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L'Algérie sera un pays développé dans cinq ans selon Ali Haddad !

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  • #76
    necrophilie

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    • #77
      Un peu d'humour pour ceux qui croient le khorti de Hadade ou de said Bouteflika

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      • #78
        Aggour:

        Nous ne sommes pas des coréens du sud, çàc'est ssûr et je crois que nous ne voulons pas l'être, nous sommes des algériens et nous avons aussi réalisé des choses que d'autres peuples ne réaliseront jamais!
        Ah oui ?? Faut donner des faits.

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        • #79
          Ok mais en dehors de l argent, il y a quoi en Algérie ????

          Faut arreter de prendre les algeriens pour des idiots !
          __________________
          Il y a le complexe pelles et grues , compacteur compresseur et chariots elevateurs a Ain Smara, Constantine.
          il y a moteurs-tracteurs au Khroub, vehicules industriels à Rouiba, le projet plastique à Setif, la Siderurgie à Annaba, La sonelec à Tizi Ouzou, les produits pharmaceutiques à Medea, les machines agricoles, robinetterie, Candor (PC et Tablettes), la plus belle palmeraie du monde et sa deglett Nor, la mitidja et des milliers d'autres petites et moyennes entreprises qui apprennent chaque jour et inchallah seront au rendez-vous le jour J.

          Merci Monsieur Haddade pour cette precision et pour cet optimisme.
          Mon conseil: FONCEZ, nous sommes avec vous.

          Aigle

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          • #80
            Pourquoi pas?! inch'Allah !

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            • #81
              AigleNoir:

              Comme j'aimerais partager ton optimisme. Mais on ne change pas
              un pays sclérosé dont le travail ne fait pas partie de ses valeurs en cinq ans.

              Et on ne réussit pas en cinq ans ce qu'on n'a pas réussi en cinquante.
              Dernière modification par 30pourCent, 27 mars 2015, 22h20.

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              • #82
                Les deux tares de l’économie algérienne, selon l’ancien patron du FMI
                TSA DU 07/12/14
                ...
                Michel Camdessus effectue, par ailleurs, une analyse des raisons qui ont mené à la situation économique catastrophique des années 80/90. Selon lui, l’Algérie postcoloniale a été « handicapée d’une double tare : les mirages soviétiques d’une planification centrale conduisant à de formidables gaspillages de la rente pétrolière et un interventionnisme colbertiste de la pire espèce, hérité de son colonisateur, dont il ne fera qu’accentuer les travers. » Une analyse qui pourrait toujours sembler d’actualité aujourd’hui, 20 ans après les premières négociations avec le FMI.
                Analyse pertinente, à laquelle on peut ajouter des atteroiements politiques de décolbertisation, qui font que toute démarche dans ce sens devient hyper politisée, par les populations et une gouvernance gangrénée par les conflits d'intérets à un niveau innégalée, pour des enjeux d'appareils d'exercice de pouvoir, de clientelisme, de physionomie structurelle de son économie dominée par le secteur publique ainsi qu'une assiette fiscale dominée par la rente, et une incapacité intellectuelle des élites politiques à s'émanciper du colbertisme...

                Quant au débat d'idées, il est quasi inexistant. Les "élites" sont obsédés par les pamphlets politiques, plus graves, sont incapables de s'émanciper des enjeux politiciens, sur n'importe quel sujet, économique, de société, éducatif...
                Dernière modification par ott, 28 mars 2015, 06h04.
                Othmane BENZAGHOU

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                • #83
                  @Hboum

                  Sages paroles. Malheureusement, les citoyens ne sont pas toujours intéressés par les débats d'idées, mais par les pamphlets politiques. Tout sujet est transformé comme tel, ca va du gaz de schiste, à la croissance, au développement, au taux de change... C'est devenu une déformation chez les algériens, alimenté par un journalisme déplorable, qui lient tout leur problèmes à la politique, qui est malheureusement un des travers de l'organisation de l'Algérie post-indépendante, et d'un étatisme centralisé absolue, incapable de trouver un modèle consensuel de modernisation.

                  A se demander si les algériens sont incapables de débats d'idées sereins et respectueux, ou que cette phase de libération de la parole, de l'apprentissage démocratique s'accompagne d'un bruit assourdissant de cris, d'une anarchie des projets et des idées, qui est caractéristique des phase de remses en cause des ordres établis.

                  La déclaration de Haddad faite après des signatures en terre italienne, au delà des effets d'annonces, qui sont devenus des marques de fabrique, contiennent la volonté d'entreprises italiennes, des PME, comme c'est le cas avec d'autres entreprises portugaises ou espagnoles et francaises d'étendre leur chaine de valeur en colocalisation avec l'Algérie. L'Algérie a tout à y gagner et peut s'inscrire dans une intégration régionale dans un schémas d'échange industriel gagnant-gagnant. Sur les gros projets, ce sont les entreprises publiques et le FNI qui ont été impulsé politiquement, et il est intéressant que les entreprises privées puissent dans ce cadre développer des partenariats, comme c'est déjà le cas en Algérie dans certains secteurs depuis des dizaines d'années, meme si l'impulsion politique tantot souhaitée par ci, par colbertisme caricatural, tantot dénoncée par là, pose des questionnements de divers sortes...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #84
                    Corruption et développement

                    Mafia sicilienne et corruption gangrènent le Québec
                    Le Monde.fr avec AFP | 15.10.2012 à 20h09 • Mis à jour le 16.10.2012 à 08h59 | Par Hélène Sallon


                    Soigneusement peigné et engoncé dans un costume sombre soulignant son imposante carrure, Lino Zambito témoignait une nouvelle fois, lundi 15 octobre, devant la commission d'enquête sur la corruption au Québec, dite commission Charbonneau. L'allure empruntée, l'entrepreneur québécois de 43 ans a mis au jour, impavide, un nouveau pan de l'affaire qui fait trembler le monde politique. Infiltration de la mafia dans l'industrie de la construction, fonctionnaires soudoyés, contrats publics contre pots-de-vin à des responsables politiques et syndicaux... Tous les ingrédients sont réunis pour tenir en haleine la Belle Province, suspendue aux aveux des témoins appelés à se succéder devant la commission jusque fin 2013.
                    Depuis les premières révélations dans les médias, il y a quatre ans, de l'existence d'un cartel d'entrepreneurs, pour la plupart d'origine italienne, régnant sur l'industrie du bâtiment et des marchés publics dans la municipalité de Montréal, se dessine peu à peu un système mafieux tissé à l'échelle provinciale et portant sur des millions de dollars canadiens. Pour démêler les fils de ce scénario digne du Parrain de Coppola, des experts en criminalité organisée venus d'Italie et des Etats-Unis ont même été sollicités, comme le célèbre ancien agent spécial du FBI Joseph Pistone, alias "Donnie Brasco".
                    D’ici au 19 octobre 2013, la commission Charbonneau doit tenter de déterminer si des systèmes de corruption et de collusion ont perverti le processus d’octroi des contrats publics depuis quinze ans au Québec et détourné une partie des comptes publics du gouvernement, des municipalités ou d’autres organismes publics. L'affaire pourrait porter un dur coup au Parti libéral du Québec (PLQ), dont des membres au niveau local et provincial ne cessent d'être mis en cause au fil de l'enquête. Ce qui explique, selon les observateurs, que l'ancien premier ministre libéral Jean Charest, vaincu le 4 septembre par les indépendantistes du Parti Québécois (PQ) et encore épargné par ce scandale, ait attendu jusqu'en novembre 2011 pour créer la commission d'enquête sur l'octroi et la gestion des contrats publics dans l'industrie de la construction (CEIC)

                    LES RÉVÉLATIONS DU RAPPORT DUCHESNEAU
                    L'ampleur de l'affaire avait été révélée avec la publication durant l'automne 2011 d'un rapport sur un système organisé de collusion à grande échelle, au sein du ministère des transports, rédigé par l'ancien directeur de l'Unité permanente anticorruption (UPAC), Jacques Duchesneau. Le ministère des transports est le plus grand donneur d'ouvrage du gouvernement dans ce secteur, qui représente la première activité industrielle au Québec. L'ancien chef de la police de Montréal y mettait en garde contre une "infiltration, voire une prise de contrôle de certaines fonctions de l'Etat" par des groupes cherchant à détourner des fonds publics.
                    Selon ce rapport, les quelques grandes firmes de génie-conseil qui dominent désormais le secteur du bâtiment s'associent à des entreprises de construction pour frauder le gouvernement. Ces entreprises et firmes s'entendent entre elles pour se répartir les marchés. Traditionnellement, les organisations criminelles sont très présentes sur ce secteur, contrôlant soit des firmes par l'intermédiaire de prête-noms ou leur prélèvent des commissions. La construction, secteur où beaucoup des transactions s'effectuent en argent liquide, leur offre ainsi la possibilité de recycler l'argent sale, notamment par le biais de fausses factures et de surcoûts.

                    Lors de son audition devant la CIEC en juin 2012, Jacques Duchesneau, devenu depuis député de la Coalition avenir Québec (CAQ), a produit un rapport personnel dans lequel il dévoile le financement illégal des partis provinciaux et municipaux. Les firmes de génie se verraient dans l'obligation de faire des dons pour obtenir des contrats publics et participent aussi directement à l’organisation d’élections "clés en main". Selon ses estimations, 70 % des dons aux partis sont de nature illégale.


                    LE SCANDALE VU DE L'INTÉRIEUR

                    Première audition devant la commission Charbonneau
                    de Lino Zambito le 27 septembre
                    En témoin vedette, Lino Zambito éclaire de l'intérieur, depuis le début de ses auditions, le 27 septembre, les mécanismes de ce système bien huilé. Dans de premières révélations, l'homme a mis en lumière la corruption de certains responsables de la mairie de Montréal sur ce marché juteux qu'une poignée d'entrepreneurs se partagent. L'ex-dirigeant de l’entreprise en bâtiment Infrabec a affirmé avoir dû verser 3 % de la valeur de contrats obtenus par son entreprise dans la capitale provinciale à Union Montréal, le parti du maire Gérald Tremblay, soit plus qu'à la mafia, qui ne prélevait, elle, que 2,5 % sur ses contrats. Ses révélations ont conduit la ville à suspendre l'octroi de contrats portant sur la construction de routes, d'adductions d'eau ou d'égouts. L'ancien entrepreneur a décrit un système similaire dans la municipalité de Laval, ainsi que dans d'autres villes de la province.
                    L'entrepreneur a également livré des aveux accablants sur le financement illégal aux plus hauts échelons du parti libéral. Lino Zambito a ainsi indiqué avoir organisé en 2008 un cocktail de collecte de fonds pour la vice-première ministre libérale de l'époque, Nathalie Normandeau. Ce cocktail aurait permis de collecter 110 000 dollars, versés par des entrepreneurs utilisant des prête-noms et qui se remboursaient par fausses factures, mais, selon M. Zambito, le PLQ n'en a déclaré que 77 500. Pour le bien du "développement de ses affaires", l'homme dit en outre avoir envoyé quarante roses à Mme Normandeau à l'occasion de son 40e anniversaire et l'avoir invitée dans la loge de son entreprise lors d'un concert de Céline Dion à Montréal.
                    La liste des hommes politiques ayant bénéficié des largesses de Lino Zambito s'allonge au fil des audiences. Ont ainsi été cités l'ancienne ministre de l'environnement, Line Beauchamp, et l'ex-chef de Vision Montréal, Benoît Labonté. Au total, Lino Zambito et ses proches, des membres de sa famille et des employés d'Infrabec, auraient versé plus de 88 000 dollars de 2001 à 2009 principalement au PLQ. Mais, a noté la commission, M. Zambito aurait également donné au Parti québécois et à l'Action démocratique du Québec.


                    LA MAFIA TISSE SA TOILE

                    Donnie Brasco Bande-Annonce VF Vidéo gotti57 sélectionnée dans Cinéma
                    Bande-annonce du film Donnie Brasco,
                    réalisé en 1997 par le Britannique Mike Newell
                    Ce vaste scandale de corruption porte l'empreinte de la mafia sicilienne, avec des ramifications jusqu'en Italie et aux Etats-Unis. Les noms de nombreux membres présumés du crime organisé, et notamment de gens proches du clan dominant montréalais des Rizzuto, sont revenus au cours de l'enquête, cités notamment par les témoins. Ce volet de l'affaire doit être abordé plus en détail dans une seconde phase par la commission Charbonneau. Elle a à cet effet obtenu, non sans difficultés, de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) qu'elle partage le fruit de son enquête magistrale contre la mafia, nommée Opération Colisée. L'opération a permis de porter un coup fatal au clan Rizzuto en 2006, avec l'arrestation de 73 personnes, parmi lesquelles l'ancien parrain, feu Nicolo Rizzuto, pour gangstérisme, trafic de drogue, bookmaking et corruption de fonctionnaires fédéraux.
                    Un témoignage inédit (en vidéo) sur la proximité entre mafia montréalaise et new-yorkaise a été apporté par "Donnie Brasco", qui est revenu dans l'audience du 24 septembre sur ses années passées à espionner la pègre new-yorkaise. Parmi les cinq grandes familles qui dirigent la mafia de la Grosse Pomme, il est en particulier revenu sur les pratiques de la famille Bonnano, qui entretenait des relations suivies avec le clan des Rizzuto. Son enquête, popularisée par le réalisateur Mike Newell en 1997, avait révélé que pour faire main-basse sur les contrats dans l'industrie de la construction, les cinq familles mafieuses new-yorkaises s'étaient notamment associées dans ce qu'elles appelaient "The Club". Créant leurs propres entreprises, ou prenant le contrôle d'autres, les criminels étaient parvenus à contrôler une bonne partie de cette industrie juteuse.
                    Hélène Sallon
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #85
                      L'Algérie sera un pays développé dans cinq ans selon Ali Haddad !


                      Mais quel tahane, car en cinq ans il peut:

                      1 creer une population eduquée

                      2 creer une systeme educatif performant

                      2 un systeme d santé du type occidental

                      etc ....

                      AHHHHHHHH LE MINABLE

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                      • #86
                        Mais quel tahane, car en cinq ans
                        Ramane tu es Tunisien???
                        Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                        • #87
                          Un HS pour commencer:
                          le jour du décé de l'acteur Roger Hanin l'avion presidentiel se deplace pour honorer l'homme et le ramener pour etre entérré à Alger
                          Cette rumeur n'a pas été confirmée. La dépouille de Roger Hanin a été transportée vers Alger dans un avion des lignes régulières.

                          En restant au niveau de l'affirmation d'Ali Haddad telle que rapportée (textuellement ?) par Algérie-Focus:
                          "l’Algérie, d’ici quatre à cinq ans, passera de pays importateur à un pays exportateur"
                          Ce qui est en soi une énormité qui prend les Algériens pour des tarés congénitaux et qui renseigne sur "le document" concocté par le sieur Haddad.

                          On dit chez moi que الجاهل ماشي ألّي راسو خاوي، الجاهل ألّي راسو مْعَمّر بَالشّْكيل (l'ignorant ce n'est pas celui dont la tête est vide mais c'est celui dont la tête est pleine d'inutiles bêtises).

                          Quand le patron du syndicat des patrons lance à tout vents des bêtises pour réduire le débat sur des questions vitales pour le pays à même pas des discussions de comptoir, on a alors incontestablement affaire à une tentative d'escroquerie, de détournement d'attention pour détourner en grand et en paix, et pour nous berner, nous le bon petit peuple. Malheureusement pour le sieur Haddad, il est comme le singe qui, plus il monte haut mieux on voit son derrière.

                          L'Algérie a déjà été depuis toujours et est toujours un pays exportateur; avec, pendant longtemps, une balance du commerce extérieur excédentaire, c'est à dire que le montant de ses exportations est supérieur à celui de ses importations (financièrement, l'Algérie a donc longtemps été plus exportatrice qu'importatrice).

                          La plupart des pays développés, USA, France, Royaume Uni, etc., ont par contre une balance du commerce extérieur déficitaire.

                          Manifestement, le sieur Haddad veut vendre à l'Algérie quelque chose qu'elle a déjà. Le "document à mettre en place" ne vise-t-il pas plutôt le changement officiel de l'identité de l'exportateur des principales matières exportées par l'Algérie ? Le sieur Haddad et ses protecteurs ne se suffisent plus de millions de dollars, ils veulent s'accaparer des milliards de dollars sous couvert d'une législation taillée sur mesure.

                          Rappel d'une banalité à laquelle les propos du sieur Haddad réduisent la discussion: tous les pays du monde, quel que soit leur niveau de développement, sont à la fois importateurs et exportateurs (quelle découverte!!!) La véritable question est de savoir d'abord qu'est-ce qu'on exporte et qu'est-ce qu'on importe; plus encore et derrière cela, qu'est-ce qu'on produit, comment on le produit, comment sont répartis et à quoi sont affectés les fruits de l'activité économique, et qu'est-ce qu'on doit obligatoirement importer pour maintenir et renforcer cette activité économique; bien plus encore: globalement, vers quelle société on voudrait tendre à travers cette activité économique. On voit bien que c'est quelque chose qui est largement au dessus des prétentions du petit document que le sieur Haddad voudrait "mettre en place".

                          Sortir de l'économie de rente pour aller vers une économie de production diversifiée incluant des activités à haute valeur ajoutée est le résultat de longs et complexes processus dont toutes les étapes sont âprement négociées au plan interne et externe. Définir des démarches pour cela ne peut en aucun cas être le résultat de cogitations et délires d'un parvenu ou d'un groupe d'individus même très sages et très puissants, mais celui de politiques complexes, largement débattues, consensuelles et correctement mises en oeuvre et remises à jour.

                          Pour conclure:
                          "Malgré son imbécillité, le riche parvenu se croit sage".
                          Dernière modification par benam, 28 mars 2015, 09h52.
                          "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

                          Commentaire


                          • #88
                            Si je peux me permettre de donner un avis extérieur ...

                            La republique-FLN a échoué, elle provoque des tensions et du chaos qui menace la stabilité même de l'État
                            L'Algérie a besoin de tourner cette page , après tout la France est a sa cinquième république , elle a besoin d'un nouveau projet de société qui puisse donner de l'espoir a une population majoritairement jeune
                            Une nouvelle vision de ce que doit être l'Algérie dans un monde qui a profondément changé depuis 62 et surtout qui va connaitre encore de gros changements
                            Ce changement de cap aurait du être fait durant les années de pétrole cher , il sera plus difficile maintenant ...a moins que les cours de l'or noir remontent
                            Un processus de démocratisation négocié ou pas ,parait difficile a mettre en oeuvre dans un contexte régional tendu . il supposerait de longue négociation entre les différents acteurs de la société civile comme en Tunisie ....hors le temps manque
                            Reste l'option d'un homme fort qui sortirait des coulisses du pouvoir avec un projet de société viable et capable d'imposer des choix qui seront obligatoirement douloureux dans un premier temps mais payant sur le long terme

                            Commentaire


                            • #89
                              @Chouan

                              si tu es Algerien regarde mon avatar tu sera d'ou je viens mon ami

                              Commentaire


                              • #90
                                @Tizout

                                La situation politique algérienne est aussi artificielle que celle du Maroc. A la différence qu'il y a plusieurs appétits qui se manifestent, avec leurs bataillons respectifs. Le FLN est l'un des bataillons, et n'est meme plus le principal acteur. Il a été siphoné depuis bien longtemps par de nouveaux entrants, et continuera a etre siphoné. Le drame est que les nouveaux entrants font du FLN new look, mais sont incapables de construire un projet alternatif, et l'opposition théatrale, est là pour faire du bruit, comme les acteurs de théatre, en espèrant démultiplier les représentations du spectacle en cours, replire les salles et les tickets associés...

                                Le prochain gouvernement sera un gouvernement d'union national présidé par Hamrouche, et dirigé par le parti majoritaire. C'est ma conviction. Est ce que Hamrouche sera président en 2019, ou avant, c'est un enjeux. D'autres candidats au poste se bousculent, à savoir Benflis, Ouyahia ou Sellal. Ouyahia espère passer par un "heureux accident de l'histoire", et a ses chances, et Benflis, ca le fait courir, mais comme il a une tete de champion du monde, il jouera toujours le role du lièvre... Quant à Sellal, lui meme n'a pas autant de prétentions, et constitue un scénario utile pour occuper la scène...
                                Othmane BENZAGHOU

                                Commentaire

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