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Ces djihadistes algériens qui vont mourir en Irak

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  • #16
    Deuxième partie des djihadistes algériens qui vont mourir en Irak

    Partir faire son Djihad en Irak c'est aussi prendre le risque de rejoindre les fous du GSPC et par ricochet les fous d'Al Quaîda , de tuer d'autres musulmans, de tuer des civils femmes enfants, au nom de quoi? Aller partir faire la guerre est toujours ôter la vie à des hommes femmes enfants.

    ===

    D’obédience sunnite, la quasi-totalité des Algériens djihadistes présents en Irak sont intégrés dans les groupes salafistes.


    Le démembrement des groupes armés en Algérie a poussé les jeunes tentés par la radicalisation vers des zones du «djihad net», c’est-à-dire vers des endroits du monde arabe et musulman où la notion du djihad est portée contre un ennemi dont la «non-islamité» ne fait pas de doute, comme c’est le cas avec le type de guerre qui se déroule en Irak. Un rapport des Renseignements généraux, révélé en novembre 2006 par le magazine L’Express, affirme que de plus en plus de jeunes musulmans français partent suivre des études coraniques dans des pays très islamisés comme l’Egypte et l’Arabie Saoudite. Et de là, le «chemin vers Baghdad» n’est plus loin. Evidemment, tout le monde sait que des groupes djihadistes, venus d’en dehors de l’Irak, mènent la guerre contre les troupes américaines, mais il serait vain et puéril de dire que les Irakiens ne sont pas concernés par la guérilla. En fait, et comme nous allons le voir, ce sont eux qui dirigent la guérilla, bien que les groupes salafistes de type Al Qaîda donnent une couverture religieuse au combat et une légitimité importante aux actions menées contre les troupes américaines, britanniques, gouvernementales et leurs alliés.

    En réalité, nous assistons à plusieurs types de résistance en Irak. Les djihadistes convaincus, proches d’Al Qaïda, dont le groupe d’Al Zarkaoui constitue le porte-drapeau. Les résistants djihadistes autonomes de type «guérilla urbaine», dont se réclament «les Etendards noirs», les «Brigades d’Abou Bakr», «Ansar es-sunna», etc., tous d’obédience sunnite. Il y a aussi des djihadistes chiites qui survivent au démantèlement de «L’armée du Mehdi» et qui n’ont plus d’attache organique avec Moktada Sadr. Ceux-là continuent leur guerre en se basant sur la charia et sur leurs conceptions politiques, sans même plus se référer à l’Ayatollah Sistani, référent doctrinal suprême du chiisme irakien.

    Quitter l’Algérie et...mourir

    Entre tous ces groupes, des jeunes desperados de la résistance trouvent leur place aux côtés de vieux militaires de la Garde républicaine et qui ont une revanche à prendre sur leurs concitoyens, après la chute «humiliante» de Baghdad. En termes clairs, il est difficile de percer les visées de tel ou tel groupe et il reste encore beaucoup de marge de manoeuvre pour les manipulateurs politiques de tous bords.
    Dans le dernier rapport de son Comité sur les activités d’Al Qaîda et des talibans, et qui date de cinq mois, le Conseil de sécurité établit un bilan des activités terroristes menées en Afghanistan et en Irak, et un peu partout dans le monde.

    Preuve du regain de puissance des talibans, le rapport souligne que depuis le début de 2002, sur le millier de personnes arrêtées par les autorités pakistanaises, on a dénombré 86 Saoudiens, 70 Algériens, 36 d’Afrique occidentale, 28 Indonésiens, 22 Emiratis, 20 Egyptiens, 20 Marocains, 18 Malais, 11 Libyens, 11 du Royaume-Uni, 7 Koweïtiens, 5 des États-Unis et 2 d’Australie, ainsi que des nationaux d’Allemagne, d’Asie centrale et de France. C’est-à-dire que sur le millier de personnes arrêtées par les autorités pakistanaises, les Algériens représentent la deuxième plus grande proportion par pays, après l’Arabie Saoudite. Cela dénote que la route «vers Baghdad» n’est pas exclusive et que d’autres chemins, traversant Herat, Kandahar ou la Tchétchénie peuvent mener au paradis. La poussée de l’islamisme radical en Algérie, la dissolution du FIS et la décomposition du GIA ont mené des milliers d’Algériens à quitter le pays et à intégrer, pour beaucoup d’entre eux, des unités de combat du djihad transnational, et à s’établir dans des pays comme la Bosnie, l’Afghanistan, la Tchétchénie, le Pakistan ou le Moyen-Orient.
    Cependant, c’est la route vers Baghdad qui reste privilégiée pour les candidats au djihad. Arrivés aux frontières, plusieurs possibilités et plusieurs dangers pointent. Six pays offrent avantages et inconvénients. Si des «relais» sont sur place, la traversée vers le djihad se passe sans encombre.

    Paradoxalement, c’est l’Iran qui présente le plus de possibilités de passages, avec ses 1458 kilomètres de frontières communes avec l’Irak, qui est la moins utilisée, pour ne pas dire ignorée par les «passeurs du djihad». La nature chiite des Iraniens, l’activité douteuse des «Brigades de Badr» interdisent tout compromis entre salafistes et chiites. Reste encore aux candidats au djihad cinq autres possibilités de s’incruster en Irak: la Turquie, l’Arabie Saoudite, la Jordanie, la Syrie et le Koweït. A chacun de ces pays des caractéristiques, des relations très spéciales, hostiles ou amicales, avec le régime irakien en place, des reliefs géographiques, des zones d’attaches, qui font que finalement, les combattants arabes choisissent telle zone de traversée et non telle autre, et que pour des raisons évidentes nous passerons ici sous silence.
    Une fois arrivés en Irak, les jeunes candidats au djihad vont être confrontés à des choix multiples, mais aussi à des dangers divers. En principe, les résistants arabes non irakiens sont intégrés dans des groupes armés d’obédience sunnite, salafiste ou proche d’Al Qaîda. Plusieurs groupes font partie de ce lot: «Tandhim Al Qaîda fi bilad er-rafidaïne», «Madjliss choura al-moudjahidine», «Ansar es-sunna», «Kataïb Abou Hafs Al-Misri». Un groupe armé kurde fait exceptionnellement aussi partie de ce lot: «Al jamaâ as-salafiya al-moukatila al-kourdiya». Le «Madjliss choura al-moudjahidine» est la vitrine politique d’Al Qaîda. Dirigé par Abdellah Rachid Al-Baghdadi, puis par Abou Omar Al-Baghdadi, elle stationne surtout à Ramadi et dispose d’une armée constituée de quelque 3000 à 4000 combattants. Récemment, le chef de la branche irakienne d’Al Qaîda s’est mis sous son commandement avec ses 12.000 hommes, dont une bonne partie d’Arabes non irakiens.

    Baghdad s’offre aux audacieux


    Pour des raisons évidentes, liées dès le départ d’Algérie à des choix de prestige, les Algériens en Irak se mettent sous l’autorité de «Tandhim Al Qaîda» dirigée par Abou Hamza Al-Mouhadjar, mais sont directement dirigés par des émirs de kataïb et de djound. Samarra, Irbil, Bassora et Mossoul sont leurs villes d’affectation, mais les plus vaillants seront affectés à Baghdad, où l’extraordinaire maillage sécuritaire n’offre des solutions d’attaque qu’aux plus audacieux.

    «Djeïch Ansar es-sunna» est un groupe armé qui fait appel lui aussi à des combattants étrangers. Dirigé par Abou Abdellah Hassan Ibn Mahmoud, un ancien membre de la «Jamaâ ansar es-sunna», ce groupe est actif à Irbil, Mossoul et Karkouk et se spécialise dans les attentats ciblant Américains et forces de sécurité irakiennes.

    «Les brigades d’Abou Hafs» est un groupe en relation avec la branche locale d’Al Qaîda, mais qui a des ramifications en Europe. L’attentat de Madrid a été revendiqué par sa branche espagnole, constituée principalement de Marocains, mais depuis, son action se situe surtout en Irak. Plus importants que les groupes islamistes djihadistes, et surtout plus efficaces contre les Américains, les groupes de résistance nationale, composés de baathistes, de saddamistes et de nationalistes sincères, sont le fer de lance de la guérilla depuis 2003. Encadrés par des officiers supérieurs de l’armée sous Saddam et d’officiers des renseignements, ils ont l’avantage de connaître la terre d’Irak empan par empan, et font appel, eux aussi, aux combattants non arabes.
    Dans ce lot, on retrouve «l’Armée islamique en Irak», «Kataïb thawrat al-ichrine», «Djeïch er-rachidine», «Djeïch al-fatihine», «Djeïch al-moudjahidine» dirigé par le Dr Ibrahim A-Cham’mari, «Kataïb al-Irak al-djihadiya», la «Djamaâ salafiya al-moudjahida» et une multitude -environ une trentaine- de petits groupes aux actions meurtrières qu’ils mènent principalement contre les Américains et usant d’un atout maître: l’explosif. Une bonne partie de ces actions sont filmées et diffusées sous forme de vidéo-clips par la chaîne de télévision Al-Zawraâ (du nom de l’ancienne Baghdad). Les groupes de résistance peuvent -au besoin- inclure des hommes armés non Irakiens dans leurs actions.

    Il existe aussi des groupes baathistes dépendant des tribus irakiennes, et un seul groupe kurde: «Ansar al-islam», lequel est résolument pro-islamiste et djihadiste. Les «Forces Peshmergas», autre groupe armé kurde, ne participent pas à la résistance, mais se chargent du maintien de l’ordre des villes irakiennes du Nord. Elles avaient été accusées de tuer des résistants arabes inclus dans la guérilla ainsi que des Turkmènes à Kirkouk.
    Les candidats au djihad peuvent ainsi pénétrer en Irak et tomber entre les mains de milices chiites, et sont alors tués avant même d’avoir tiré une seule balle. Trois groupes chiites sont pointés du doigt et accusés de tuer des résistants non arabes: «Djeïch al-mahdi», «Faïlaq badr» et «Hizb ed-daâwa».
    D’obédience sunnite, la quasi-totalité des Algériens djihadistes présents en Irak sont intégrés dans les groupes salafistes ou, à un degré moindre, dans des groupes nationalistes. Actuellement, l’ancien dignitaire du parti Baas et proche collaborateur de Saddam, Izzet Al-Douri, jouit d’une influence aussi importante que celle de Abou Omar Al-Baghdadi ou Abou Hamza al Mouhadjir, pour le moins sur les groupes de résistance nationalistes.

    Guerre confessionnelle, guerre asymétrique, guerre classique, djihad, guerre de guérilla, guerre civile, invasion américaine, protectorat américain, gouvernement de collaboration, guerre de schismes, aucun qualificatif ne peut cerner à lui tout seul ce qui se passe en Irak. Et des Algériens revenus de cette inénarrable terre de la Mésopotamie affirment que le pire est à venir...

    Par l'expression

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    • #17
      @morjane
      j'ai tout lu..il y'a des raccourcis terrible dans ce texte....
      CEUX QUI Y VONT NE SONT PAS TOUS AFFILIE AU GSPC ..le gspc a du mal a recruter en algerie parce que les algeriens musulmans n'adhere pas a la legitimité du combat algerien...mais si on laisse les portes pour l'iraq tu verrs combien d'algeriens qui vont partir combattrre la bas...



      le fait deja qu'il elimine toute legitimité a tout type de resistance..le fait qu'il ne comprend pas pourquoi on se deplace pour un autre pays si on est pas recruté...

      desolé..en afganistan et en iraq et en palestine et il y'a pas longtemps au liban il y'a une guerre legitime pour tout musulman

      pourquoi on se pose pas beaucoup de question quand un juif ffrançais va passer son service militaire en israel et qu'il tue la bas des palestiniens pouis revient en france tranquillement??
      « Puis-je rendre ma vie
      Semblable à une flûte de roseau
      Simple et droite
      Et toute remplie de musique »

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      • #18
        Envoyé par Harrachi78
        Mon propos évoque clairement un gars qui juge que son devoir ets d'aller combattre les occupants d'une terre musulmane au nom de sa foi
        A ma connaissance, ni le gouvernement irakien ni le peuple irakien n'ont fait appel aux musulmans de la planète pour aller les soutenir dans leur "résistance". Au contraire, pour une majorité d'irakiens, gouvernement compris, les combattants étrangers sont des "terroristes".

        Il n'y a que le terroriste Ayman Al-Zawahiri et ses lieutenants qui considèrent que se battre en Irak est un devoir pour les musulmans du monde.

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        • #19
          @nassim
          ou est ce gouvernement iraquien????

          a aucun moment les republicains ou les democrates ou le pentagone ou la maison blanche dans la crise (pseudo crise interne) aux usa ,je disai a aucun moment j'ai entendu quelqu'un evoquer "l'avis du gouvernement iraquien" pouir la reduction, l'envoi, retirer ou augmenter les troupes en iraq

          ou est ce gouvernement iraquien???...
          il y'avait aussi des deputés algerien lors de l'algerie française ...
          as tu vu la chaine "azwra" nassim???

          tu n'as jamais vu les iraquiens prendre les debris des vehicules americains et les exhiber??? la ou il y'a destruction de vehicule cela se passe toujours comme ça...
          as tu deja vu un iraquien pleurer pour un americain tué???
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          • #20
            hier
            j ai vu aux info
            une fille d environ de 10 ans apres le enieme attentat

            khalini chouf oumi

            j ai eu des larmes aux yeux
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #21
              Salut!
              A mon ami Harrachi: ton engagement est sincère et tu parles par conviction. Ton dévouement pour une cause juste est honorable mais je préfère te voir en dehors de ce panier de crabes. Quand je recois des infos de cette région je reste éberlué, consterné et écoeuré.
              Que chaque peuple se libère comme il l'entend en son âme et conscience. Les algériens ont tjs étaient du côté de ce qui est juste. Mais si des algériens partent se flinguer ailleurs (qu'ils soient civils ou militaires) je ne suis pas du tout d'accord. Des jeunes de moins de 30 ( d'après ce que j'ai lu) qui vont vers l'inconnu c'est un constat d'échecs de la société algérienne.
              Car ce qui se prépare dépasse même l'imagination: Usa - Iran avec l'aval des pays du golfe. La guerre n'apportera que ruines et désolation.

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              • #22
                @tariqlr
                il faut savoir que beaucoup se definssent comme etant musulman avant d'etre algerien..et il considerent l'iraq comme leur terre et les iraquien comme des freres
                « Puis-je rendre ma vie
                Semblable à une flûte de roseau
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                • #23
                  Tamerlan - il faut savoir que beaucoup se definssent comme etant musulman
                  ça c'est l'idéalisme. Ce que les peuples souhaitent mais pas avec ces larbins qui les dirigent. C tjs les mêmes qui dégustent, alors je dis non.
                  Hélas je ne parle que de ce que je sais - Je ne veux plus faire Marseille Alger pour visiter les cimetières. La decennie noire a bouleversé et ma famille et ma vision des choses.

                  Commentaire


                  • #24
                    @tariqlr
                    il faut savoir que beaucoup se definssent comme etant musulman avant d'etre algerien..et il considerent l'iraq comme leur terre et les iraquien comme des freres

                    ...........................................
                    Tamerlan

                    Je ne comprend pas comment tu n'arrives pas à saisir que ce sont les algériens qui sont revenus d'Afghanistan ( après avoir "servi" la "cause musulmane" contre l'occupant communiste) qui ont le plus fait mal durant la décennie noire en Algerie.

                    Ces "moujahidines" algériens d'IRAK risquent, à dieu ne plaise, de répéter la meme tragédie une fois de retour au bercail car ,pour eux,tous les régimes qui n'appliquent pas leur conceptions rétrogrades de l'Islam sont à combattre.

                    Commentaire


                    • #25
                      tu as tout resume moumed
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                      Commentaire


                      • #26
                        "Les vrais djihadistes qui ont combattu les russes en Afghanistan ne tuait pas de civils,ils ont quitter ce pays quand c'est devenu une lutte tribale par la suite...".

                        Les djihaistes algériens recouraient aux mêmes que la France durant la guerre d'Algérie en Afghanistan:la terreur de la terre brûlée.

                        Et on sait ce qu'ils sont advenus lors de leur retour en Algérie!!

                        Commentaire


                        • #27
                          @moumed
                          @tariqlr
                          faux...le gspec a du mal arecruter en algerie..et les algeriens qui veulent partir en iraqu et qui sont partis sont pas centaines..
                          « Puis-je rendre ma vie
                          Semblable à une flûte de roseau
                          Simple et droite
                          Et toute remplie de musique »

                          Commentaire


                          • #28
                            "Les vrais djihadistes qui ont combattu les russes en Afghanistan ne tuait pas de civils,ils ont quitter ce pays quand c'est devenu une lutte tribale par la suite...".( jadis)

                            ...........................................

                            Jadis

                            Et les afghans arabes,tu connais ? sans parler du plus illustre d'entre eux Ben laden qui n'a rien fait que de semer la ***** dans le monde.

                            Tamerlan

                            J'ai bien peur que ce soit toi qui soit dans l'erreur.

                            Commentaire


                            • #29
                              "Jadis

                              Et les afghans arabes,tu connais ? sans parler du plus illustre d'entre eux Ben laden qui n'a rien fait que de semer la ***** dans le monde" (quote moumed).

                              A être franche les premiers non, quand au second, la presse en parle abondammenent et il serait surprenant que le méconnaître.

                              Par contre, j'ai oublié le nom de ce résistant Afghan tué 9 septembre 2001 que tout le monde et même l'Occident en ont fait un héros (le lion de Kaboul?), alors qu'il se pourrait pas en être le cas.

                              "Faut-il mourir pour Kaboul?" dans un fabuleux éditorial, le directeur du Nouvelobs avait prévu l'actuelle tragédie afghane.

                              Commentaire


                              • #30
                                @nassim

                                A ma connaissance, ni le gouvernement irakien ni le peuple irakien n'ont fait appel aux musulmans de la planète pour aller les soutenir dans leur "résistance". Au contraire, pour une majorité d'irakiens, gouvernement compris, les combattants étrangers sont des "terroristes" ...

                                Franchement, si par gouvernement tu vise ceux que les américains ont installé sur place ca m'aurait bien étonné qu'ils fassent appel à qui que ce soit pour les déloger ! Pour le reste les conditions d'un Djihâd en islam sont bien définis et l'occupation d'une tere d'islam par les américains est amplement suffisante comme raison.

                                ... Il n'y a que le terroriste Ayman Al-Zawahiri et ses lieutenants qui considèrent que se battre en Irak est un devoir pour les musulmans du monde.

                                Justement, c'est paceque le commund es musulma,ns délaissés ce genre de devoirs que les extrémistes de ce genre passent pour des héros aux yeux de cetains.
                                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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