voisins viennent si instruire .

              Les enseignants sont de toutes les régions d'Algérie.

              L'Ami qui a démenti l'info est professeur en énérgie renouvelable dans cette université .

              Il est Kabyle de la région de Ain - El- Hammam , plus exactement de TAZROUTS;

              Sais-tu ou cela se trouve , cela m'etonne ,

              Tu es dans un coin perdu en France , ou dans une banlieu d'où tu ne sors jamais , et tu prétends apporter le savoir .
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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              • #52
                c'est de l'anti-kabylisme qui est est une forme de racisme, et après on te dit que c'est les kabyles les racistes
                Tu te trompes de cibles, ce sont le MAK et ses adeptes qui sont racistes, islamophobes, algérianophobes et arabophobes! Ca fait beaucoup de phobie n'est ce pas?
                “Le cours évolutif du progrès européen pendant ces trois cents dernières années pourrait se résumer à seulement quatre mots: égoïsme, massacres, impudeur et corruption.” Yan Fu

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                • #53
                  Le racisme envers les Kabyles a dépassé le seuil de tolérance en Algérie
                  A voir les camps de concentration dissiménés un peu partout en Algérie et où sont parqués par milliers les kabyles portant une etoile jaune et verte sur la poitrine, cela confirme les dires de cette tres serieuse agence de presse "tamurth"

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                  • #54
                    Tammurt est un site de propagande...
                    Parole de modo...

                    Commentaire


                    • #55
                      Tammurt est un site de propagande...
                      Parole de modo...
                      C est la , ou tu avais l'habitude de puiser tes messages , ils ne disent que du bien du roi des croyants et de ses fidèles sujets , c est comme même bizarre !

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                      • #56
                        Sahira
                        La politique de 2 poids 2 mesures,on en a l'habitude vec les algeriens

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                        • #57
                          salam

                          darelbeida

                          Tu aprend vite s est bien

                          Commentaire


                          • #58
                            darelbeida

                            Tu aprend vite s est bien
                            Il peut avancer très vite comme il peut reculer plus vite , il est imprévisible , je pense qu il a un dédoublement de la personnalité.

                            Commentaire


                            • #59
                              Je viens d'apprendre, que cette association " aurait" des liens avec une association d'enfants de harkis de la kabylie, et de recevoir cet article.

                              Chacun jugera .

                              Le commissaire Abdelkader Haroune, chef d'état-major de la sécurité publique dans le Pas-de-Calais, vient de créer l'Association nationale des enfants de harkis pour regrouper ceux d'entre eux qui, partis de rien, ont fait carrière dans la fonction publique



                              )


                              Longtemps, il a gardé le silence. En famille, devant les amis, le sujet était tabou. Il fallait taire ce conflit fratricide, ne rien dire, ne rien faire qui ravive les douleurs de 1962 : l’Algérie, la guerre, le départ. Abdelkader Haroune, 45 ans, sentait bien que son père, patriarche à l'ancienne, souffrait de ce déchirement. Le mot lui-même était banni du discours familial : non, ils n'étaient pas des « harkis » ou des « enfants de harkis », mais des citoyens français à part entière, des naufragés de l'Histoire arrimés à leur choix d'autrefois, contre l'indépendance de l’Algérie.

                              Près de cinquante ans se sont écoulés. Abdelkader Haroune est devenu commissaire de police, chef d'état-major de la sécurité publique du Pas-de-Calais.


                              Comme ses huit frères et soeurs, il a grandi avec cette douleur mémorielle, mais l'a surmontée pour créer, fin 2010, l’Association nationale des enfants de harkis (Aneh). A ses côtés, des policiers, des magistrats, des fonctionnaires, sans distinction de rang ou d'opinion, soucieux de rappeler leur parcours. Si l'initiative est soutenue par des personnalités, dont l'ex-ministre RPR Jacques Godfrain, Abdelkader Haroune se méfie de toute récupération, et s'étonne de la gêne de certains politiques face à ce sujet.

                              « L'idée n'est pas de remuer le passé, dit-il, mais de mettre en valeur notre intégration. Quand nos parents sont arrivés ici, c'était l'an zéro, la pauvreté extrême. Ils se sont sacrifiés pour nous. Notre but est de leur rendre hommage et de montrer que l'on peut s'en sortir à force de volonté. Nous voulons transmettre cette histoire et ce qu'elle a de positif, y compris pour les jeunes issus de l'immigration. Nous ne réclamons pas d'argent, juste une forme de reconnaissance de la République. »

                              Son père choisit la France, et son oncle, le FLN


                              A chacun son destin, au sein de l'association. Mais celui du commissaire renvoie à un village de Kabylie, à l'époque où son père choisit la France, et son oncle, le FLN. L'indépendance, en 1962, sonne l'exode des vaincus. Comme des dizaines de milliers d'autres personnes, les époux Haroune et leurs enfants débarquent à Marseille. Vient le temps de la précarité, des jours de froid et de faim, doublés d'une errance identitaire : les voici « harkis », traîtres pour
                              les uns, parias pour les autres, coincés dans cet « entre-deux » humiliant, mais toujours français.

                              En 1964, ils filent plein nord, à Tourcoing. Le père puis les aînés seront ouvriers chez la Redoute. « C'est grâce à eux, insiste le commissaire, que nous avons pu étudier. » Un à un, les enfants tracent leur voie : Moussa, gendarme ; Saïd, commandant de police ; Maxime, capitaine de CRS ; Ali, vice-président de la cour d'appel de Douai... Et le commissaire, donc, vite repéré par sa hiérarchie. Les insultes taguées sur les murs de Roubaix quand il dirige le commissariat local ne l'empêchent pas de s'imposer.

                              En 2006, il découvre l’Algérie en animant un stage pour les policiers locaux. « A leurs côtés, j'ai vécu des moments très forts, se souvient-il. Eux, les fils de fellaghas, m'ont adopté de suite. J'ai assisté à des mariages, à des repas de famille. L'un d'eux a même pris le risque de m'emmener, en civil, dans le village paternel, au coeur d'une zone dangereuse. Mon père, qui n'a pas remis les pieds là-bas, m'a engueulé en l'apprenant, mais je crois qu'au fond il était heureux. Jamais je n'oublierai cette visite. Ma vision du peuple algérien a changé. »
                              Au village, il rencontre son oncle, l'homme de la rupture de 1962. Ensemble, ils vont sur les tombes des anciens. Quand un vieillard demande qui donc est cet inconnu, l'oncle lui lance : « C'est un jeune qui a de l'argent mais auquel il manque l'essentiel : ses racines. »
                              J'ai toujours soutenu que les enfants de harkis ne sont pas responsables des actes de leur père, et qu'ils ont le droit de venir visiter le pays de leur ancêtre .
                              Que personne ne vienne me donner des leçons de patriotisme, il tombera trés mal .
                              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                              • #60
                                Iska

                                De quel association tu parles ?

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