Il n ya rien dans la constitution qui interdit de brandir dans l'espace public et non officiel un embleme autre que le drapeau national ,la décision d'interdire le drapeau amazigh est hors la loi et anticonstitutionnelle de même que le fait de retirer le drapeau national aux manifestants par les gendarmes ,les vendredis passés .
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Non ! l’emblème Amazighe n’est pas un drapeau étranger à l’Algérie
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Ceux qui sortent dans les rue ne sont pas tous d'accord sur tous les points. Arretez de parler aux noms du peuple.
Et meme s'ils l'étaient, ils ne représentent pas la majorité du peuple qui observent. Je doute aussi que la plupart de ceux qui sortent ont une carte de vote
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Ceux qui sortent dans les rue ne sont pas tous d'accord sur tous les points. Arretez de parler aux noms du peuple.
Et meme s'ils l'étaient, ils ne représentent pas la majorité du peuple qui observent. Je doute aussi que la plupart de ceux qui sortent ont une carte de vote
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Parler au non du peuple est un droit réserver uniquement à ceux qui tiennent le gourdin, la preuve el Caid Salah avec ses forces de répressions se donne la légitimité de matraquer une partie de la population en toute impunité...
Tres simple.
Sinon c'est la loi du plus fort. Celui qui possede la big h'rawa aura droit a le parler au nom des peuples par la force.
Comme ils ne représentent pas la majorité (ceux qui brandissent le drapeau Berbère autant s'accorder à organiser leur extinction pendant qu'on y est... à quoi bon de les laissés vivres ?...
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Tu proposes alors de ne pas les laisser vivre? C'est grave ya wesmek !
Pour toi puisque c'est à la majorité de décider ... la minorité doit s'écraser,c'est aussi simple que cela...
A la démocratie à Mouhend, c'est le droit de ne pas faire ce que l'on veux... par voix de conséquence c'est aussi la protéction des minorités,et des plus faibles... F'hmt à Mouh ! ...
Arezki HAMOUDI
(Ce n'est pas parce qu'on est nombreux à avoir tort qu'on a forcément raison.)Dernière modification par infinite1, 22 juin 2019, 21h59.
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A la démocratie à Mouhend, c'est le droit de ne pas faire ce que l'on veux... par voix de conséquence c'est aussi la protéction des minorités,et des plus faibles... F'hmt à Mouh ! ...
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Oui la minorité doit être respectée mais et elle n'a pas à decider à la place de la majorité ou de la gouverner bessif . Elle simplement doit s'habiller à sa taille.Dernière modification par infinite1, 22 juin 2019, 22h46.
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La minorité ne décide pas en démocratie mais la notion de la démocratie que vous reduisez avec simplisme au vote justement lui garantie le droit de s'habiller comme bon lui semble bessif et par la force ...ça s'appelle les droits supraconstitutionnels qui protègent les droits fondamentaux de tout le monde contre la dictature de la majorité que vous nous vendez ici sous le terme de démocratie !مالي و للناس كم يلحونني سفها
ديني لنفسي و دين الناس للناس
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Comme par exemple exprimer son opinion (sa diversité) sans encourir le risque le se faire tabassée ! ...
Par exemple personne n'a le droit de remettre en cause la laicité en france ou critiquer les sionistes ou refuter l'holocauste ..etc
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que la plupart de ceux qui sortent ont une carte de vote
C'est connu. seuls les amateurs de cachir ont leur cartes de vote. Les autres savent que les votes, c'est de la mise en scène. L'Etat mafieux a toujours voté pour nous. Tiens, si on était allé au 5è mandat, Boutef aurait été élu à 99%. Alors, les cartes de vote...
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pour lahassine randjas rappel: meme le concepteur de l'embleme national n'as pas été épargné par votre randjas tant aimé
Chawki Mostefaï, né en 1919 à M’sila, d’une famille originaire de Bordj-Bou Arréridj, fut un des principaux dirigeants du mouvement national. Il a obtenu, en 1938, un baccalauréat en philosophie qui l’a conduit à mener des études en médecine à Alger, puis à Paris. C’est également pendant cette période qu’il a entamé sa carrière militante au sein du PPA (Parti du peuple algérien). C’est d’ailleurs lui qui a conçu, en 1945, le drapeau algérien que l’épouse de Messali Hadj avait cousu dans sa maison algéroise.
Chawki Mostefaï a occupé, dès 1955, des postes importants au sein du FLN. Il est devenu «ambassadeur» de la révolution algérienne en Tunisie, puis en Irak et plus tard, au Maroc. Il a également été un des proches conseillers de Belkacem Krim, alors ministre de l’Armement dans le premier Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). C’est lui que le GPRA avait chargé de négocier le cessez-le-feu avec l’OAS (Organisation armée secrète), que présidait à l’époque le général Susini. Chawki Mostefaï était également membre de l’Exécutif provisoire au nom du FLN.
Après l’indépendance, Chawki Mostefaï s’est retiré de la vie publique et a mené une carrière de médecin. Il a vécu sa retraite à El Biar où il s’est éteint ce dimanche.
«Je me refuse à répondre à toute question concernant la politique suivie en Algérie depuis 1962 à ce jour, parce que j’ai pris volontairement et avec beaucoup d’amertume ma retraite politique ayant été qualifié de traître pour avoir négocié avec l’OAS alors que je n’avais fait qu’exécuter une décision émanant de l’autorité supérieure, le GPRA en l’occurrence. Le GPRA agissant solidairement sous l’empire de la menace d’une déflagration de La Casbah et de Belcourt dont les égouts étaient bourrés d’explosifs suite à l’information que nous a communiquée le commandant Azzedine, responsable de la Zone autonome qui était en relation coopérative avec la gendarmerie française dans la lutte contre l’OAS», avait-il déclaré lors d’un entretien à E Watan."sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"
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