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Un mandat de crise ou une constituante de déchirements?

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  • #61
    Bonsoir Myst.

    Tu as raison en partie.

    Les choses sont plus complexes, et il n'y a pas besoin de violence pour que d'autres mafieux partent.

    Une petite partie d'un clan a déjà été sacrifiée par leurs adversaires.

    Sous la pression populaire.

    Cette dernière continue à être efficace, l'état major ne pourra pas faire autrement que virer d'autres responsables pour se préserver.

    "Ta" négociation interviendrait à ce moment là avec les officiers qui auraient pris le relais.

    Garcia et les crocodiles sont de toutes les façons dépassés par les événements.

    C'est pour cela que le 12.12 doit être une défaite pour la farce.

    Dans toute l'Algérie.

    La violence est du côté mafieu à ne jamais confondre avec l'ANP comme elle essaye de le faire.

    Elle ne peut provenir que de son côté.

    Les militaires (mafieux ou pas) savent que le peuple n'a plus peur, il l'a montré à plusieurs reprises, il est monté d'un cran en empêchant des manifestations pro farce électorale, les candidats lapins ne sortent même pas devant lui.....

    Et puis les militaires ne suivront pas les officiers zélés.

    As-tu remarqué qu'aucun de ces officiers n'a fait de sortie ? Garcia est abandonné à son sort.

    Ce qui est une configuration complètement différente
    “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
    Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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    • #62
      Voici un exemple ... les hommes de Bouteflika ..dont le mensonge coule dans le sang ... il disait que le collecte des signature avant (pendent Boutef plus difficile et il était contrôlé par des logiciel)...
      enfin compte ..la moitié de ses signatures étaient photocopiées ...


      écoutez les 3 premiers minutes

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      • #63
        Le journaleux n'ose pas critiquer el gaid :22:

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        • #64
          Une rétrospective tellement parlante de ce u'est un président en Algérie sous l'emprise des militaires. Et on veut confier le sort de ce pays et de l'extraordinaire ambition nationale née du hirak à une figure présidentielle.

          Lorsqu'il s'agit d'améliorer d'une manière durable la condition d'un peuple, les petits moyens ne produisent même pas de petits effets, ils ne produisent absolument aucun effet.

          Principes d'économie politique (1848) de John Stuart Mill
          Othmane BENZAGHOU

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