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VIADUC DE L'INDÉPENDANCE (AHMED-BEY) Une huitième merveille à Cirta
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Je maintiens que les algériens ne disent jamais " n'ti" pour un homme
si,dans certains parlers citadins pré hilaliens , la forme féminine est appliquée dans l'interpellation des hommes , le "s" précédant le "t" est également une particularité phonétique de ces parlers ( bougie ,jijel ,constantine ..etc)
ça a tendance à disparaître à cause de l'exode rurale et de l’homogénéisation des différents parlers.ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)
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OK .....donc c'est toi le plus récent et non la spécialité 'hoummouss" .....Benabi témoignait se restaurer chez le hmamssi en face de la maderça quand il était étudiant !!!
Au fait, un célèbre chanteur Malouf en prenait régulièrement ......ça améliore sa voie disait-il .....
La cuisine destinée aux "pauvres" n'était pas malheureusement à inscrire dans le patrimoine de la ville. Il en est ainsi de la zelabia ou de la hrissa qui étaient proposés à longueur d'années par les fetairi tunisiens et qui au matin servaient leurs beignets à ceux qui s'en contentaient avant d'aller au travail. Aucune famille en vous recevant à table ne vous proposerait ces douceurs qui rencontrent pourtant un succès énorme le mois de jeûne.
Pour le houmouss, il doit en être de même. Entre les deux guerres, famine tenaillant le peuple , le plat du pauvre a été proposé pour les indigents.
BENABI étudiant à Constantine , au maigre budget , fréquentait le hemamsi plutôt que le tabekh - restaurateur - connu qui était installé plus près de la médersa ou les kebabdjia qui offraient aux alentours têtes de mouton et brochettes accompagnés de leben.
Le chanteur qui prenait du houmouss pour sa voix ? Un mythe ou une histoire de pub. Le plus célèbre de la ville est issu d'une famille installée à Constantine depuis quelques générations et qui était devenue plus beldia que les beldi. Miel et serviette autour de la gorge pour la préserver au chaud ses cordes vocales.
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salut iska
si,dans certains parlers citadins pré hilaliens , la forme féminine est appliquée dans l'interpellation des hommes , le "s" précédant le "t" est également une particularité phonétique de ces parlers ( bougie ,jijel ,constantine ..etc)
ça a tendance à disparaître à cause de l'exode rurale et de l’homogénéisation des différents parlers.
Bougie je ne sais pas. Mais à Jijel c'est très différent de Constantine. C'est prestque un tcha et non pas un tsa.Je deviens paranoïaque pour certains mais en réalité j'ai appris des choses dont je ne soupçonnais guère l'existence.
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Le s succède au t.
Bougie je ne sais pas. Mais à Jijel c'est très différent de Constantine. C'est prestque un tcha et non pas un tsa.
oui à jijel ca ressemble plus à un "tch" mais ca tiens de la même origine.ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)
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Le mehlbi était bien servi dans des bols accompagné de chrik , petits pains briochés maison. Adaptation du café au lait et des croissants de l'occupant ?
je t'explique : tu as bien dit plus haut que le mhelbi est préparé lors des fêtes .....Effectivement, en fin de soirée vers le sobh ou si tu veux à l'heure du shour, on sert le smat : mhelbi, schrik et fruits (poires ou pommes) .....Le mhelbi tout comme pour le djari est servi dans un plat pour plusieurs personnes ....Peut-être que le fils du bachagha prend ça tout les matins au petit-déjeuner dans son bol
Le qazan est bien le chaudron militaire que le hemamsi , beldi , lui même emploie dans le sens péjoratif de cuisine de collectivité pour nourrir les barania .Qu'il soit d'origine turc ne change rien.
Okn donc tu es au moins d'accord que le qazan est un chaudron en turc.....que tu veuilles lui associer les trirailleurs, c'est ton problème !
Pour le Constantinois c'est la "tandjra" grand récipient que possédaient , en double , les familles aisées et qui était prêté aux voisins à l'occasion de festivités familiales . Régulièrement , une fois par an au moins, les femmes en procédant au grand ménage chez elle - astiquaient tous leurs cuivres tandjrates comprises.
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Pour le houmouss, il doit en être de même. Entre les deux guerres, famine tenaillant le peuple , le plat du pauvre a été proposé pour les indigents.
BENABI étudiant à Constantine , au maigre budget , fréquentait le hemamsi plutôt que le tabekh - restaurateur - connu qui était installé plus près de la médersa ou les kebabdjia qui offraient aux alentours têtes de mouton et brochettes accompagnés de leben.N'oublies pas que le tabbekh faisait lui aussi du hoummous !!!
La cuisine destinée aux "pauvres" n'était pas malheureusement à inscrire dans le patrimoine de la ville. Il en est ainsi de la zelabia ou de la hrissa qui étaient proposés à longueur d'années par les fetairi tunisiens et qui au matin servaient leurs beignets à ceux qui s'en contentaient avant d'aller au travail. Aucune famille en vous recevant à table ne vous proposerait ces douceurs qui rencontrent pourtant un succès énorme le mois de jeûne.
Pour sûr que le ftayri n'allait pas crier le matin "ftayer" dans la rue ou habite le bachagha .....Par contre dans les familles humbles de Constantine on préparait des beignets pour le petit-déjeuné ....le schrikk chez le bachagha ...de sorte que ce dernier décide d'inscrire que le schrik au patrimoine culinaire de la ville .....Comment ça doit être une ville habitée que par des bachagha ?!
Le chanteur qui prenait du houmouss pour sa voix ? Un mythe ou une histoire de pub. Le plus célèbre de la ville est issu d'une famille installée à Constantine depuis quelques générations et qui était devenue plus beldia que les beldi. Miel et serviette autour de la gorge pour la préserver au chaud ses cordes vocales.Dernière modification par confiture, 31 juillet 2014, 17h35.
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Chacun se prend pour un beldi comme il veut .....un autre avec du schrik et du mhelbi dans son bol
En famille l'assiette commune ou individuelle était plus commune
c'est en cherchant dans mes souvenirs que j'en suis revenu au houmous et à son gros bol.
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le bol dans le mehalbi , je l'ai cité quand j'ai voulu me souvenir des occasions où la gharfia était utilisée. Mehalbi servi dans un bol à l'occasion des fêtes et de beaucoup d'invités. Pour des raisons hygiéniques ?
En famille l'assiette commune ou individuelle était plus commune
Et je t'ai dit aussi :..Sinon, vaut mieux pour toi de ne pas parler du "mhellbi" servi dans des ....bols ...du moins dans le Constantine populaire
Aya terbeh !!!Dernière modification par confiture, 31 juillet 2014, 18h16.
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En arabe avec référence à un pouvoir turque.
Mon père se retournerait dans sa tombe.
L’œuvre de falsification continue.
C'est toi qui falsifie notre identité multiple et fait de plusieurs héritages.Dernière modification par Arbefracom, 31 juillet 2014, 18h29.Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir
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J'ai bien precise que je serais heureux d'apprendre pourquoi Constantine est,comme vous le dites,la capitale de l'Est et si tu ne peux pas le faire evites de traiter d'ignorants ceux qui veulent apprendre.tu tombe je tombe car mane e mane
après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur
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a une époque , il y'avait 3 pharmacie " centrale " ...une a alger , une autre a oran et wa7da a constantine , concrétement ..toutes les pharmacie de l'est du pays recevaient leur médoc de constantine, idem pour les pneu , l'état avait 3 centre de distributions , chaque region d'algerie ce fournisser chez ça " capitale" pour la piéce détacher pareil...les academis scolaire , pareil 3 zone , pour l'est c'était constantine, pour le bac...pareil 3 centre de bac , pour la semoule.., pour les banque..( je crois) ......etc etc ...voila guediri pour quoi nous avons pris l'habitude de dire , la capitale de l'est ....
Pour la culture Constantine restera à jamais la capitale de l'Est. Entre Cirta et Oum el Bouaki , hachakoum comme dirait l'autre y a pas photo. Le palais du chaoui er est habitué à la rude tamina maison ou la zalabia du tounsi mais la bakaoua pour lui était inconnue. Avec tout le respect que je dois à mes compatriotes de toutes régions.
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les jeunes habitués aux wilaya actuelles pensent qu'il en a toujours été ainsi. A l'indépendance l'Algérie avait encore trois départements avec trois préfectures avec comme chef lieu - capitale - Alger, Oran et Constantine
Tu es sûr que tu étais mature à l'époque .
je croyais qu'il y avait 15 departements , dont le departement des Oasis, le plus vaste par sa superficie, suivi du département de la Saoura.
Il y avait aussi le departement de saida, du Titteri(Médéea) Tlemcen.
Cherche et tu trouveras les autres" Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "
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Bizarre trois départements, à l'indépendance .)
tu tombe je tombe car mane e mane
après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur
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