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L'armée comme appui à la transition démocratique?

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  • #46
    Ott,
    Et si tu t'intéresses à ce que j'ai écris au lieu à ce que je suis, machi khir
    Loin de moi de donner des conseils ou des recommandations, mais je relève l'incohérence algérienne: les militaires qui intriguent pour que les civils embrassent la démocratie,
    Le monde a l'envers..

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    • #47
      ne conception très personnelle de la démocratie.
      C'est la conception de l'algerien moderne, surtout celui qui approuve le contenu de l'article.

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      • #48
        En bref, hormis le cas de Thomas Sankara, il n'y a pas d'autres exemples où l'armée a amené la démocratie.

        Et quid d'Israël, la nation la plus militarisée au monde?

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        • #49
          @Anzoul

          Si tu regardais plus loin que mon doigt, tu comprendrais que les pouvoirs autoritaires se nourrissent des conflits. Tant que nos frères marocains n'auront pas le cran de mettre en place une monarchie constitutionnelle ou une république democratique, c'est leur problème, les algériens ont bien raison de se méfier de nos voisins, allies d'Israël et relais du neocolonialisme en Afrique qui a fait l'erreur monumentale d'attaquer une Algérie meurtrie en 1963. Les démocrates algériens ne sont pas naïfs au point de ne pas voir ce que mijotent nos grands adeptes de la démocratie voisine, et saluent leur armée qu'ils appellent à être républicaine...
          Dernière modification par ott, 07 septembre 2018, 09h06.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #50
            L'armée comme appui à la transition démocratique?
            Dans les années trente, l'armée Allemande s'équipait d' énorme armement, aujourd'hui l'armée Algérienne s'équipe d'un armement colossal, en 1939 l'armée Allemande attaquait la Pologne!!!
            Demain qui sera attaqué par l'armée Algérienne????
            L'Allemagne a perdu, l'Algérie perdra mais comme l'Allemagne gagnera ainsi la démocratie.

            J'espère me tromper mais alors ce sera une guerre civile comme en Espagne, mais dans ce cas victoire des Islamiste et république Islamique donc pas de démocratie.
            Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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            • #51
              Ott,
              Tu patauges et tu t'égares.

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              • #52
                Enchanté aussi...
                Othmane BENZAGHOU

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                • #53
                  Il est aberrant que certains forumistes retournent aux années 20 pour indiquer des expériences de processus de transition démocratique.Depuis ce temps le monde a changé , de nouveaux concepts liés à la démocratie et la modernité ont été pensés ,la mondialisation s'est imposée , l'hégémonie des pays développés sur le reste du monde s'est accéléré grâce surtout au développement de la haute technologie sophistiquée dans l'armement et l'industrie ...
                  Il s'est avéré que la démocratie n'est plus un choix à faire mais une nécessité incontournable pour les pays à la traîne qui veulent se hisser au rang des grandes nations .

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                  • #54
                    @ELKOURSI: encore qu'il faille s'entendre sur la définition de la "démocratie"?

                    Selon votre concept?

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                    • #55
                      Relevons également que la junte algérienne gâte ses suppôts. En ce sens que feu le général Mohamed Lamari (Cf. " Mohamed Lamari : requiem pour un « éradicateur » in Jeune Afrique) s'était distingué en démontrant son salaire de 1'300.- euros mensuels, ce qui était selon lui un maigre salaire et qu'il ne roulait pas sur l'or contrairement aux accusations portées contre lui.


                      Or, un salaire mensuel de 1'300.- euros est énorme en Algérie à considérer le SMIG et bien davantage que la rémunération d'un chirurgien d'hôpital ainsi que celui d'un professeur d'une université (eux indispensables contrairement à son rôle). C'est là que le bât blesse!:22:

                      - Cliché battu en brèche

                      Autre cliché battu en brèche : sa présumée impopularité. Proche des petites gens, disponible et humble, il était apprécié et respecté des habitants de Bordj Ben Azzouz. Il s’était d’ailleurs distingué au cours d’une conférence de presse, en 2002 (unique dans les annales de l’armée algérienne), en sortant de sa poche sa fiche de paie (98 000 dinars, soit à l’époque 1 300 euros) devant des journalistes médusés pour dénoncer une campagne de presse autour de la « fortune des généraux »-.


                      Jeune Afrique

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