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rumeur d’un mandat d’arrêt lancé contre Rabrab

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  • mmis_ttaq-vaylit: aya, qui nierai tout ce qui se dit là ? chiche.

    On vient chercher la paix parmis les siens et on en ressort, en partie, decourage', dec.u, sans espoir d un changement menant a la lumiere...

    L Algerie, nous, meritons mieux que cela ...
    ça doit être cette dernière certitude qui fait que tu y revienne encore, elle n'est pas une illusion ni éphémère, certains lui ont même trouvé un nom...avoir l’espoir.

    Leftissi:
    Apres relecture pour comprendre la source du malentendu, j'ai saisi.

    Je ne qualifie pas ta personne, j'illustrait un etat d’esprit, et au fond ça n'a rien à voir avec toi du tout, ni avec aucun échange précédent entre les autres.

    Ca sera retiré si tu préfères. PS: je te le propose ici car je n'ai pas accès à ta MP.
    Dernière modification par GLP, 10 octobre 2015, 18h18.
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    • euh.. un petit commentaire personnel avec ton article là que t'as fait l'effort de retrouver dans les placards de 2013


      GLP

      Sucre : l’État veut casser « le monopole » de Cevital


      « Le problème de « monopole » du sucre sera réglé définitivement dans moins d’une année avec l’entrée en service de nouvelles raffineries », a affirmé Bakhti Belaib, ministre du Commerce, lors d’une visite effectuée, ce dimanche 11 octobre, à la Grande raffinerie oranaise de sucre située dans la commune de Tafraoui à Oran

      Faisant allusion au groupe d’Issad Rebrab, sans le citer, Bakhti Belaib a évoqué l’existence « d’une situation de monopole de fait du marché ». « La loi ne le permet pas », a-t-il rappelé.

      .tsa-algerie
      11 octobre 2015

      Ce mot revient souvent quand ils parlent de monsieur rebrab ... vu que toufik a sauté maintenant tout le monde peut importer du sucre il y a pas de blocage ...

      Commentaire


      • JAMES:
        Ce mot revient souvent quand ils parlent de monsieur rebrab ... vu que toufik a sauté maintenant tout le monde peut importer du sucre il y a pas de blocage
        Oui, on a fait de ce mot le synonymes de Rebrab effectivement, mais les faits montrent qu'il n'en est rien (Rebrab produit la moitié de la consommation algerienne, l'autre moitié est importée).

        Personnellement, je pense que les officiels le pensent "sincèrement" et de bonne foi, c'etait le but derrière la dernière manipulation du marché du sucre: leur faire croire qu'il y a monopole et que ça peut rééditer leur dernier cauchemar des événements du sucre et de l'huile, pour que l'Etat à travers eux soutienne les nouveaux "arrivants" dans ce secteur.

        Sinon, pourquoi ceux qui voulaient l'investir ne l'ont pas fait avant ? n'avaient ils pas des "toufiks" sur qui s'adosser ? faux: on sait que beaucoup sont les sous traitants de généraux. n'ont ils pas le financement ? faux: on sait que des milliers de milliards sont sous leur contrôle et le square port said en est le symptôme contre lequel on a réduit l'action de cet Etat pour la réduire à un traitement de la fièvre symptôme d'une intoxication.

        Tricheurs de métier, ils manquaient de concurrence déloyale, car incapables de battre honnêtement un Homme d'affaire de l'habilité de Rebrab. Et le peuple que nous somme n'est que l'instrument, le ba3 ba3 qu'on agite (à travers ses besoins les plus élémentaires, en l’occurrence ici: son tube digestif) contre l'Etat.
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        • Elle n'a pas fini de faire des vagues cette histoire .

          L'autorisation accordée à 3 hommes d'affaires pour des usines d'huile est une des vagues

          une déclaration d'un ancien président de l'APN


          Abdelaziz Ziari à propos de CEVITAL

          “Ce qu’a fait Bouchouareb est déplacé !”

          Pour l’ancien président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari, l’inexpérience d’Abdelmalek Sellal et de son gouvernement laisse entrevoir que des personnes, outre le président de la République, ont de l’influence. La querelle entre Rebrab et Bouchouareb en est, à ses yeux, l’illustration.

          Dans un entretien accordé hier au quotidien arabophone El-Khabar, Ziari, a, en effet, pris la défense du patron de Cevital, Issad Rebrab, en écorchant, au passage, et sans le nommer, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, dont il a estimé le propos “déplacé” et l’attitude “indigne d’un ministre de la République”. “Tout le monde a dû remarquer comment un ministre s’est comporté avec l’homme d’affaires Issad Rebrab. Il n’aurait pas dû l’attaquer comme cela”, a-t-il regretté. Et de déclarer : “Un ministre de la République doit parler de manière générale en se contentant des politiques de son secteur. De là à cibler une personne bien déterminée, c’est déplacé. Surtout lorsqu’il s’agit de Rebrab. J’aurais aimé qu’il y ait 1 000 ou 10 000 Rebrab en Algérie.”

          Selon les termes de Ziari, Cevital est une success-story. “Rebrab a réussi à la sueur de son front et son attitude est exemplaire. Je me souviens quand un ancien chef de gouvernement dans les années 1990 — que je ne veux pas citer — a demandé à l’administration fiscale de vérifier si Rebrab payait ses impôts. Il y a des responsables qui n’admettent pas que les gens construisent des fortunes. C’est un complexe maladif chez eux”, a-t-il dit.

          Il est néanmoins facile de déduire que l’ancien P/APN parle de l’ancien chef de gouvernement Belaïd Abdeslam. Ziari a même rappelé que certains ont voulu faire endosser la responsabilité des émeutes de 2011 à Rebrab. Et de révéler : “La commission parlementaire d’enquête que j’ai mise en place quand j’étais P/APN a conclu que Rebrab n’avait rien à voir avec ces évènements.”
          Abdelaziz Ziari a, en tout cas, écarté le fait que les attaques contre Rebrab soient télécommandées par une plus haute autorité, qualifiant ces assertions de “surenchères”. “Je pense que c’est un mouvement de personnes à qui on n’a rien demandé. Peut-être que cela est lié à des animosités personnelles de Rebrab avec certains responsables. J’ai, de toute façon, des choses à dire sur ce sujet, mais pas aujourd’hui”, a-t-il conclu, sans nommer, encore une fois, Abdesselam Bouchouareb.

          L. H.
          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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          • Voilà ce qu'on vien faire sous notre propre ciel, non pas d'autres cieux: on vient y draguer nos rejetés, au nez et à la barbe de nos gouvernants.

            Sois ces soudanais sont débiles, sois on est trop futés.

            Quelle honte.
            Dernière modification par GLP, 14 octobre 2015, 08h35.
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